mercredi 3 juillet 2013

Festival IN Tout le programme, quelle finale Hortense Archambault et Vincent Baudriller, 10 ans déjà...


des extraits d'une lettre par mail à une amie comédienne qui me manque et que je vois de moins en moins alors que j'aurais envie de la voir de plus en plus mais c'est la vie...Lonsdale disait soit disant à Nordey : qu'il n'écoutait jamais ce que lui disait Claude Régy(lu dans Télérama), mais quand même... ne pas écouter-c'est aller à l'inverse ou essayer puis abandonner... entre autres tentatives tentations


je sens que je cherche un moyen d'aller quand même à Avignon... Le théâtre change tellement mes idées de fond en comble mais c'est toujours pour un cercle si restreint, pour un petit monde un peu recroquevillé sur lui-même. Audiard Jacques et Haneke faisaient du théâtre avant que d'aller vers le cinéma. Amateur même était Haneke au départ...


Ce soir je vais aller au Festival de Stéphane Auvray-Nauroy et Jean Macqueron : on n'arrête pas le théâtre je vais aller voir le spectacle des meilleurs élèves de son école à Stéphane Auvray-Nauroy. Michel Fau a monté pour son spectacle des élèves du Conservatoire de fin d'année : La Mouette la fameuse scène plusieurs fois avec des intermèdes dont un avec la chanson de Dalida, moi je veux mourir sur scène... ce que nous voudrions tous, les comédiens, les baladins...c'était très beau, parait-il, et il était là pour accueillir chaque personne du public.

Je sors pour aussi ne pas passer la soirée chez nous... je sors. Il faut que je m'absente 2 soirs par semaine au moins. Sinon nous étoufferions ensemble ...

Tu dois en passer du temps dans les trains et/ou sur les routes ? c'est un bon temps, pour lire écouter réguler le rythme de ses pensées respirer le temps...penser à lui, au théâtre, "ton 1er mari", et à ton amour de vie.

Tiens je te recopie d'autres passages entièrement entre Nordey et Pascaud.


SN : ... Aujourd'hui, moi aussi les désobeissants(sous-entendu acteurs désobeissants, à la Lonsdale(...)) m'inspirent davantage. Il ne faut jamais fermer l'imaginaire de l'acteur par des exigences formalistes, psychologiques. D'ailleurs, je suis surtout dans la rythmique du texte avec l'exigence de laisser ouverts tous les sens possibles. Le texte ne ment jamais.

FP : Que raconte celui de Peter Handke, Par les villages ?

SN : Qu'il faut voir le monde à travers le regard des artistes, que c'est l'unique moyen de pouvoir y vivre, d'avoir la force d'échapper à tout, notamment à sa famille. Par les villages est autobiographique. Handke fils de prolétaire, y raconte comment il a échappé à son destin par l'écriture. Les plus belles paroles de la pièce sont dites par ceux que, d'ordinaire, on n'entend jamais sur scène, tels les usagers du métro entre 5h45 et 6h30 du matin...

FP : que faut-il pour que vous ayez envie de monter un texte?

SN : qu'il m'inquiète.

FP : Pourtant votre allégresse, votre énergie détonne dans un monde du théâtre plutôt morose...

SN : J'ai un tempérament joyeux. Est-ce d'avoir traversé tant de milieux, de situations contraires. Le luxe du côté de mon père cinéaste, aristocrate polonais. Puis la pauvreté avec un mère merveilleuse descendante d'esclaves congolais dès que celle-ci a quitté le magnifique domicile conjugal boulevard Raspail... Avoir vécu des extrèmes m'a rendu léger, m'a appris à ne pas me prendre au sérieux. C'est une hygiène de vie. On se calcifie quand on se prend au sérieux. Or j'ai envie de pouvoir me retourner en permanence sur mon chemin. Dans la clarté. Sans avoir fait de compromis ni d'infidèlités. J'essaie de me mettre à la place de l'autre . La vie humaine, c'est l'autre. Je n'ai pas de rapport méfiant. Ce serait se fermer. Je crois en la beauté du mondeet je la cherche. Il faut savoir accueillir même la manière qu'a l'autre de ne pas être sensible à ce que vous êtes. Ne pas jeter l'anathème, chercher à comprendre"
Je crois que le In sera un bruissement des fureurs sur fond de déchirure et puis il y aura comme un feu d'artifice... Nordey Niangouna, France congo, et tant d'autres : Warlikowski, Angélica Liddel, Lazare, Julien Gosselin(le même nom que mon marchand de primeurs) et les ceux d'un soir passants comme Brook, Marthaler, Ostermeier, Chéreau, Régy , que j'aurais bien accueilli, car tellement loin de moi-même et quelquefois si proche, que je suis ressortie par cette fissure...

