Et sur ce second lien critique j’ai répondu sans spolier le déroulé de l’histoire
Je ne suis pas du tout d’accord sur les points négatifs trouvés par cette personne parce qu’au contraire les duos incriminés Elfe(Eleven) et Max des enfants et Hopper/Joyce des adultes m’ont ravie attachée à eux ainsi que les nouveaux personnages Robin et Erica. Les personnages féminins de cette série sont tous incroyables et crédibles. J’ai eu peur hurlé parce que des personnages secondaires mourraient....
Les critiques m’ont donné envie de voir la référence pour le monstre Thé Thing quoique celui d’Alien me semble suffisant... Certains personnages « matchos nuls » le maire le gros bras style Terminator sont très bien, le scientifique russe traitre est très touchant...
Après une nuit de sommeil profond j’aime absolument et j’attends les détracteurs... je les dégommerais tous, un peu comme ceux qui n’aiment pas Michel Fau. Et c’est très bien de garder le cadre justement...
C’est aussi une très belle série sur l’amitié et ce qu’il en reste quand on vieillit, l’amitié de Robin et du beaugosse du lycée...
Et petite parenthèse j’aime et j’ai toujours aimé les gros plans au cinéma bien avant qu’on dise que c’était fait pour que les gens suivent les séries sur leurs smartphones...
Depuis cet article j’ai regardé sur OCS Géant The Thing j’ai trouvé ce film de Carpenter très bien fait, haletant et très bien joué, la musique, la fin, tout est désespérant mais cette résistance pour sauver quelque chose au delà de soi est magistrale. Et j’ai ri quand ils disent que tombent des soucoupes volantes tous les jours... cela m’a rappelé quand avec mon père on les cherchait la nuit dans le ciel et qu’il roulait phares éteints pour ne pas être repérés par les soucoupes volantes après un repas bien arrosé en Normandie... C’était le complot de l’époque....
Notre critique de “The Thing”
Présence obsédante et mortifère de la neige, sensation étouffante d’un piège à huis clos, ce remake d’un Hawks mineur (La Chose d’un autre monde, coréalisé avec Christian Nyby, 1952) est l’un des films les plus terrifiants jamais tournés. Sa principale force ? Une atmosphère de paranoïa galopante, chaque personnage suspectant les autres d’être, derrière le masque de la respectabilité ou de la camaraderie, des ennemis mortels. Les scientifiques et les techniciens contraints de cohabiter dans une base isolée de l’Antarctique sont-ils encore des humains ou cachent-ils dans leurs entrailles un monstre sanguinaire venu de l’espace ? Ici, l’action prime. Aucun mot, aucun mouvement de caméra inutile, soit un principe de mise en scène parfaitement cohérent avec la situation des personnages, qui doivent économiser leurs gestes dans le froid polaire. Pour faire naître l’épouvante, Carpenter joue en virtuose à la fois du hors-champ (le mal caché dans l’ombre, façon Jacques Tourneur) et du gore en gros plan — on pense aux attaques de la créature dans Alien. Plus de trente ans après, les effets spéciaux de Rob Bottin, garantis sans images de synthèse, restent toujours aussi impressionnants. Mais moins que le pessimisme radical de ce film, qui s’achève au cœur d’une nuit sans espoir d’aurore. — Samuel Douhaire
aucun mouvement de caméra inutile
RépondreSupprimerVous regardez des films qui ne peuvent pas être utiles pour les enfants, peut-être il est préférable de regarder https://sitedestreaming.co des comédies?
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