mercredi 16 juin 2021

Mes films, séries, courts métrages, fête de l’amour : Aides ….

Olivier Steiner a réalisé plusieurs films dont deux que j’ai beaucoup aimé un moins mais c’est parce que je l’ai mal regardé cela fait cela quand on aime les gens pour de vrai on se sent voyeur, c’est un peu comme une image de soi, qu’on ne veut pas voir en direct, en perf….

https://diacritik.com/2021/06/10/diacritik-aides-1-dire-oui-a-lamour-fetelamour/?fbclid=IwAR3Z4YaL0Dqaun--oM0Bw3GyuOX-n0q4C3VabON3NGrpeB1UsVx-yJZA8d4 sur FB, il y est comme moi, fidèle fou ou amoureux les trois je crois et avant tout écrivain romancier. Écrire je me suis dit en regardant ses films c’est arrêter une image sans qu’on s’en aperçoive…


Ses films à Olivier sont bien. Ils y sont tous sur FB. 

Puis j’ai regardé avec un plaisir orageux la saison 2  de Arsène Lupin … aucun rapport. Quoique, à la a fin… J’aime de plus en plus cette envolée d’aventures rocambolesques d’Arsène Lupin, qui me rappelle que le temps n’existe pas et qu’il passe aussi, avec de très bons comédiens. 



Ai vu aussi Mandibules…Nomadland….Des hommes dans cet ordre oui à condition de mettre ex æquo Mandibules et Nomadland et derrière des hommes, à voir aussi.  
Les deux protagonistes le duo d’acteurs de Mandibules qui sont-ils Grégoire Ludig, David Marsais ? Interroges sur France Inter par Augustin Trapenard 

Mes impressions et les avis pour et contre de Télérama : le cercle d’or de la critique du cinéma .....à l’avis par notoriété ils sont juste derrière le Monde et l’émission de radio le Masque et la Plume, mon beau-frère n’a pas aimé notamment la photo saturée de lumière, d’été de plage, de désert avec ce fond jaune en attente des Indiens.....

Je vais vous dire que Mandibules m’a plu pour mon premier film après tous ces mauvais rêves....
Pour notre retour en salle au grand écran même les pubs et le Jean Mineur nous ont plu. Pascal m’a tanné de me dépêcher pour ne rien manquer de la séance et nous avons à la fin tout vu du générique et en rentrant je parlais comme les deux « idiots » à notre chatte  qui du coup restait très attentive à tous les mots.... on s’attache à ces deux idiots quoiqu’il arrive.... et nous étions peu nombreux un mec est sorti : jeune et sinon quelques
rires  dont les miens un peu muselés ;
pour ne pas effrayer le monsieur du devant.
Comment vous dire que cette histoire part d’une absurdité et revient presqu’à son point de départ. Seuls « les idiots » restent amis....et je suis bien placée pour vous dire cela. 

Ma marraine une des seules « aînées » qui me reste m’a appelée suite à la nouvelle du forcené armé en fuite  en Dordogne me sachant là-bas. Elle me dit connaissant mon caractère avenant : je voulais m’assurer que c’était assez loin de là où tu es....Et que tu fermes bien la maison, pour ne pas
lui offrir le gite et le couvert....
Deux personnes m’ont appelée pour parler de ce « fait divers » comme quoi ? le collectif est inconscient.....Quentin Dupieux dans les propos du flic a bien raison, de souligner : « y en a tous les jours des atrocités mais là, ce qui compte c’est qu’il n’y a pas mort d’homme » et ils  leur font signer un questionnaire de satisfaction sur leur intervention....
Et j’adore la fin.... comme j’étais bien après comme après un bain en pleine mer où on a enfin pied .....qu’on peut se redresser...et sourire aux oiseaux au ciel bleu et à tous les enfants, les gens sur la plage et qui vous répondraient.....






