Chaque jour sur FB, je le marque avec une affiche de film et je voudrais bien savoir quand j'aurais comme essoré mes souvenirs de cinéma, c'est plus important en nombre que j'aurais cru, presque comme une vie parallèle qui revient dans le détail avec seulement comme point d'ancrage : l'affiche. Je crois que ce serait pour moi si je perdais la mémoire comme des petits cailloux pour retrouver tout mon chemin...
Jour X/ 10
Challengé par Didier Duplenne
Je vais mettre chaque jour l´affiche d'un film qui m'a particulièrement marqué, sans besoin de commenter.
Je tagge celles et ceux qui likent, à eux de jouer le jeu s'ils le souhaitent.
Challengé par Didier Duplenne
Je vais mettre chaque jour l´affiche d'un film qui m'a particulièrement marqué, sans besoin de commenter.
Je tagge celles et ceux qui likent, à eux de jouer le jeu s'ils le souhaitent.
La présentation de ce jeu, est de mettre l'affiche sans autre commentaire et de passer cet appel ce rappel à notre imaginaire, à d'autres voyageurs des réseaux internet, s'ils le désirent et pour le nombre de films qu'ils voudront. Bien-sûr ceux qui jouent avec moi choisissent des films qui en appellent d'autres et cela me semble comme inépuisable. On a plus de films que d'amis, on a plus vu de films que lu de livres. Régis Debray disait ce matin que le gout de la lecture avait été divisée par trois au profit de l'écoute et de la vision qui eux ont été multipliés par trois.
Une de nos nièces m'a dit qu'elle avait remplacé les livres réels par les livres audio, et que dans les transports elles les écoutait, déjà parce qu'ils étaient lus par d'excellents comédiens. Ainsi on pourrait substituer sa voix intérieure, sa vie réelle en version intégrale, par les spectacles qu'on voit comme d'autres les voyages qu'ils font dans d"autres pays; à leur vie de reste... à leur base. Imaginez un seul instant disait Françoise Fabien sans bagages culturels...
C'est comme un vertige, certains films évoqués sont irrésistibles et l'on n'arrive pas à se taire, à ne pas déposer de commentaires.
J'en ai encore 22 en réserve aujourd'hui :
23 je viens de rajouter un film d'animation, allez 24 car j'oubliais les Indestructibles et Wallace et Gromit et l'Ile aux chiens et le mouton...et Babe ....
là ce sont des touches légères mais je n'ai pas encore cité Bad Lieutenant,
Le mépris, India song, Hiroshima mon amour, Le dernier métro, Domicile conjugal...
c'est incroyable ce qu'on lit vite et intensément quand on parcourt on embarque pour un film...
Le phénomène des séries pourquoi fonctionne t'il si bien parce qu'il nous attache plus profond, nous embarque plus loin, pour plus de temps.
sur FB j'en ai parlé d'une... La Casa de Papel
Comment résister ? tout y est même Almodovar et son amour des femmes... les personnages sont tous attrayants, attachants, même les moins, les plus pervers, personne n'est cadré bon ou méchant. Mon compagnon après avoir vu 10 épisodes avec moi a dit STOP, y a t'il une jalousie des amours passagères, addictives, de la série plus encore que celle des films, des acteurs, lorsque vous montrez trop que vous aimez ? cet agacement ne serait-il pas une nouvelle variation de la jalousie, vous savez quand on "casse" votre film et à la fin, cela évolue toujours de la même façon, on va au ciné tout seul, on regarde ses programmes dans une autre pièce, on écoute sa musique etc... alors qu'à l'origine on s'était reconnus pour avoir des goûts communs. Ma mère est totalement comme cela, après toutes ces années, elle n'aime plus rien de ce que j'aime, ne lit pas, ne regarde aucun film "moderne" et même dans les goûts alimentaires me poursuit : "écoute-moi tu devrais achèter un artichaut..." Et moi la semaine d'après : j'ai pensé à toi, j'ai mangé un artichaut et quand elle entend mon ton mi figue-mi raisin, tu ne l'as pas bien fait cuire, il ne faut pas les mettre à l'auto-cuiseur et puis je t'ai dit cela en passant,mais tu n'étais pas obligée.. j'entends derrière ses mots son amusement... Ça ne va jamais !
Mon compagnon, c'est plutôt parce que le dimanche, il y a les matches de foot et bien lui en a pris, car le match Guingamp PSG était passionnant... le PSG a failli perdre...
avec l'incommensurable Michael Lonsdale, eh oui on dirait presque Star Wars j'y allais au Prado à Aulnay sous bois avec mon père seulement, ma mère détestait, plus rien d'autre n'existait au monde, quelle intacte sensation. |
Nathalie Feyt pourquoi ai-je tant aimé le cinéma italien car il m’a fait aimer l’Italie passionnément. Je suis allée en Italie jusque dans le Sud parce que j’avais vu des films des pièces de théâtre et lu des livres et entendu des chansons italiennes qui me sont devenues comme familières : o bella ciao. Le christ s’est arrêté à Eboli... Pasolini Erri de Luca ....Paolo Conte et puis c’est l’Opera italien que j’aimais le plus petite avec ma grand-mère
Très dérangeant... mais avant de changer le monde il faut être dérangé dans ses rêves et ses à priori que l'on veut imposer aux autres.
le film qui m’a aidé à les comprendre et a accepter ma déploration quand j’ai aimé des hommes qui préféraient des hommes... et Marcelo Mastroianni capable de tout jouer intensément avec légèreté. La scène sur la terrasse, de la
cueillette des
draps une des plus belles scènes de cinéma pour moi. La chanson de Brassens les passantes aussi a été un bon remède comme
l’île aux chiens dans un sens...
« sans besoin de commenter » oui c’est bien l’énoncé mais moi j’ai besoin d’écrire comme de parler chaque jour et beaucoup plus que de faire du « fitness »
cueillette des
draps une des plus belles scènes de cinéma pour moi. La chanson de Brassens les passantes aussi a été un bon remède comme
l’île aux chiens dans un sens...
« sans besoin de commenter » oui c’est bien l’énoncé mais moi j’ai besoin d’écrire comme de parler chaque jour et beaucoup plus que de faire du « fitness »
Heureusement ce film ressort et Philippe Rouyer critique du Cercle-émission de Canal + cinéma- avec Marie Sauvion, il adore ce film, il l’a commenté et présenté au "tableau" du Cercle en précisant qu’il était quasi impossible de voir Mischka sans pleurer, émission où l’invitée était l’étonnante et merveilleuse actrice Léa Drucker. La semaine d'après (27 avril 2018)c'était Jean-François Stévenin justement, l'invité du Cercle.
le film avec Colombo... sur l’affiche française
Série de deux films et autres films avec Colombo...