"si vous pouviez lécher mon coeur vous mourriez empoisonné"
Stuart Seide le patron du théâtre du Nord cité par Julien Gosselin qui monte Michel Houellebecq d'après les Particules élémentaires, là j'irais car je sens que je n'y sui encore jamais allée

Pourquoi quand les gens vieillissent n'ont t-ils plus envie de se voir de plus en plus...

bien lire les articles c'est avoir ressenti comme les préliminaires d'un acte d'amour fou pour le théâtre.  -Impénétrable ?! -bien-sûr que non, les portes ne sont pas si étroites, dans les festivals,même des In Archambault Baudriller,  il y a plein de trocs de places et d'entrées libres sur des discussions ou entretiens débats lectures très intéressants,  mais choisissez un bon guide initiateur, un gentil qui ne se prend pas au sérieux... et demander le programme...




...





Avignon 2013 : le programme

RÉSERVATIONS



Du 5 au 26 juillet

67e édition
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Par téléphone : 04-90-14-14-14. Sur Internet : festival-avignon.com. A la billetterie : 20, rue du Portail-Boquier, Avignon (Vaucluse), de 11 heures à 19 h 30. Dans les Fnac ou sur fnac.com. De 14 à 40 € dans la Cour d'honneur du Palais des papes ; de 14 à 28 € pour la majorité des autres lieux.

Affiche du 67e Festival d'Avignon, du 5 au 26 juillet 2013.
DR

FEU D'ARTIFICE

Ouvert ! Mis en scène par Christophe Berthonneau, un spectacle du Groupe F créé pour l'ouverture de La FabricA. Le 5, à 22 h30. Durée 40 minutes. Entrée libre.



ARTISTES ASSOCIÉS



Stanislas Nordey



Metteur en scène de Par les villages, de Peter Handke. Cour d'honneur du Palais des papes. Du 6 au 13 (relâche le 9) à 21 heures.
Durée : 3 h 30.



Acteur dans L'Argent, de Christophe Tarkos, mise en scène Anne Théron, Tinel de la Chartreuse, du 22 au 25, à 18 h 30.
Durée : 55 minutes.



Acteur dans Clôture de l'amour, de Pascal Rambert, lecture enregistrée en public par France Culture. Musée Calvet. Le 19, à 20 heures. Metteur en scène de la version radiophonique de Living !, d'après des textes de Judith Malina et Julian Beck.

Enregistrement public par France Culture. Musée Calvet. Le 14, à 20 h 30.



Coréalisateur, avec Michelle Kokosowski d'Eloge du désordre et de la maîtrise. Chapelle des Pénitents- Blancs. Le 15, de 15 heures à minuit.



Dieudonné Niangouna

Auteur et metteur en scène de Shéda. Carrière de Boulbon. Du 7 au 15 (relâche le 10), à 21 heures. Durée : 4 heures.



Acteur dans Sans doute, mis en scène par Jean-Paul Delore, d'après des textes de Mia Couto, Jean-Paul Delore, Eugène Durif, Sony Labou Tansi, Dieudonné Niangouna, Nicholas Welch... Cloître des Carmes. Du 21 au 24, à 22 heures. Durée : 1 h 30.



Lecteur de son texte, Un rêve au-delà, enregistré en public par France Culture. Musée Calvet.



Le 17, à 11 h30.



