mercredi 24 août 2011

Sean Penn et pourquoi pas ? l'obscur, je ne veux pas faire vite ici pour travailler plus et gagner toujours moins par rapport au pouvoir d'achat...

Je n'ai plus le temps je retravaille, et cela va plus vite d'infiltrer le profil le statut de FB que de créer même un bref article ici...
Pourquoi les blogs les réseaux sociaux fonctionnent aussi bien se déploient se généralisent parce qu'ils sont gratuits certes mais aussi, j'ai trouvé parce qu'on ne parle plus ailleurs, à cause de réduire tous les temps morts au boulot à cause du politiquement correct qu'il faut adopter partout... la seule zone de No Man's Land, de terrain Vague, c'est ici...., rien d'autre que le boulot ou le superficiel commun à tous intéresse pour un vague coup d'oeil
Et en même temps c'est bien fait car en étant là on n'est pas ailleurs, à militer, à lire...
on peut essayer de tout faire en très vite : l'amour, l'amitié ; la (je déteste ce mot) convivialité. Mais le travail non passionné motivé levé tôt et rentable et à la moindre erreur culpabilisé, alors qu'il n'y a rien de plus facile aujourd'hui que de réparer les erreurs, quand tout se mécanise se répète, on gomme à la source, aux données de base, et voilà...
Pourquoi je ne ponctue pas bien car j'écris automatique... et que je revendique un peu d'obscur à l'envers de la soit disante clarté du style commercial....


Sean Penn dans le Monde Magazine en star The Cure Rock sophistiquée dépressive... "This Must Be the Place"
un article de Samuel de Blumenfeld...
je vous le scannerai plus tard, ou plutôt mon ami le fera....


Et aussi le dernier film de Pedro Almodovar, que je revendique comme un de ses films les plus aboutis, La Piel que habito

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