Les films les séries soit mais il me faut du jamais encore vu ou des personnages attachants... chercherais-je un amour sans fin ?
Et pour cela je dois repasser par la case enfance attachement sans chantage ni contrefaçons ni intox ou fakes des histoires qui durent autant que faire se peut...
voilà le fruit de mes élucubrations d'après aussi les post FB avec ou sans retouches... en vrac sans coiffure comme nous tous...
Dans les séries de films les incroyables randonnées voyages histoires de chien m'ont sortie de cette longue parenthèse ; j'ai vu la dernière mouture ou la dernière réadaptation de 2019 sur Canal+ : l'Incroyable voyage de Bella (Note 6/9...) après la veille avoir revu presque à l'exactitude RATATOUILLE, au niveau mémoire : des grands instants....notamment le critique culinaire et sa ratatouille.
C'est difficile de revoir un film et d'éprouver l'intensité d'émotion d'origine.....
Avec les films d'enfance cela marche plus ou moins selon les évolutions de chacun....
Comme contre exemple dans la famille films pour adulte : 9 mois ferme ! la deuxième fois que nous le voyons, c'était hier jeudi 30ème jour de confinée, et nous étions tous les deux près sur notre 31... de disponibilité et rien ou presque comme ressenti, même que très peu de sourires sauf à la fin... à cause du confinement qui fait écho à l'enfermement dans le film ???
"Emotions anciennes
Se laisser tomber en enfance n’est pas y retomber. C’est se délester de « soi », ce quant-à-soi des grandes personnes qui contraint à n’extirper de la mémoire que des souvenirs figés en frise chronologique. Chanson bretonne cherche plutôt à élucider l’origine d’émotions si anciennes qu’elles semblaient enfouies, ignorant pour ce faire la logique chronologique, à la façon des enfants eux-mêmes : « Les jours pour eux s’ajoutent aux jours, non pas pour construire une histoire mais pour s’agrandir, occuper l’espace, se multiplier, se fracturer, résonner. »
Se laisser tomber en enfance n’est pas y retomber. C’est se délester de « soi », ce quant-à-soi des grandes personnes qui contraint à n’extirper de la mémoire que des souvenirs figés en frise chronologique. Chanson bretonne cherche plutôt à élucider l’origine d’émotions si anciennes qu’elles semblaient enfouies, ignorant pour ce faire la logique chronologique, à la façon des enfants eux-mêmes : « Les jours pour eux s’ajoutent aux jours, non pas pour construire une histoire mais pour s’agrandir, occuper l’espace, se multiplier, se fracturer, résonner. »
"Tomber en enfance
un poudroiement doré entre les mots les plus simples..."
alors je me dis que j'aurais besoin de mots simples qui racontent le poudroiement doré d'entre les mots.....
"Il était une fois..."
justement les animaux qui n'ont pas les mots que leur présence
Revenons à nos incroyables traversées, voyages, randonnées, (tous sur la nouvelle chaine Disney où vous trouvez aussi les Pixar, Marvels, Star Wars : avec le dernier né Mandalorian et Bébé Yoda)
C'est tellement vieux qu'il n'y a pas sur You Tube la VF de la BO
Revenons à nos incroyables traversées, voyages, randonnées, (tous sur la nouvelle chaine Disney où vous trouvez aussi les Pixar, Marvels, Star Wars : avec le dernier né Mandalorian et Bébé Yoda)
Ces films pour enfants : ces incroyables, les 4 sont des voyages à travers forêt nature canadienne américaine, un seul se passe surtout dans une grande ville San Francisco
Donc ces films avec Incroyables chiens et même chats par ordre chronologique et cela sur presque 60 ans avec toutes les mutations du cinéma avec truquages puis effets virtuels :
le 1er dont j'avais le souvenir n'a d'autre effet que la voix off certes omni présente...
L'incroyable randonnée 1963 (6/9)
https://fr.wikipedia.org/wiki/L%27Incroyable_Randonnée
https://fr.wikipedia.org/wiki/L%27Incroyable_Randonnée
https://fr.wikipedia.org/wiki/L%27Incroyable_Randonnée
Le 2 ème, avec des voix pour les pensées des animaux et c'est assez réussi pour le jeune boxer américain Chance, pour les trois en fait par leurs singularités, je fus, je suis encore tellement absorbée par ces films, sur le même chemin d'enfant que je ne les départagerais pas d'où la même note et avec ce dé-confinement promis, je mets un stop aux chiffres, j'en ai une indigestion, des chiffres, des milliards, des prêts sur 100 ans....
L'incroyable voyage 1994 (6/9)
L'incroyable voyage II à San Francisco1996 (6/9) que vous dire c'est absurde mais on mais je marche je cours et à la fin je suis tellement contente qu'une telle famille puisse être même pensée : avec trois enfants et trois animaux .... au départ.