Mandibules
2020 France Réalisé par Quentin Dupieux 1h17 avec Grégoire Ludig, David Marsais, Adèle Exarchopoulos
Comédie Sortie le 19 mai 2021
TT On aime beaucoup

T l’avis de la communauté 
37%

Télérama
Abonné
Critique par
Jacques Morice

Une histoire de mouche géante apprivoisée par deux paumés. Quentin Dupieux déploie à nouveau son art de l’absurde avec une Adèle Exarchopoulos hilarante. Ou nous perd en glorifiant une crétinerie sans fond ?
Pour
On aime beaucoup
Le Daim, avec Jean Dujardin et Adèle Haenel, était grinçant, plongé dans la grisaille. Le beau temps est cette fois de la partie, dans ce coin qui ressemble à une Côte d’Azur vaguement américaine, une contrée déserte aux couleurs légèrement passées. Manu et Jean-Gab sont deux simples d’esprit qui s’entendent comme larrons en foire. Ils ont le profil de filous, de glandeurs dans la dèche, surtout Manu, SDF depuis peu. Mais ces compères prennent plutôt la vie du bon côté. Un jour, ils découvrent dans le coffre d’une voiture une mouche géante et vivante. Jean-Gab a l’idée de l’apprivoiser et de la dresser pour qu’ils puissent s’enrichir avec.
Autant dire que le film vole assez haut dans le délire absurde. C’est pourtant simple : deux lieux successivement squattés (une caravane, puis une villa avec piscine), une voiture pourrie, un animal anormal. Il n’en faut pas plus au réalisateur d’Au poste ! pour nous transporter loin. Le surréalisme solaire, l’association parfaite de Grégoire Ludig et David Marsais (le duo Palma­show), les bifurcations du récit, imprévues mais non sans logique, tout cela procure une sensation d’innocence. D’autant plus troublante qu’elle s’impose naturellement. Comme si Quentin Dupieux gardait un pied dans le cinéma amateur, dégagé des obligations de raison ou d’efficacité à tous crins.
Du burlesque franchement libre, de la poésie loufoque mais aussi dérangeante par instants, voilà ce que délivre Mandibules. Un univers où une mouche géante peut paraître aussi ­attachante que les pieds nickelés qui la dorlotent. Et où l’humour culmine grâce à Adèle Exarchopoulos, surprenante et hilarante dans un numéro à contre-emploi de fille dérangée, souffrant de problèmes d’élocution, qui parle en criant et s’avère être un vrai cordon-bleu.
De nourriture, il est souvent question. Avoir à manger n’est pas le cadet des soucis des deux guignols en chef, impressionnés par « le frigo de riche » et la profusion de produits lorsqu’ils sont invités chez une amie. Quentin Dupieux s’adonnerait-il au cinéma ­social ? Si l’on veut, mais en sourdine, en s’appuyant sur le lien le plus rudimentaire qui soit, à savoir l’amitié de deux idiots. Étant entendu, bien sûr, que l’idiotie n’a rien à voir avec la sottise. Au contraire. Elle balaie ce qui s’en approche — la suffisance comme l’intelligence — pour atteindre une forme de sagesse radicale. — Jacques Morice
Contre
On n'aime pas
Ils sont stupides à manger du foin et ils veulent dresser une mouche géante. Voilà à quoi se résume l’intrigue de ce film de potes : glorifier la crétinerie. Ce n’est pas nouveau, Quentin Dupieux divise. Pour goûter ses frasques auteuristes, mieux vaut être amateur d’intrigues épaisses comme une feuille de papier et d’humour absurde. Mais on peut avoir aimé les films précédents du réalisateur (Rubber, Wrong Cops ou Au poste !) et rester hermétique à cette ­potacherie aux frontières de l’imposture. L’humour « pataphysique », ici, consiste, pour les personnages, à s’exprimer comme des ados incultes, dans un verlan ringard. L’aventure de ces perdants qui se voudraient magnifiques s’étire comme un chewing-gum, dans un décor de western rétro. Adèle Exarchopoulos hurle en zozotant, et le rappeur Roméo Elvis fait une apparition. Tout cela est plutôt stylé, mais sans consistance. Grégoire Ludig et David Marsais lassent rapidement avec leur partition beaucoup trop monotone. Le résultat est simplement ­bêta. — Hélène Marzolf
La communauté
Micro-critique de NTosic
Le propre de ce cinéaste est d'être capable de réunir des acteurs qui n'ont rien à faire ensemble sans que ça ne nous paraisse absurde. »






