Une des plus belles planches, de Valse avec Bachir, même si c'est oppressant de savoir à l'avance de quels cercueils, il s'agit, qu'on va forcément adhérer au propos, que l'on va avoir envie de vomir.
Il y a de manifeste, le cri contre toutes les guerres et puis, il y a le dessin, les couleurs, les personnages, la patte et puis... la reconstitution que fait la mémoire, comment elle remplit les trous...
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Ah oui je me rappelle, je voulais raconter une scène de Desesperate Housewives
une femme qui ne se plait plus et donc "désespérée" parce que son mari va recouvrer la vue (!) Depuis qu'il était donc aveugle (5/6 ans plus tôt) ; elle s'était laissée aller : plus grosse, le synonyme, non ?
Elle, ancien mannequin.
Il lui explique quand il a décidé de vivre avec elle...
il lui précise avant, dès lors qu'il l'a vue, "la toute 1ère fois"... soit, ainsi soit-il, il a eu envie de coucher avec elle.
Mais
c'est lorsqu'il est allé au restaurant avec elle
et que malgré sa robe, son maquillage, elle a commandé un carré d'agneau, s'en est donné à cœur joie en grignotant, déchirant la viande à pleine dents et à pleine mains, en s'en mettant partout, il a eu envie là, de se dire : "C'est avec elle que j'ai envie de passer toute ma vie."
Elle de lui répondre tendrement enlacée dans ses bras, alors qu'il est encore aveugle (juste quelques jours avant l'opération) à sa question : et toi ?
- c'est là, juste, il y a quelques secondes, que je me suis dit : j'ai envie de vivre avec lui toute ma vie...
j'ai mal écrit , allez sur le site , c'est inracontable.
Une matinée c'est si peu... et c'est à tout le monde cet épisode série, prenez-y ce qu'il vous plaira...
Merde ! je vous emmerde tous les besogneux du matin, je suis fille de la fin d'Après midi, et pourtant j'ai été conçue la nuit, malheureusement la nuit, la fin d'Après midi c'était pour me sociabiliser !
Au Conservatoire, il y a un "cours de solitude", sur scène dirigé par Monsieur Guy Bedos et ce matin sur France-Inter, il y avait un mini reportage de Vincent Josse. Podcastez, écoutez-le, c'est formidable, c'est quelqu'un de bien Monsieur Guy Bedos. J'aurais bien aimé l'avoir eu comme guide, grand-frère, lorsqu'au lieu de cela quand je suis arrivée sur scène pour une audition à mon futur cours, avec bien-sûr le texte en main et en tremblement, je me suis faite démolir...
j'avais dit : "c'est le texte d'une amie..." Certes j'ai tenu le coup et j'ai appris bien des choses, mais surement pas avec lui, la confiance en moi... Est-ce que cela s'apprend ? on peut vous guider sur la ligne d'un bon départ...
Ne laissez personne vous démolir...
Il y a des moments et des façons de dire les choses
Casser l'auteur et l'acteur, les mots sont terribles et sont susceptibles de faire beaucoup de mal, quand il sont donnés en over-dose.
Je connais certains anciens militants politiques, de vieux maoïstes aigris, qui sont aussi spécialistes des bilans culpabilisateurs, ces gens-là, sont de tous les bords, réacs et autres...
Bon, bien-sûr l'erreur est possible, on ne peut pas toujours percevoir le degré de vulnérabilité d'autrui. Mais une personne qui vous fait le cadeau de se présenter sur un plateau devant vos yeux, d'arriver seul et nu en quelque sorte, prêt à vous délivrer tout son monde intérieur, il n'y a qu'une seule chose par laquelle commencer, c'est déjà, lui dire merci et la trouver très courageuse...
Les films : IRON MAN 15/20, HANCOK 14/20, 3H10 POUR YUMA 14,5/20,
et donc dans un tout autre genre : VALSE AVEC BACHIR :
que je n'aurais pas l'outrecuidance ni l'humour provocateur de noter /20 :
un festival à ma maison...
Les Festivals : TRANS/Bastille, IMPATIENCE : JEUNES CIES/Odéon, Opéra/St Céré....
Pièces à voir bientôt à l'Odéon : Une dame de chez Maxim's de Feydeau mis en scène par Syvadier avec Norah Krief et Nicolas Bouchaud : époustouflant j'en suis sûre ! Courez-y !
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