dimanche 1 octobre 2023

Le songe (d’après le songe d’une nuit d’été) Gwenaël Morin à la Villette

Voilà c’est diamétralement opposé Gwenaël Morin et Michel Fau mais c’est la même exigence. En sortant du théâtre au bout de la ligne 7 avec ses coins sombres sur cette aire libre, tout cet espace culturel en un jardin avec aussi, le Pavillon Villette, avec des endroits mal indiqués pour la science la musique le sport,  les GPS empêchent de demander son chemin mais pas là-bas, là-bas t’es obligé, y a pas de coin de rue et les indicateurs sont d’un design illisible, la nuit…
Le pavillon Vilette est proche de la sortie Porte de Pantin 

J’ai écrit en sortant à l’ami qui m’a donné les deux places (une cousine avait débarqué à l’improviste). 
« C’était très vivant les acteurs généreux inventifs avec des singularités incroyables très physiques prenant tout l’espace de toutes les façons pas de décor que des accessoires primitifs et beaux. Un monsieur anglais à côté de nous m’a dit que je lui avais sauvé la pièce avec mes rires 😝 Il m’a demandé si je connaissais la pièce « oh que oui » mais c’est comme un bon James Bond on l’oublie pour mieux retrouver l’intrigue. »

Et à notre nièce j’ai écrit 
« Le théâtre où nous sommes allés c’était très bien exigeant physique avec un groupe de singuliers dans le jeu  même dans la voix Gwenaël Morin pas de décors mais des accessoires beaux justes et une prise de l’espace lieu maximum car la vie est un songe, tout est possible. »
Et si c’était le théâtre qui seulement pouvait être la Vie…. 
Ils ont travaillé longtemps c’est comme une deuxième nature d’eux mêmes quand ils vivent vibrent le texte. 

Ça s’est joué à Avignon dans un jardin j’ai même récupéré un morceau de verdure qui doit venir de là-bas, ah non ce ne sont que colliers de lierres, mais en plastique et tissus bien sûr….




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