Libération
C’est que Brizé filme une machine folle, la science-fiction du capitalisme actuel, avec les outils raisonnables d’un cinéma tombé en désuétude, comme on poursuivrait une Tesla avec une voiture à bras : le contraste est intéressant, le résultat volontairement terne.
Télérama
À nouveau, Stéphane Brizé et son coscénariste Olivier Gorce excellent à pointer la violence (...) et le dévoiement de la langue managériale, où le terme « courage » revient en leitmotiv. De même, l’ensemble de la distribution, acteurs et non-professionnels mêlés, suscite l’admiration, avec une mention spéciale à l’ex-journaliste Marie Drucker, patronne coupante comme une lame.
Libération
Moins élégant que Dark Waters de Haynes mais pas honteux non plus, Goliath, produit par Studio Canal, part un peu avec un handicap de crédibilité en plaçant le duo Gilles Lellouche et Pierre Niney aux avant-postes du dossier, choix qui paraît a priori plus dictés par des considérations comptables qu’une pertinence artistique.
Télérama
Confier à cet acteur si populaire un personnage si antipathique est une très bonne idée. (...) Mais le David de l’histoire est moins réussi : sur ces victimes qui ont bien du mal à faire le poids, le réalisateur pose un regard convenu.
La Voix du Nord
Un formidable trio de comédiens en tête d’un pur film de dénonciation, populaire et haletant.
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