http://tvnews.over-blog.com/article-michel-fau-cantatrice-aux-molieres-sa-version-de-quelqu-un-m-a-dit-71980385.html
"Moment hilarant dimanche soir lors de la cérémonie des Molières - bien plus vivante que la soirée des César - avec l'apparition du comédien Michel Fau. Acteur et metteur en scène, il a pris les traits d'une "cancatrice" et a interprété le tube de Carla Bruni, "Quelqu'un m'a dit".
sur le JDD
" Et notamment l'interprétation humoristique complètement inattendue de Quelqu'un m'a dit, la chanson à succès de Carla Bruni, par le comédien et metteur en scène Michel Fau déguisé en diva replette et outrageusement maquillée (voir photo ci-contre). Certains y verront de l'irrévérence – Marisa et Valeria Bruni-Tedeschi, respectivement mère et sœur de la chanteuse, semblaient médusées. Frédéric Mitterrand, ministre de la Culture et ami de la femme du Président, ne s'en est pas offusqué, amusé, comme le reste de l'assistance, par la performance."
Sur Pluzz.fr, vous pouvez revisionner la soirée des Molières ; cette séquence débute à 1'26". Certains spectateurs dans la salle étaient en larmes. Une spectatrice a eu droit à de nombreux plans durant la prestation de Michel Fau : la propre mère de Carla Bruni...
sur Dailymotion, visionner la "prestation"
Jusqu'à la semaine dernière, Michel Fau était à l'affiche de la pièce Une visite inopportune, de Copi. A l'Athénée, en compagnie notamment de Marianne James.
Via Wikipedia, où vous trouverez les moments essentiels de sa carrière sur ce lien : Michel Fau est un acteur et metteur en scène français, formé au Conservatoire national supérieur d'art dramatique (Professeurs : Michel Bouquet, Gérard Desarthe et Pierre Vial). Il est sur scène régulièrement dans les mises en scène d'Olivier Py et il a travaillé également avec Olivier Desbordes, Jean Gillibert, Sébastien Rajon, Pierre Guillois, Jean-Luc Lagarce, Jean-Michel Rabeux, Jean-Claude Penchenat, Laurent Gutmann, Stéphane Braunschweig, Jacques Weber... Il dirige un atelier d'interprétation au CNSAD."
les Nominés des Molières
http://www.lesmolieres.com/Websites/lesmolieres/Images/palmares2011.pdf
lundi 18 avril 2011
samedi 16 avril 2011
"L'illusion conjugale" au Théâtre de l'Oeuvre à voir et revoir
http://www.facebook.com/l.php?u=http%3A%2F%2Fwww.au-theatre.com%2Fbdd%2FPageT%2Fillusion-conjugale.htm&h=c8401
L'ILLUSION CONJUGALE
De Eric Assous
Mise en scène de Jean-Luc Moreau
Avec Isabelle Gelinas, Jean-Luc Moreau et José Paul
ce que j'ai inscrit très vite sur mon profil....
FB oui j'aime FB
"Oui je l'ai revu comme un baume un rire non contraire à l' intelligence. Pas de jugements à des sujets qui m'intéressent au plus haut point l'amour le sexe l'amitié le mystère comment réparer la fragilité sans se venger.... J'adore les trois comédiens pas une erreur de jeu et un plaisir total à jouer ensemble. Comme du bon Guitry cela vous redonne votre intégrité à aimer.... C'est pour le public au grand large. Ce que j'ai ri aux temps aux ruptures de JL Moreau, par moments il a 6 ans et par moments il fait peur comme un fauve.... Et puis ces deux hommes sont également masculins un peu beaucoup macho pour l'un mais également aimables pour une femme. L'un est coupant blessant mais justement indélébile...."
Et la jeune femme Isabelle Gelinas est fascinante son dos sa grâce elle joue juste à tomber, je n'en ai pas parlé dans ma première impression parce que je suis femme et comédienne et quelquefois jalouse à tomber....
"une comédie pimpante et subtile sur le couple, à voir absolument ! Cinq nominations aux Molières 2010 et Molière du meilleur auteur francophone."
http://vivreabullion.blogspot.com/2010/10/lillusion-conjugale.html
Vivre à Bullion je ne sais pas où c'est mais il est bien ce blog....
L'ILLUSION CONJUGALE
De Eric Assous
Mise en scène de Jean-Luc Moreau
Avec Isabelle Gelinas, Jean-Luc Moreau et José Paul
ce que j'ai inscrit très vite sur mon profil....