Auteur de Attitude clando, enregistré en public par RFI. Jardin de la rue de Mons. Le 11, à 11 h 30. Auteur de Au-delà, chorégraphié par DeLaVallet Bidiefono. Cloître des Célestins. Du 19 au 25 (relâche 21), à 22 heures. Durée : 1 heure.



THÉÂTRE



Cour d'honneur. Conçu et mis en scène par Jérôme Bel. Cour d'honneur du Palais des papes. Du 17 au 20, à 22 heures. Durée : 2 heures.



Et si je les tuais tous madame ? De et mis en scène par Aristide Tarnagda. Chapelle des Pénitents- Blancs. Du 23 au 26, à 15 heures. Durée : 1 heure.



Hate Radio. De et mis en scène par Milo Rau. Auditorium du Pontet. Du 21 au 24, à 18 heures. Durée : 2 heures. En français et en kinyarwanda surtitré.


Trois spectacles conçus par Gintersdorfer/Klassen, présentés au Gymnase du lycée Saint-Joseph, du 9 au 14 (relâche le 11) : Logobi 05., à 15 heures. Durée : 1 heure. La Fin du western, à 17 heures. Durée : 1 h 30. La Jet Set, à 20 h 30. Durée : 1 h 20.


Deux spectacles du collectif Rimini Protokoll : Lagos Business Angels, d'Helgard Haug, Stefan Kaegi, Daniel Wetzel. Auditorium du Pontet. Les 14 et 17, à 11 heures. Les 15 et 16, à 11 heures et 18 heures. Durée : 2 h 20. En anglais surtitré. Remote Avignon, de Stefan Kaegi. Parcours dans la ville, départ cimetière Saint-Véran. Le 8, à 18 heures et 18 h 30. Du 9 au 19 (relâche les 13 et 14), à 10 h 30, 11 heures, 14h30, 15 heures, 18heures et 18 h 30. Durée : 1 h 50.


La Porte du non-retour
Déambulatoire théâtral et photographique, conçu par Philippe Ducros. Ecole d'art. Du 7 au 26, de 13 heures à 19 heures.

Re : Walden, d'après Walden ou la Vie dans les bois, de Thoreau. Mise en scène : Jean-François Peyret. Tinel de la Chartreuse. Du 6 au 11 (relâche le 9), à 18 heures.
Durée : 1 h 30

Lear is in town, d'après Le Roi Lear, de Shakespeare. Mise en scène : Ludovic Lagarde. Carrière de Boulbon. Du 20 au 26 (relâche le 23), à 22 heures. Durée : 1 h 40.

Faust I + II, de Goethe. Mise en scène : Nicolas Stemann. La FabricA. Les 11, 13 et 14, à 15 h 30. Durée : 8 h 30. En allemand surtitré.

Reise durch die Nacht (Voyage à travers la nuit), d'après Friederike Mayröcker. Mise en scène : Katie Mitchell. Gymnase du lycée Aubanel. Du 20 au 22, à 22 heures ; le 23, à 18 heures. Durée : 1 h 10. En allemand surtitré.

Deux spectacles écrits et mis en scène par Angélica Liddell : Ping Pang Qiu. Gymnase du lycée Mistral. Le 5, à 19 heures. Du 6 au 11 (relâche le 8), à 15 heures. Durée : 1 h 40. En espagnol surtitré. Todo el cielo sobre la tierra (Tout le ciel au-dessus de la terre. Le Syndrome de Wendy). Cour du lycée Saint-Joseph. Du 6 au 11 (relâche le 8), à 22 heures. Durée : 2 h 15. En espagnol, mandarin et allemand, surtitrés.

Kabaret Warszawski (Cabaret Varsovie), d'après John Van Druten, Jonathan Littell, John Cameron Mitchell, Justin Vivian Bond. Adaptation et mise en scène : Krzysztof Warlikowski. La FabricA. Du 19 au 25 (relâche le 21), à 17 heures. Durée : 4 heures. En polonais surtitré.

Les Particules élémentaires. De Michel Houellebecq. Adaptation et mise en scène : Julien Gosselin. Salle de Vedène. Du 8 au 13 (relâche le 10), à 15 heures. Durée : 3 h 40.

