lundi 26 novembre 2018
Et certains me demandent que devient Gregory Guillotin ? son dernier making-off sur son prime-time sur C8 et sa dernière caméra cachée : le Pire anniversaire !
Numéro Une
Éloquence à l'assemblée Joey Starr au théâtre du Rond Point/ Ce que j'ai glané à propos des gilets jaunes sur les Réseaux dans les médias...
Pensées de Rome glanées sur FB
De Rome, elle m'envoie une image humide comme ce jour de novembre.
Je l'imagine ralentir le pas dans la rue pavée, se pencher, observer avant de viser avec son appareil, puis viser parce qu'elle a ressenti ce mélange inconfortable et puissant entre beauté et outrage, entre grandeur et défaite
Clic !
Son geste à Elle vient réparer, ou plutôt “repriser” celui du passant.e qui, par négligence ou dédain, a laissé tomber dans le caniveau une reproduction du Caravage
Et voilà que sa photographie refuse le dernier mot au chagrin et à la nostalgie – révélant les correspondances entre la somptuosité des fruits sur le tableau et celles des feuilles mortes dans le caniveau.
L'automne est une leçon de choses et d'histoire
Encore faut-il qu'un être ralentisse son pas pour nous le donner à voir et à penser
Cet être, aujourd'hui – Isabelle Ingold
Nathalie Feyt Ce sont les chagrins évaporés qui donnent vie aux pensées je crois quelque chose comme cela ou bien "Il automne dans mon cœur...."
lundi 19 novembre 2018
Malinconico Autumno de Raffaello Matarazzo au Cinéma de Minuit
https://www.france.tv/france-3/cinema-de-minuit/786191-cinema-de-minuit.html
vendredi 16 novembre 2018
Les Chatouilles
mercredi 14 novembre 2018
En Liberté et Un Amour impossible
J’écoutais la revue de presse de France-Inter à 8h30 qui concluait que les jeunes étaient happés par les mondes virtuels et faisaient l’amour de moins en moins... et je repensais à notre après-midi hier à cinq où tous les cinq avions choisi, avant de nous retrouver, sans concertation, d’aller au Cinéma.... une retraitée, un intermittent, deux travailleurs en congé, une allocataire du chômage. Le mois de Novembre est la période où « les gens » c’est à dire nous ? vont le plus au cinéma....
Le cinéma et toutes ses déclinaisons par l’image, les dessins animés, les BD, les chaînes vidéo, les réseaux conçus pour nous faire évoluer vers plus de compassion, d’humanité d’éducation, de culture !!! ne sont-ils pas, effet pervers, en train de nous isoler, nous renfermer, nous faire accoucher par la facilité du remède individualiste, de notre inhumanité !?! On ne regarde que ce qu’on est ? La belote ou la pétanque ne valent-ils pas mieux ? Le cinéma par ce roulis d’entrée sorties de nos vies, comme des voyages express, phénomène plus accentué encore dans les Séries n’aggrave t-il pas l’état dépressif général ? les critiques de cinéma eux en vivent car ils ont un devoir de partage.... mais nous les autres qui restent cois ? Je me rappelle l’agacement d’amis qui n’allaient plus jamais au cinéma ne regardaient pas ou peu la télévision, de nos conversations sans fin à commenter des films ou des pièces de théâtre..... Et à part cela que diriez vous de la vie ? -Mais c’est aussi la vie !?
-Oui mais de la tienne de tes amours, tes amis, tes sentiments ? Tes journées tes nuits...à part ton chien ton chat... les enfants si t’en as, sont grands ? -oui mais les parents sont eux devenus vieux... ils meurent.