Lucas Belvaux c’est un très bon réalisateur et j’ai beaucoup aimé sa trilogie et aussi le film sur les 38 témoins du Havre et la Vallée de la mort  (erreur c’est Guillaume Nicloux le réalisateur)
Lucas Belvaux a réalisé aussi : Pas son genre ; 
j’ai mal vu, Des hommes, et cela m’a donné l’envie de lire les romans de Laurent Mauvinier https://youtu.be/qMEQUd9Pq1Q 
c’est quand même un film à voir et ils sont si rares sur le sujet de la Guerre d’Algérie.

Deuxième film pour nous depuis la réouverture des salles avec grand écran, premier flop : Des hommes.... pour moi on voit toutes les ficelles de la mise en scène les scènes en Algérie sont peu crédibles, il manque tout ce qui devrait nous faire partager ces horribles moments qui sont par contre pas complaisants.... pour la première fois j’ai remarqué tout le neuf des costumes ; les acteurs autres personnages que les principaux vieux, sont trop nombreux on s’y perd, ils jouent mal... j’aime tellement la vallée de la mort ou d’autres films de Lucas Belvaux que je me suis endormie et je me suis dit : comme on est bien dans cette grande salle obscure :  arrête de lutter ferme les yeux comme Ton compagnon... de voyage. Même Depardieu on n’y croit pas quand quelqu’un lui dit : « rien n’est à toi, on t’a tout donné même ton costume » on n’y croit pas ! Je n’y crois pas. Il faudrait tout de même plus travailler les détails, surtout quand la mise en scène est ambitieuse. On se demande aussi pourquoi Depardieu ne se dégage pas d’une bagarre aussi fade. J’ai pensé à Apocalypse now et même à d’autres films moins exceptionnels mais celui-ci, non, je vais vite l’oublier. 
Mais c’est un film qui m’a bousculée un peu dans mon hypersensibilité un peu fragile je ne savais plus où j’étais vraiment en sortant, j’attendais la fin...J’ai trouvé Depardieu juste bien évidemment mais Daroussin et Catherine Frot convenus. 
Voilà cela va nous calmer, prochain film une comédie bien faite : genre Podalydès et en attendant se reposer ?... non quand même pas !
Voir des films autres que les Franco-belges aussi !

Lucas Belvaux c’est un très bon réalisateur et j’ai beaucoup aimé sa trilogie et aussi le film sur les 38 témoins du Havre et la Vallée de la mort  (erreur c’est Guillaume Nicloux le réalisateur)
Lucas Belvaux a réalisé aussi : Pas son genre ; 
j’ai mal vu, Des hommes, et cela m’a donné l’envie de lire les romans de Laurent Mauvinier https://youtu.be/qMEQUd9Pq1Q 
c’est quand même un film à voir et ils sont si rares sur le sujet de la Guerre d’Algérie.





Juste après avoir vu Nomadland 
C’est vrai Pascal essaie de me calmer je voulais un van en sortant du film et même encore le lendemain.
Phil Bizt du Groupe Fans du Masque et de la plume
Un film bouleversant, fort et remarquable de Chloé Zhao qui mérite tous les prix gagnés ! Frances Mc Dormand est encore une fois exceptionnelle dans ce film que je ne peux que recommander. Ode à la vie, la nature et l’humanité.



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