Pour ceux qui le reconnaissent ... il y a du graphisme sur les murs de l’escalier du Lucernaire.... c'est Philippe Person acteur auteur metteur en scène et prof de théâtre. Il a également été directeur de théâtre, d'ateliers, d'une école pour amateurs et maintenant d'une école professionnelle en deux ans au sein du Lucernaire.
Qu’est-ce, que sont les profs de théâtre ? Des pédagogues, des comédiens, des metteurs en scène avec un peu d’expérience, des érudits ou des techniciens formateurs à l’intermittence, en un mot des illusionnistes ? Ce sont aussi des personnes comme tout le monde.
Qu’est-ce, que sont les profs de théâtre ? Des pédagogues, des comédiens, des metteurs en scène avec un peu d’expérience, des érudits ou des techniciens formateurs à l’intermittence, en un mot des illusionnistes ? Ce sont aussi des personnes comme tout le monde.
L'apprentissage du théâtre : c'est aussi un apprentissage de confiance en soi, de lâcher prise, d’aise avec le corps, avec la respiration, pour renaître et sortir la voix, un apprentissage d’acceptation des contraintes, des contradictions : on connaît un texte chez soi et on l’oublie « sur scène » devant les autres. Le théâtre c’est apprivoiser ses émotions et inventorier ses contradictions : violence et douceur, amour et haine, faire rire et faire pleurer, et toucher à tout s'instruire beaucoup lire, voyager, aller au théâtre et au cinéma et pouvoir dire "Je suis homme, rien d’humain ne m’est étranger. Montaigne". Le pourcentage de risque, de désillusion est plus fort que la chance de réussite... Oui mais alors ? Alors... c'est utile pour mieux percevoir le non-dit, parler avec une boule au ventre, apprendre que la connaissance d'autrui est infinie, comme sa méconnaissance cela s'appelle aimer et pratiquer le goût du mystère, on ne connait jamais quelqu'un et encore moins un enfant....
pour cela un peu de philosophie pour regarder la boussole ;
mais jouer c’est réactiver l’hypersensibilité et l’extrême pudeur, entrées sorties, c’est travailler sans filets et être sur le fil devant un public et après avoir joué, c’est être à la fois heureux et se sentir seul abandonné comme jamais.... être au balcon des folies, certains s'en prémunissent ainsi, d'autres y sombreraient mais dans les cours, il y a des amis qui ainsi, se dévoilent, on se reconnait et les écoles se multiplient, car quand on y a goûté au collectif respectueux des individualités, on a du mal à s’en passer...
La vie est une scène où un pauvre acteur s'agite et s'en va... la vie n'est qu'un moment.... (d'après Shakespeare);
à trop vouloir en dire on ne dit rien il faut savoir se taire écouter le silence et finir une scène une pièce une improvisation et sortir. Ne pas rater ni ses entrées ni ses sorties.
pour cela un peu de philosophie pour regarder la boussole ;
mais jouer c’est réactiver l’hypersensibilité et l’extrême pudeur, entrées sorties, c’est travailler sans filets et être sur le fil devant un public et après avoir joué, c’est être à la fois heureux et se sentir seul abandonné comme jamais.... être au balcon des folies, certains s'en prémunissent ainsi, d'autres y sombreraient mais dans les cours, il y a des amis qui ainsi, se dévoilent, on se reconnait et les écoles se multiplient, car quand on y a goûté au collectif respectueux des individualités, on a du mal à s’en passer...
La vie est une scène où un pauvre acteur s'agite et s'en va... la vie n'est qu'un moment.... (d'après Shakespeare);
à trop vouloir en dire on ne dit rien il faut savoir se taire écouter le silence et finir une scène une pièce une improvisation et sortir. Ne pas rater ni ses entrées ni ses sorties.
John Travolta avait le choix enfant soit de faire un sport collectif avec son père soit du théâtre avec sa mère.....Les deux ont un point commun faire équipe pour un match....avec tous. "Un pour tous, tous pour un". Dumas.
« Aujourd’hui on dirait qu’il n’y a au monde que des obsédés sexuels, mais le monde a oublié l’amour. Et pourtant c’est l’amour qui mène le monde, et ceux qui peuvent assouvir autant qu’ils le veulent leurs instincts sexuels préfèrent l’amour. »
Henry Miller 1976 Lettres à Brenda Vénus livre offert par Philippe Person pour mon anniversaire en 1998 alors que nous allions jouer : Tout sauf aimer... création collective...
« Aujourd’hui on dirait qu’il n’y a au monde que des obsédés sexuels, mais le monde a oublié l’amour. Et pourtant c’est l’amour qui mène le monde, et ceux qui peuvent assouvir autant qu’ils le veulent leurs instincts sexuels préfèrent l’amour. »
Henry Miller 1976 Lettres à Brenda Vénus livre offert par Philippe Person pour mon anniversaire en 1998 alors que nous allions jouer : Tout sauf aimer... création collective...
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