Projet Luciole. Conçu et mis en scène par Nicolas Truong (journaliste au Monde). Chapelle des Pénitents-Blancs. Les 7 et 8, à 15 heures. Du 10 au 13, à 15 heures et 19 heures. Durée : 1 h 20.

Au pied du mur sans porte. De et mis en scène par Lazare. Tinel de la Chartreuse. Du 15 au 18, à 18 h 30. Durée : 1 h 50.

La Parabole des papillons, de Jean Cagnard et Valérie Rouzeau. Mise en scène : Michèle Addala. Auditorium du Pontet. Du 5 au 9,
à 16 heures. Durée : 1 h 30.

Le Début de quelque chose, d'après Hugues Jallon. Mise en scène : Myriam Marzouki. Gymnase du lycée Mistral. Du 15 au 20 (relâche le 19), à 18 heures. Durée : 1 h 45.

Wagons libres. Conçu par Sandra Iché. Gymnase du lycée Mistral. Du 22 au 24, à 18 heures. Durée : 1 h 15.

Rausch (Ivresse). Texte de Falk Richter. Conçu par Falk Richter et Anouk van Dijk. Cour du lycée Saint-Joseph. Du 16 au 23 (relâche le 19), à 22 heures. Durée : 1 h 50. En allemand surtitré.

Place du marché 76. De et mis en scène par Jan Lauwers. Cloître des Carmes. Du 8 au 17 (relâche les 10 et 14), à 22 heures. Durée : 2 h 20.

Swamp Club. De et mis en scène par Philippe Quesne. Salle de Vedène. Du 17 au 24 (relâche le 20), à 16 heures. Durée : 1 h 40.

Germinal. Conçu par Antoine Defoort et Halory Goerger. Salle Benoît-XII. Du 16 au 24 (relâche le 18), à 17 heures. Durée : 1 h 20.



DANSE

Partita 2. Chorégraphie : Anne Teresa De Keersmaeker. Avec Boris Charmatz et Anne Teresa De Keersmaeker. Cour d'honneur du Palais des papes. Du 23 au 26, à 22 heures. Durée : 1 h 30.

Qaddish. Chorégraphie : Qudus Onikeku. Salle Benoît-XII. Du 6 au 13 (relâche le 11), à 17 heures. Durée : 1 heure.

D'après une histoire vraie. Chorégraphie : Christian Rizzo. Gymnase du lycée Aubanel. Du 7 au 15 (relâche le 11), à 18 heures. Durée : 1 h 15.

Drums and Digging. Conçu par Faustin Linyekula. Cloître des Célestins. Du 9 au 16 (relâche le 14), à 22 heures (le 13, à 22 h 10). Durée : 1 h 30.



PERFORMANCES

Non-Tutta. Ecrit par Anne Tismer. Conçu par Silvia Albarella et Anne Tismer. Chapelle des Pénitents- Blancs. Le 18, à 15 heures. Les 19 et 20, à 15 heures et 19 heures. Durée : 1 h 15.


Chambre 20. Conçu par Sophie Calle. Hôtel La Mirande. Du 15 au 19, de 10 heures à 21 heures. Entrée toutes les demi-heures jusqu'à 20 h 30.


Exhibit B. Conçu et mis en scène par Brett Bailey. Eglise des Célestins. Du 12 au 23 (relâche les 17 et 18), entrée à 11 h 30, 11 h 50, 12 h 10, 12 h 30, 14 heures, 14 h 20, 14 h 40, 15 heures.


Troisième vie de François d'Assise. Conçu par Jean-Michel Bruyère/LFKs. Salle Franchet du lycée Saint-Joseph. Du 11 au 23 (relâche les 16, 17, 18).



De 13 heures à 18 heures.

SUJETS À VIF

Des rencontres inédites entre des artistes de différentes disciplines, qui proposent des formes courtes. Jardin de la Vierge du lycée Saint-Joseph. Du 8 au 14, et du 19 au 25, à 11 heures et 18 heures.