FB oui j'aime FB
"Oui je l'ai revu comme un baume un rire non contraire à l' intelligence. Pas de jugements à des sujets qui m'intéressent au plus haut point l'amour le sexe l'amitié le mystère comment réparer la fragilité sans se venger.... J'adore les trois comédiens pas une erreur de jeu et un plaisir total à jouer ensemble. Comme du bon Guitry cela vous redonne votre intégrité à aimer.... C'est pour le public au grand large. Ce que j'ai ri aux temps aux ruptures de JL Moreau, par moments il a 6 ans et par moments il fait peur comme un fauve.... Et puis ces deux hommes sont également masculins un peu beaucoup macho pour l'un mais également aimables pour une femme. L'un est coupant blessant mais justement indélébile...."
Et la jeune femme Isabelle Gelinas est fascinante son dos sa grâce elle joue juste à tomber, je n'en ai pas parlé dans ma première impression parce que je suis femme et comédienne et quelquefois jalouse à tomber....
"une comédie pimpante et subtile sur le couple, à voir absolument ! Cinq nominations aux Molières 2010 et Molière du meilleur auteur francophone."
http://vivreabullion.blogspot.com/2010/10/lillusion-conjugale.html
Vivre à Bullion je ne sais pas où c'est mais il est bien ce blog....
jeudi 14 avril 2011
Vêtements pour enfant, accessoires, bijoux et linges de maison
FAITES PASSER
FAITES PASSER
FAITES PASSER
FAITES PASSER
Eliott et Lilou
Bonjour,
Un peu de pub pour le blog de ma soeur dans lequel elle présente les vêtements pour enfant, accessoires, bijoux et linges de maison qu'elle crée et fabrique, sous la marque Eliott et Lilou (mon neveu et ma nièce).
Je trouve ça pas mal du tout, et donc, je fais connaître.
http://eliottetlilou.blogspot.com/
Bonne semaine - christophe s
jeudi 7 avril 2011
Musique je ne suis pas une spécialiste .... Petra Magoni, Mokaiesh, Cascadeur
Mon oreille a retenu ce matin un groupe italien, Musica Nudi, une chanteuse Petra Magoni accompagnée d'une contrebasse sur France-Inter
chez Taddeï CYRIL MOKAIESH ce soir ou jamais
et Cascadeur par son costume et sa musique envoutante son titre son mystère tout... ce théâtral
sur my space
chez Taddeï CYRIL MOKAIESH ce soir ou jamais
et Cascadeur par son costume et sa musique envoutante son titre son mystère tout... ce théâtral
sur my space
Amor Amor et Des Pierres rien que des Pierres
Par Corinne Denailles
Amor amor à Buenos Aires de Federico Mora sur Webthea
Ambiance porteña
Depuis qu’il ne met plus en scène les spectacles de la compagnie Les Brigands (Docteur Ox, Ta bouche), Stéphan Druet explore des formes théâtrales les plus variées passant de Corneille ou Shakespeare aux grandes productions tel que Les Contes d’Hoffmann d’Offenbach mis en scène avec Julie Depardieu dans le cadre de l’opération annuelle Opéra en plein air (2008). Parti en Argentine présenter Une visite inopportune de Copi, il s’est amouraché de Buenos Aires, succombant aux charmes de la ville et de ses habitants, et en a rapporté une comédie musicale porteña en diable qu’on a pu voir en 2010 dans le bel espace de l’hôtel Gouthière à Paris où il anime un festival annuel en juillet, en collaboration avec Jean-Louis Bihoreau.
Stéphan Druet s’est glissé dans la peau d’un certain Federico Mora pour concocter cette bluette sans manières, prétexte à faire vivre une pension argentine haute en couleurs dirigée par l’irascible Alba (touchante Mona Heftre) où se croisent prostituées (la belle chanteuse et danseuse argentine Laura Lago), travestis, bellâtre latin gominé (François Briault) ainsi que de quelques fortes personnalités telle que l’inénarrable et tonique Zulma, la grand-mère interprété par Stéphane Eloy ou les deux sœurs coincées qui finissent par libérer leurs pulsions sexuelles (Cécilia Filippi et Emma Fallet). Le linge sèche aux fenêtres, on s’interpelle d’une chambre à l’autre pour un oui ou pour un non. Le fils d’Alba revient en travesti, devenu Ottavia la Blanca, il espère ainsi enfin être aimée par Alvaro le bel Argentin. Il faut souligner l’extraordinaire interprétation de Sebastian Galeota dont la présence électrise la scène et qui chante magnifiquement les tangos furieusement sentimentaux. On se dispute, on crie, on pleure, on rit, on fait des histoires pour des broutilles et tout finit toujours par des chansons désespérées. Stéphan Druet, qui a bien saisi l’esprit baroque et excessif argentin, a conçu un spectacle bigarré plein d’humour et de passions sur lequel plane l’ombre tutélaire du grand Carlos Gardel. Si on ne retiendra pas les chorégraphies sans grande originalité, on se rappellera de la beauté des danseuses et surtout des voix de Mona Heftre, de Laura Lago et du saisissant Sebastian Galeota.
