HORVATH Courez y c’est la dernière ce soir. J’aime vraiment beaucoup ce petit théâtre Comedie-nation, ou la dame la propriétaire aux cheveux blancs nous accueille pour le pass le masque pour nous dire de fermer nos téléphones pour ne pas briser la magie de ce tres beau spectacle.Ne faites pas attention à la coquille au dos du programme : « le destin exceptionnelle » pour une fois qu’un genre masculin est féminisé. Ce n’est pas « un biopic »puisque c’est au théâtre ce n’est pas une pièce où l’on parle que de la vie d’un auteur et de comment il se décide à écrire des pièces, c’est une époque où se mire la nôtre. C’est un jeu qui n’a pas peur du public, leur jeu nous est adressé pas un seul du public, n’a pas été fixé par les acteurs pour que tous nous regardions dans le même sens… La mise en scène a un rythme d’enfer, on ne s’
« emmerderesse » a aucun moment car les femmes aussi ont le beau role : onirique comme réaliste surtout celle qui joue plusieurs rôles. C est un travail difficile que d’enfiler divers costumes même à vue du public, pour passer d’un personnage à l’autre. A la fin, elle joue une jeune fille qui attend à la gare qu’on la fasse disparaître…. Elle est drôle aussi dans d’autres rôles de journalistes reporters commentateurs et terrible dans celle, non celui, de Kapo policier interrogeant sous le pouvoir nazi Horvàth et sa compagne très belle femme actrice de cinéma féministe en devenir et amoureuse qu’est ce qu’on y croie à leur danse amoureuse dans leur chambre de bohème avant le grand « chavirage » alors qu’Horvàth ne défend lui que le théâtre où se partagent transpirent dérangent les idées la vérité parce que… on est bien d’accord un jour le monde va changer……
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