DES ARTISTES UN JOUR AU FESTIVAL

Pour leur dernière édition, Hortense Archambault et Vincent Baudriller, les codirecteurs du Festival d'Avignon, invitent des artistes emblématiques du projet qu'ils ont mené depuis 2004 à présenter, un soir ou deux, une "proposition artistique" de leur choix : lecture, spectacle, film, performance...

Ce programme spécial réunit

Guy Cassiers, Sasha Waltz, Alain Platel, Christoph Marthaler, Peter Brook, Arthur Nauzyciel, Claude Régy, Thomas Ostermeier, Jan Fabre, Dieudonné Niangouna, Stanislas Nordey, Boris Charmatz, Pippo Delbono, Anne Teresa De Keersmaeker, Pascal Rambert, Denis Podalydès, Josef Nadj,
Olivier Cadiot, Frédéric Fisbach, Wajdi Mouawad, Romeo
Castellucci, Valérie Dréville,
Patrice Chéreau.
Du 6 au 26, dans différents lieux.



EXPOSITIONS

Yango. Photographies de Kiripi Katembo Siku. Ecole d'art. Du 7 au 26. De 11 heures à 19 heures.
Entrée libre.


Les Phantoms du fleuve Congo. Installation photographique et sonore de Nyaba Léon Ouedraogo. Ecole d'art. Du 7 au 26. De 11 heures à 19 heures. Entrée libre.


Because Godard. Installation
de Claire Ingrid Cottanceau. Ecole d'art. Du 7 au 26. De 11 heures à 19 heures. Entrée libre.


Populaire ? Vous avez dit populaire ? Exposition sur le thème du public, de 1947 à aujourd'hui. Maison Jean-Vilar. Du 6 au 27 (relâche le 14). De 10 h 30 à 18 h 30.


Les Papesses. Cinq artistes, "papesses" de l'art moderne et contemporain : Camille Claudel, Louise Bourgeois, Kiki Smith, Berlinde De Bruyckere et Jana Sterbak. Collection Lambert
en Avignon.

Jusqu'au 11 novembre.



LES QUARANTIÈMES RENCONTRES D'ÉTÉ DE LA CHARTREUSE


Regards. De et interprété par Séverine Fontaine. Cave du pape. Du 8 au 20 (relâche les 11 et 15), à 16 heures. Durée : 1 h 15.

Décris/Ravage. Conçu par Adeline Rosenstein. Cave Rivoire. Du 15 au 26 (relâche les 18 et 22), à 20 heures. Durée : 1 h 30.

Etant donnée. Performance-installation de Cécile Portier. Boulangerie. Du 8 au 15 (relâche le 10), à 14 heures. Durée : 1 h 30.


Pour une contemplation subversive. De et avec Christophe Pellet. Mise en scène : Christophe Lemaître. Studio. Le 15, à 11 heures. Durée : 1 heure.



FESTIVAL CONTRE COURANT

Organisé par la Caisse centrale des activités sociales des industries électrique et gazière, un festival pluridisciplinaire, qui propose une vingtaine de spectacles. Ile de la Bartelasse. Du 12 au 20.


LE THÉÂTRE DES IDÉES

Nicolas Truong, journaliste au Monde, anime des rencontres avec des sociologues, philosophes, historiens, anthropologues... Gymnase du lycée Saint-Joseph. Les 15, 18, 19, 22 et 23, à 15 heures.



SUR ARTE

Mercredi 3 juillet, à 22 h 30
Peter Brook sur un fil. Un documentaire de Simon Brook. (83 min.)

Samedi 13 juillet, à partir de 20 h 50

Soirée en direct d'Avignon.
Le vent souffle dans la Cour d'honneur. Un documentaire de Nicolas Klotz et Elizabeth Perceval (95 min) à 21 h 00.



En direct du Cloître des Célestins
Drums and digging. De Faustin Linyekula (100 min.)
Dimanches 21 et 28 juillet, à 13 h 30A l'école du théâtre. Une série documentaire de Claire Laborey (4 x 26 min).

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