Amor amor à Buenos Aires de Federico Mora, mise en scène Stéphan Druet avec Sebastiàn Galeota, Mona Heftre, Cécilia Filippi, Emma Fallet, Laura Lago, Stéphane Eloy, François Briault, Salem Sobihi, avec la participation exceptionnelle de Coco Dias. Chorégraphie : Caroline Roëlands. Lumière : Régis Vigneron. Son : Philippe Parmentier. Costumes et chapeaux : Michel Dussarat.
Au théâtre Comédia jusqu’au 24 avril du mardi au vendredi à 20h30, samedi et dimanche à 17h, samedi à 21h. Téléphone : 01 42 38 22 22
Photo Bernard Richebe
**************************************************************************
Des Pierres rien que des Pierres
"Quelque part en orient, une jeune femme nous dévoile progressivement sa condition de femme, victime d’une culture aveugle : Mariage forcé, religion omniprésente, poids des traditions.
Quelque part en occident, une femme nous dévoile progressivement sa condition de femme, victime d’une culture ultra-libérale : Mariage ennuyeux, argent comme seule religion, poids du bien être sociale à tout prix.
En définitive des destins, des poids et des mesures différents dans des mondes aux lois opposées , mais où l’utilisation des pierres les rapproche par leur usage criminel !
Crimes et lapidations : de l'orient à l'occident, deux destins de femmes que tout aurait du séparer, se retrouvent liés par l'usage criminel des pierres !
A partir du 05/04/11
Mardi Mercredi 20h
Dates : Du 5 avril au 28 décembre
Tarifs : Normal : 21 € - Réduit : 15 €
Auteur : Marc Helsmoortel
Mise en scène : Stéphane Bouvet assisté de Marie Pierre Gayou
Avec : Laëtitia Lefebvre, Laura Addamo, Candide Sanchez, Patrick Bordes, Stéphane Bouvet
Amor amor à Buenos Aires de Federico Mora sur Webthea
Ambiance porteña
Depuis qu’il ne met plus en scène les spectacles de la compagnie Les Brigands (Docteur Ox, Ta bouche), Stéphan Druet explore des formes théâtrales les plus variées passant de Corneille ou Shakespeare aux grandes productions tel que Les Contes d’Hoffmann d’Offenbach mis en scène avec Julie Depardieu dans le cadre de l’opération annuelle Opéra en plein air (2008). Parti en Argentine présenter Une visite inopportune de Copi, il s’est amouraché de Buenos Aires, succombant aux charmes de la ville et de ses habitants, et en a rapporté une comédie musicale porteña en diable qu’on a pu voir en 2010 dans le bel espace de l’hôtel Gouthière à Paris où il anime un festival annuel en juillet, en collaboration avec Jean-Louis Bihoreau.
Stéphan Druet s’est glissé dans la peau d’un certain Federico Mora pour concocter cette bluette sans manières, prétexte à faire vivre une pension argentine haute en couleurs dirigée par l’irascible Alba (touchante Mona Heftre) où se croisent prostituées (la belle chanteuse et danseuse argentine Laura Lago), travestis, bellâtre latin gominé (François Briault) ainsi que de quelques fortes personnalités telle que l’inénarrable et tonique Zulma, la grand-mère interprété par Stéphane Eloy ou les deux sœurs coincées qui finissent par libérer leurs pulsions sexuelles (Cécilia Filippi et Emma Fallet). Le linge sèche aux fenêtres, on s’interpelle d’une chambre à l’autre pour un oui ou pour un non. Le fils d’Alba revient en travesti, devenu Ottavia la Blanca, il espère ainsi enfin être aimée par Alvaro le bel Argentin. Il faut souligner l’extraordinaire interprétation de Sebastian Galeota dont la présence électrise la scène et qui chante magnifiquement les tangos furieusement sentimentaux. On se dispute, on crie, on pleure, on rit, on fait des histoires pour des broutilles et tout finit toujours par des chansons désespérées. Stéphan Druet, qui a bien saisi l’esprit baroque et excessif argentin, a conçu un spectacle bigarré plein d’humour et de passions sur lequel plane l’ombre tutélaire du grand Carlos Gardel. Si on ne retiendra pas les chorégraphies sans grande originalité, on se rappellera de la beauté des danseuses et surtout des voix de Mona Heftre, de Laura Lago et du saisissant Sebastian Galeota.