Les deux films que j’ai vus, avant hier : En Liberté et hier : Un Amour impossible.
https://www.telerama.fr/cinema/films/en-liberte,n5609064.php
En Liberté m’a conquise pourquoi ? Parce qu’il allie le burlesque, le délicatement observé : sur le parler haut tout seul... le profond sur l’état de victimisation qui donnerait tous les droits à toutes les sortes de violences de vengeances !? le conte par images. Le monde décrit quoiqu’extravagant reste crédible et la naïveté amoureuse esti belle... les plus belles séquences du film. Nous sommes comme le petit garçon aux oreilles décollées et aux grands yeux proches de l’étoffe de nos rêves sur notre père déjà.... Les acteurs si on ne comprend pas tout ce qu’ils disent, sont tous très bons.
https://www.telerama.fr/cinema/films/un-amour-impossible,n5570559.php
Un Amour Impossible est un petit bijou à sa façon et très différemment d’un marivaudage mais la force d’un roman éclairant les rapports pervers de classe dans une relation amoureuse en est la trame sans faille sans rupture de rythme. Les deux acteurs principaux, iIs finissent par vieillir, sont fascinants de justesse et de beauté différentes. les rôles d’enfants les rôles secondaires sont d’une grande force comme celui avec l’élégante évidence dédaigneuse du père de Philippe Niels Schneider interprété par Didier Sandre où le médecin par Pierre Salvadori. La réalisation d’un tel film avec la reconstitution de l’époque 1950-60 est d’une exactitude aussi simple et clinique que l’écriture de Christine Angot et ce qui en ressort, c’est l’acuité de la vérité. Et bien-sûr on ne pleure pas car en voyant ce film nous sommes des « roseaux pensants » activés, réfléchissants.
lundi 12 novembre 2018
Mademoiselle de Joncquières
samedi 10 novembre 2018
Alors cette lecture sur la Nuit des mots
Il
En photos cela ne suffit pas, pour donner tous les détails, l'ambiance, le temps qu'on ne sent plus passer, la douceur efficace de tous les intervenants, des familles qui deviennent légères et qui assument, s'attachent et se libèrent par l'amour des leurs... Commence par t'occuper de tes proches ta famille, tes amis, tes voisins, tes collègues, tes clients et tout redevient possible !
Les textes étaient tous différents d'écriture connus et d'autres moins lus en deux langues anglais russe même avec leur traduction(on a cité les auteurs et pas les traducteurs) : poèmes proses, les couleurs de la nuit aussi : amour, peur, guerre et sensibilité rendue à l'expression possible, enfin par les mots, grâce à la Nuit.
Des textes, que j'ai lus, celui que j'ai ressenti comme mien, était celui de mon amie, libraire : Anne Guyot, cela m'a envahi, comme une évidence à la lecture à voix haute et s'est transmis au Public sage attentif et présent dans les quelques allées de libres dans cette librairie caverne d'Ali Baba. Ce que je regrette, c'est d'avoir oublié de citer Les Mille et une nuits, mais un conte ça ne peut se couper, les extraits sont tous frustrants... voire incompréhensibles, et ce soir là nous étions comme Shéhérazade du coté de la vie à repousser la mort au moins jusqu'au lendemain...
Merci de ce partage de forces vives.
mardi 6 novembre 2018
I feel good...
Mais bon voilà c'est mon avis et je n'ai pas marché avec eux mais qui sait ce n'était pas le jour car toute la dimension onirique symbolique dans les pays de l'Est (Bulgarie) ne m'a pas séduite, à l'image non plus...
Je viens de lire relire la critique de Télérama et je comprends leur avis élogieux mais je ne trouve pas que c'est leur meilleur film.
https://www.telerama.fr/cinema/films/i-feel-good,n5448547.php
Pierre Kandel sur FB
— I feel good : amusant. De bonnes répliques. Mais finalement, le scénario est très convenu (en gros, on est heureux tel qu'on est, même pauvre ET moche). Avec des détours un peu en trop.
lundi 5 novembre 2018
Que devient Malotru après le dernier épisode de la Saison 4 du bureau des Légendes ?