Je n'en dirais pas plus même dans des films comme cela, il ne faut pas spolier la fin, même quand on la sait arriver dès le départ....
Je n'en dirais pas plus même dans des films comme cela, il ne faut pas spolier la fin, même quand on la sait arriver dès le départ....
La série pour adultes...minie certes à voir absolument Dérapages
https://www.franceinter.fr/emissions/la-chronique-de-xavier-leherpeur/la-chronique-de-xavier-leherpeur-23-avril-2020?fbclid=IwAR3tNCcJ-o3MwJGMb40xXr0p1tAKKRtqnaIbtdzB9qdIeuAivb1BFY9lmmo
https://www.franceinter.fr/emissions/la-chronique-de-xavier-leherpeur/la-chronique-de-xavier-leherpeur-23-avril-2020?fbclid=IwAR3tNCcJ-o3MwJGMb40xXr0p1tAKKRtqnaIbtdzB9qdIeuAivb1BFY9lmmo
Sur Arte TV/ DÉRAPAGES avec Éric Cantona Alex Lutz scénario tiré de Cadres noirs de Pierre Lemaitre réalisation Ziad Doueiri (Baron noir)
Dérapages (1/6) https://www.arte.tv/fr/videos/083866-001-A/derapages-1-6/
TT On aime beaucoup et moi aussi j’aime beaucoup c’est un thriller avec 2 acteurs atypiques que je suis sans réfléchir : Alex Lutz et Éric Cantona... c’est excessif et alors rappelez-vous avant de rester confinés les abus du management.... des directions d'entreprises des journées work-well en commandos ou presque...
Dérapages (1/6) https://www.arte.tv/fr/videos/083866-001-A/derapages-1-6/
TT On aime beaucoup et moi aussi j’aime beaucoup c’est un thriller avec 2 acteurs atypiques que je suis sans réfléchir : Alex Lutz et Éric Cantona... c’est excessif et alors rappelez-vous avant de rester confinés les abus du management.... des directions d'entreprises des journées work-well en commandos ou presque...
Télérama
Abonné
Critique par
Guillemette Odicino
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Critique par
Guillemette Odicino
« J’ai jamais été un homme violent. Je n’ai jamais voulu tuer personne […]. Quand j’ai compris à quel point j’étais en colère, j’ai pris peur, mais c’était trop tard. » Éric Cantona, collier de barbe et tricot de peau sans manches sur tatouages, nous parle face caméra. Pardon… Alain Delambre, cadre senior au chômage, nous raconte, dans une construction ingénieuse de flash-back, comment il en a eu marre de multiplier les jobs ingrats pour faire face à la précarité, et espérer, en vain, repeindre les murs lépreux de l’appartement familial acheté à crédit. L’espoir peut être fatal : lorsqu’un cabinet de recrutement lui propose une sale mission pour une grosse multinationale, il accepte, mais, cette fois, il arrivera armé…
On plonge sans réserve dans cette série qui mêle polar social, drame familial et chronique judiciaire, à condition d’adhérer à ses deux postulats puissants : un ton pamphlétaire, mais gorgé de dérision, porté par la voix et tout le corps d’un Cantona quasi schizophrène (chef de famille affolé d’un naturel confondant et vengeur social soliloquant), et une peinture effrayante, outrée, du cynisme libéral qu’incarne Alex Lutz en pdg glaçant.
Avec sa mise en scène tout en lignes de fuite et en décors vitrés à la Michael Mann, ce thriller finit, surtout, par dessiner le passionnant portrait d’un homme ordinaire, pris dans une folie de terre brûlée, de non-retour, et rendu sourd à l’amour de ses proches par un système broyeur d’ego
On plonge sans réserve dans cette série qui mêle polar social, drame familial et chronique judiciaire, à condition d’adhérer à ses deux postulats puissants : un ton pamphlétaire, mais gorgé de dérision, porté par la voix et tout le corps d’un Cantona quasi schizophrène (chef de famille affolé d’un naturel confondant et vengeur social soliloquant), et une peinture effrayante, outrée, du cynisme libéral qu’incarne Alex Lutz en pdg glaçant.
Avec sa mise en scène tout en lignes de fuite et en décors vitrés à la Michael Mann, ce thriller finit, surtout, par dessiner le passionnant portrait d’un homme ordinaire, pris dans une folie de terre brûlée, de non-retour, et rendu sourd à l’amour de ses proches par un système broyeur d’ego
Merci d'avoir revu le film ... dans un film https://filmcomplet.tube italien, j'ai entendu une citation
RépondreSupprimerLes animaux ne sont pas des gens pour vous, vous pouvez négocier avec eux.