Amor amor à Buenos Aires de Federico Mora, mise en scène Stéphan Druet avec Sebastiàn Galeota, Mona Heftre, Cécilia Filippi, Emma Fallet, Laura Lago, Stéphane Eloy, François Briault, Salem Sobihi, avec la participation exceptionnelle de Coco Dias. Chorégraphie : Caroline Roëlands. Lumière : Régis Vigneron. Son : Philippe Parmentier. Costumes et chapeaux : Michel Dussarat.
Au théâtre Comédia jusqu’au 24 avril du mardi au vendredi à 20h30, samedi et dimanche à 17h, samedi à 21h. Téléphone : 01 42 38 22 22
Photo Bernard Richebe
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Des Pierres rien que des Pierres
"Quelque part en orient, une jeune femme nous dévoile progressivement sa condition de femme, victime d’une culture aveugle : Mariage forcé, religion omniprésente, poids des traditions.
Quelque part en occident, une femme nous dévoile progressivement sa condition de femme, victime d’une culture ultra-libérale : Mariage ennuyeux, argent comme seule religion, poids du bien être sociale à tout prix.
En définitive des destins, des poids et des mesures différents dans des mondes aux lois opposées , mais où l’utilisation des pierres les rapproche par leur usage criminel !
Crimes et lapidations : de l'orient à l'occident, deux destins de femmes que tout aurait du séparer, se retrouvent liés par l'usage criminel des pierres !
A partir du 05/04/11
Mardi Mercredi 20h
Dates : Du 5 avril au 28 décembre
Tarifs : Normal : 21 € - Réduit : 15 €
Auteur : Marc Helsmoortel
Mise en scène : Stéphane Bouvet assisté de Marie Pierre Gayou
Avec : Laëtitia Lefebvre, Laura Addamo, Candide Sanchez, Patrick Bordes, Stéphane Bouvet
mercredi 6 avril 2011
Lecture Théâtre c'est lié, juste, histoire de s'absenter ! Aller chercher demain avec Michel Aumont
-cette vidéo "théâtres parisiens privés" comme les autres (Nono au Théâtre de la Madeleine) sont très bien faites elles respectent la singularité de son public de son lieu de ses acteurs techniciens faiseurs qui accouchent des rêves que sont les pièces à une version de leur réalité tout en gardant intact
le mystère d'aimer ça, le théâtre...!-
Aller chercher demain avec Michel Aumont au Petit théâtre de Paris avec d'autres vidéos anciennes dont celle pour Nono mis en scène et interprété par Michel Fau au Théâtre de la Madeleine(publiée dans les articles anciens, aidez-vous du répertoire des thèmes placé sur la droite de cette page au thème vidéo)
Zouc par Zouc L'entretien avec Hervé Guilbert édité à l'arbalète gallimard
Je ne me vois pas
"Il y a des gens qui me demandent : " vous vous regardez dans un miroir pour faire des grimaces?"
Chaque fois que je me regarde dans un miroir, je me regarde hébétée, je ne vois que la profondeur de mes yeux, mon visage reste immobile. Il ne bouge que lorsque je m'exprime.
Je me suis vue une ou deux fois à la télévision et j'ai été surprise : je voyais bien ma coquille, mais je voyais surtout la personne que je "faisais". Ça me perturbe, parce que je ne me vois pas, c'est évident. Je ne sais pas très bien où le ridicule commence ou pas, je ne me pose pas ce genre de problème. Quand je cause avec autrui, je suis l'autre, je ne vois que l'autre. C'est pour ça que j'ai un problème avec la solitude : quand je suis seule, j'ai tendance à aller de temps en temps devant le miroir pour voir qui est avec moi. L'hiver je vois tout un tas de monde et j'oublie mes problèmes, mais l'été quand je pars à la campagne pour me reposer et travailler, je me retrouve seule et il me faut du temps avant d'être bien avec moi. J'arrive à m'observer."