article du Figaro sur l'excellente saison n°4 ils parlent d'incohérences qui n'en sont pas, et pas de Pascale Ferran co-réalisatrice d'Éric Rochant ! de transparence des nouveaux arrivants même si je suis une fan absolue de Darroussin ils sont très bien. Et d'autres comme Artus le jeune humoriste sont confirmés dans l'excellence pour sa présence à l'écran, sous des allures d'impassibilité. Enfin des rôles de "gros" qui ne sont pas les faire valoir des beaux ou même des belles...
http://www.leblogtvnews.com/2018/09/la-saison-4-du-bureau-des-legendes-fait-son-arrivee-sur-canal.html
article d'un blogueur
https://www.lemonde.fr/televisions-radio/article/2018/10/22/le-bureau-des-legendes-ou-la-damnation-de-malotru_5372683_1655027.html
article du Monde qui souligne l'arrivée de Pascale Ferran...
C'est vraiment une série qui au fur et à mesure des épisodes et des Saisons vous emporte le plus loin dans l'humain, dans le réel, dans les suites politiques de ce qu'on vit.... à distance mais qui se trame dans les coulisses des états-majors politiques.
Pour vous consoler du manque quand c'est fini... et ouf la Saison 5 est à l'écriture
NE LIRE SOUS AUCUN PRETEXTE SI VOUS N'AVEZ PAS VISIONNÉ TOUS LES ÉPISODES DE LA SAISON 4 c'est à dire jusqu'au dixième
-je crois que je n'ai pas bien dormi à cause de Malotru ?
-il ne peut pas mourir... on a bien vu à l'écran son verre vide, et on ne sait pas comment il l'a vidé on ne le voit pas boire le poison entièrement alors qu'il y a un plan sur son verre vide, enfin presque vide, il est trop malin il l'aura craché. Et l'un des responsables de la DGSE peut encore appeler la CIA pour tout arrêter, il est à deux doigts, non ? il y a surement un antidote avant qu'il ne brûle dans l'incendie.
Et après cette dernière scène, on serait dans sa tête ? il n'est donc pas encore mort, c'est comme un rêve de soutien ultime, à la fin de la vie, on le voit encore heureux au quotidien avec ses proches, après avoir quitté son bureau, on le retrouve au resto, dans un bar à vin, avec sa fille, il est filmé par la vitre, il sourit enfin et son amour Nadia El Mansour, celle pour qui il a trahi son pays, elle les rejoint embrasse sa fille, l'embrasse à son tour... c'est comme les épitaphes sur les tombes en plus réel, ça vous donne des regrets.... ça vous amène les larmes au balcon...
-ils ont déjà sacrifié Daroussin, ils ne peuvent pas se passer de l'acteur Kassovitz.
-Kassovitz joue avec une froideur extrême et donc derrière il est obligé de jouer avec une extrême sensibilité contenue pour passer le plan l'abime de la photo.... c'est pour cela que nous nous identifions à lui car son masque neutre prend comme un peu tous nos visages... oui le jeu des acteurs américains.
-ce qui m'inquiète un peu c'est qu'il est déjà mort et ressuscité une fois... à la fin de la Saison 2
-et qu'il est réalisateur lui-même et n'a pas tourné depuis longtemps ses propres films...sa propre Série...
-tu sais quoi, elle a raison ta mère, nous ne sommes pas finis.... à vivre comme dans l'écho des histoires, des feuilletons comme si ils étaient un peu des trous noirs dans lesquels on aimerait tomber pour s'offrir une autre vie...
-oui, et ensemble...
-bon, j'y vais...
-bon courage au bureau...
Pascal, mon compagnon sera en retraite au 1er janvier, date à laquelle nous aurons encore ensemble plus envie de fiction : séries et films au cinéma avec un pass duo, notre cadeau de Noël... je lis dans les épisodes de la vie à venir....
Les séries sur Canal + une des dernières bonnes raisons d'être abonné... entendu à la radio, à propos d'Engrenages la suite, qui commencera en février 2019.
dimanche 4 novembre 2018
Exposition Cinémathèque Sergio Leone ou comment faire du cinéma ?
Sergio Leone enfant |
Costumes d'Il était une fois l'Amérique |