dimanche 20 janvier 2008

A propos de Clovis Cornillac et quelques chiffres de la politique culturelle...


Je parle souvent de ma grande admiration un peu béate des acteurs américains. Harvey Keitel etc... vous le savez si vous furetez un peu sur ce blog, ne pas oubliez jamais que tout ici est de l'interprétation personnelle du mélange gazeux.
Les blogs c'est comme la presse les films les autres parutions BD les spectacles, il faut trier selon ses exigences ses goûts et quelquefois se laisser aller.
Certains blogs certaines salles certaines revues à force d'être hétéroclites deviennent des poubelles. Mais dans les poubelles si vous triez bien il y a des merveilles... on en a dégoté quelques-unes.

Bref ne pas avoir peur de s'y perdre un peu dans les intestins d'Internet.

Et donc je voulais en arriver aux acteurs français et sérieusement je vous signale : Clovis Cornillac, il peut-être fier de sa maman Myriam Boyer et vice et versa et en plus il ne dit pas trop de conneries... lui !
"Ma mère m'a eu très jeune, et élevé. J'ai découvert la balle en même temps qu'elle : les illusions et les désillusions, les bonheurs les tristesses je les ai vécus avec elle, et j'ai gagnébeaucoup de temps. J'étais le témoin d'injustices terribles : Myriam refaisait le monde à la maison avec des gens qu'elle trouvait magnifiques, et qui la détruisaient ensuite... Cette violence professionnelle était ni plus ni moins celle de la société, mais dans les années 70, le milieu était encore porté par l'utopie soixante-huitarde, et les claques étaient d'autant plus violentes..."


Voir le dernier article de Télérama.

et quelques chiffres de la politique culturelle... voir art. de l'Humanité

"Un cas mérite d’être souligné, le Théâtre de la Bastille que dirige Jean-Marie Hordé dont on connaît les choix de créations si originaux. Fin 2008, il sera au bord d’un dépôt de bilan si l’intervention nationale ne l’épaule pas."

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