mercredi 23 juin 2021

Une promenade au musée avec enfants : expo Anne Imhof Palais de Tokyo

Un dimanche à Paris, que faire d’autre, que traîner en tendresse dans sa ville préférée, auprès d’amis avec enfants et pour en savoir plus sur eux, sur soi, sur la vie et l’époque, aller  pourquoi pas au hasard des expos du Palais de Tokyo, pourquoi pas ? parce que c’est un lieu porteur, un musée de Paris réservé à l’art contemporain vaste et beau où nous ne sommes pas tous à la queue leu leu.

Sur FB j’ai précisé en amont de cet article 

Sourires enfants amitié un dimanche matin au musée : musée parisien où l’on peut se perdre, inimaginable, et tellement dans notre époque au Palais de Tokyo : Natures Mortes Anne Imhof, où les enfants voient tout, s’y baladent et glanent tous ces clins d’œil. 

L’expo Natures mortes d’Anne Imhof, toutes les photos ci dessous n’ont pas été prises par moi, dont celles avec le QR code, mais par un petit garçon de dix ans à qui j’avais prêté mon téléphone.  
Il nous a montré comment accéder aux sites définis par un QR code avec l’appareil photo… ni Pascal ni moi ne le savions.

Des liens sur les performances d’Anne Imhof

Et de l’expo 

On n’a pas tout vu on pourra y retourner avec quelqu’une des personnes qui nous manquaient, quand aux fantômes pas la peine d’en emmener certains, qui n’auraient cessé de faire des réflexions, tellement touchées par les cris puis la musique la vidéo d’un chien qui galope, sur le son d’une course en skateboard
parce qu’elle y met un son dissocié sur les images, les videos.
Merci les Anne ! celle là et la maman des enfants, libraire et amoureuse d’art. Comme tous ceux qui cherchent une issue. 



Là nous étions encore au café pour un petit dej avec les
Amis ne sachant pas trop quoi faire. Le plus grand des deux à travers l’expo à tout vu, et il a même trouvé la sortie du labyrinthe, il s’y est promené avec sa mère qui nous a pris en photo à notre insu Pascal , l’électron libre et moi. J’ai pensé en les regardant  même si nous y étions masqués même si des personnes nous manquait à chacun, 
enfin, aussi, là, une certaine liberté nous a retrouvés.







 



On n’est pas resté longtemps dos à dos comme saisis par l’invisible…





On est toujours apprenti de l’autre….













Le petit frigo ouvert et masquant les denrées mortes, comme sèches, elles étaient protégées par une vitre ; l’étage du bas était masqué par de la vapeur d’eau et donc pour prendre la photo, mon jeune ami,
a essuyé la buée, le gardien nous a dit après, qu’il ne fallait pas…. Si vous pouviez aller vérifier, à mon avis, depuis elle s’est reformée.












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