Les Oscars pas de surprise, pas même un prix au film des frères Cohen, le meilleur film d'animation Toy Story 3
je vous laisse avec Canal + qui sait si bien faire son miel du sport et du cinéma...du cinéma comme du sport et de la contestation Groslandaise.
Si bien, c'est à dire qu'ils ont le monopole, oui mais il faut mieux que ce soit eux que TF1, dit mon Chéri, quand il regarde un match.
Alors donc les Oscars.... Le discours d'un roi et Toy Story 3 c'est comme Canal + c'est pas mal....
je suis futile ?!
-de plus en plus
-ni plus ni moins
-Natalie Portman ? Colin Firth ?
Meilleur film :
LE DISCOURS D'UN ROI
Meilleur acteur :
Colin Firth - LE DISCOURS D'UN ROI
Meilleure actrice :
Natalie Portman - BLACK SWAN
Meilleur réalisateur :
Tom Hooper - LE DISCOURS D'UN ROI
Meilleure chanson originale :
TOY STORY 3
Meilleur montage :
THE SOCIAL NETWORK
Meilleurs effets spéciaux :
INCEPTION
Meilleur documentaire :
INSIDE JOB
Meilleur court métrage :
GOD OF LOVE
Meilleur court documentaire :
STRANGERS NO MORE
Meilleurs costumes :
ALICE AU PAYS DES MERVEILLES
Meilleurs maquillages :
WOLFMAN
Meilleur montage son :
INCEPTION
Meilleur son :
INCEPTION
Meilleure Musique Originale :
Trent Reznor et Atticus Ross pour THE SOCIAL NETWORK
Meilleur Acteur dans un Second Rôle :
Christian Bale dans THE FIGHTER
Meilleur Film Etranger (en langue non anglaise) :
REVENGE de Susanne Bier (Danemark)
Meilleur Scénario original :
David Seidler pour LE DISCOURS D'UN ROI
Meilleur Scénario adapté :
Aaron Sorkin pour THE SOCIAL NETWORK
Meilleur Film d'Animation :
TOY STORY 3
Meilleur court d'animation :
THE LOST THING
Meilleure Actrice dans un Second Rôle :
Melissa Leo dans THE FIGHTER
Meilleure photo :
INCEPTION
Meilleure direction artistique :
ALICE AU PAYS DES MERVEILLES
Si vous avez le temps de podcaster.... à propos de cinéma là Français ne rater pas Eclectik sur France-Inter du dimanche matin (la semaine prochaine J BONNAFÉ), avec
JP BACRI
par Rebecca Manzoni
le dimanche de 10h10 à 11h
dimanche 27 février 2011
Jean-Pierre Bacri
"Je l’ai rattrapé au vol, dans la rue, pour lui faire prononcer cette phrase : prochain rendez – vous avec l’information dans une heure, etc…
Jean – Pierre Bacri avait la main sur la portière, l’autre sur le capot et un pied déjà dans la voiture.( Jean – Pierre Bacri est un impatient). Et puis il a dit : « rentrez vite vous allez prendre froid ». Et il a filé, après un peu plus d’une heure de conversation, dans le salon d’un hôtel de Saint Germain des Prés.
Bacri s’agace de l’adjectif bougon qu’on lui accole. On le réduit à cet adjectif, ça l’énerve et, bougon, il l’est encore davantage. Quoiqu’il en soit, le bonhomme est fait de ses emportements, moteurs de l’écriture d’un film, emportements qu’il prend un plaisir évident à dialoguer, puis à jouer lorsqu’il travaille avec Agnès Jaoui. Mais on oublie parfois que ce qui lie certains des personnages de Bacri de films en films - d’Un air de Famille de Cédric Klapisch aux Sentiments de Noémie Lvovski en passant par Adieu Gary, de Nassim Amaouche - ce qui les lie, c’est le désarroi. Le gars perdu, qui se raccroche à ce qu’il peut pour tenir debout et pour vivre au milieu des autres.
Dans un long métrage qui sort en salles la semaine prochaine, on est encore dans un autre registre. Jean – Pierre Bacri interprète le patron d’un grand hôtel. Dans cet hôtel, l’un des employés est un gamin qui sort de prison. Et le cœur du film c’est ça : la relation entre ces deux hommes, faite de manipulation, de fascination, d’affection et de rapports de classe. Le film s’intitule Avant l’aube et c’est aussi le parcours d’un garçon qui essaie de devenir autre chose que ce à quoi il était destiné. Autant de thèmes qui touchent Jean – Pierre Bacri professionnellement. Et je me le dis aujourd’hui, personnellement aussi.
Avant l’Aube sort en salles mercredi prochain et c’est vraiment bien. Je le dis d’autant plus facilement que l’invité de ce jour n’est pas du genre à faire de la retape.
Avant l’aube est le deuxième long métrage d’un jeune cinéaste qui s’appelle Raphaël Jacoulot. Il explique que dans le film, la première scène de Bacri est une colère. Comme ça, c’est fait.
Et on peut passer ensuite à autre chose.
En fait, c’est un peu comme cette émission je crois."
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Il y a des clés sur le jeu d'acteur une des plus simples et efficaces
na pas changer de ton avant de changer d'idée qui sous-tend le texte pour être juste, par exemple une énumération se fait sur le même ton parce que c'est la même idée.......