dimanche 28 avril 2013

J'ai bcp de choses à vous dire...: Bengui buzzé à Ondar "J'accuse"/Théâtre : DEMAIN IL FERA JOUR, À VOIR ABSOLUTELY et EGOISTEMENT comme Confession d'un enfant du siècle : Musset Bertrand Farge, IN et OFF PRIVÉ PUBLIC ? sur FR2 Pourquoi je ne vais pas voir François Morel, la Maison Ronde... /Castellucci c'est fini.../La radio....réécouter.encore...

 Demain il fera jour : Montherlant Michel Fau
C'est commencé depuis seulement une semaine, il faut aller le voir absolument, vous verrez un Nouveau Michel Fau pour ceux qui n'ont pas suivi toute sa carrière... et deux autres acteurs Léa Drucker, qui égale une Danièle Darieux, dans le rôle de la mère,  et Loïc Mobihan dans le rôle du fils, excellent quoique très beau, et un dernier acteur Romain Girelli qui ne passe qu'un instant, un figurant, oui mais un figurant juste tout au long de son geste, comme dans les films américains. Et Comment ne pas vous parler des décors de Bernard Fau et du maquillage de Pascale Fau, tout contribue à vous distraire à rire par moments fulgurants et à réfléchir.... Michel Fau comme Montherlant ne serait-il pas à l'ombre d'une jeune fille... qu'il n'a jamais pu être et qui lui ressemblerait comme une autre sœur...
http://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/demain-il-fera-jour-de-montherlant-134857



Avec Camille, à la fin d'un aussi juste entretien, sur Montherlant, la pièce, Demain il fera jour.... les rôles, Michel Fau, au milieu de l'émission,  il est 2ème avec Laure Adler.
http://www.franceinter.fr/emission-studio-theatre-arthur-nauzyciel-michel-fau-philippe-quesne
 
 Confession d'un enfant du siècle : Musset Bertrand Farge
 LE PUBLIC ÉTAIT LÀ LA SALLE ÉTAIT COMBLE, LA DERNIERE C'EST CE SOIR IL DOIT RESTER UNE DIZAINE DE PLACES ET LÀ AUSSI... "je ne m'en suis pas remise"
et pourtant c'est tellement différent... C'EST LE MÊME PLAISIR DE JEU ET LA MÊME QUALITÉ DE TEXTE, et ce n'est pas du tout les mêmes moyens, ni la même exigence esthétique ni le même style de jeu...

mais c'est comme cela : le théâtre IN et Off, ça s'insinue puis ça infuse et ça vous fait tellement de bien... comme un très bon roman, ça vous attache, ça devient un ami et puis : voilà c'est fini... presque comme une histoire d'amour.
Ah oui excusez les deux pièces parlent de l'amour la guerre les femmes devenir adulte l’égoïsme la souffrance apprendre à aimer avec un point de vue de mec, d' homme...., oui les deux pièces....
Les premiers sont de Paris, les seconds sont de Poitiers : la Nouvelle République
sur Télérama et sur la Terrasse



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 Écoutez François MOREL, à France-Inter ! cest pour moi comme une messe mélangée à une prière et une récréation et un épisode de Zorro, alors allez-le voir au théâtre pour de vrai, même si c'est faux... pour moi et que je ne sois pas obligée de l'attendre à la sortie des artistes, car j'ai peur d'être déçue : "on est amis sur FB"... alors allez-y pour moi vous ne tuerez pas vous le rêve que j'ai de lui, en l'écoutant à la radio, la voix ses textes, c'est un peu de certains journalistes, la voix sous la peau de nos rêves...
http://www.leblogtvnews.com/article-le-billet-de-francois-morel-consacre-sur-france-inter-a-frigide-barjot-117210943.html
http://www.franceinter.fr/emission-le-billet-de-francois-morel-ah-les-cons
http://www.francoismorel.com/
http://www.theatrelapepiniere.com/
ce dernier lien pour aller le voir AU THEÂTRE et si vous le connaissez un peu et que vous êtes sur ce blog, embrassez le pour moi, que j'aimerai qu'il soit mon cousin ou mon jeune tonton... car alors il ne me décevrait pas : impossible quand ce sont des gentils, plutôt avec une once pointée d'autorité et d'assurance et qu'ils sont de la famille.... J'arrête c'est cela les filles ça rêve encore au prince charmant...
-et alors le film : La Maison Ronde ?
-si jamais j'y rencontrais François Morel.! parce que quand vous entendez les gens qui parlent des acteurs dans la vie, ils se sentent obligés de les rapprocher de nos vies (ou de leurs vies  blêmes et un peu tristes) en disant à qui veut bien les entendre toujours des anecdotes désagréables,  seraient-ils jaloux ? Michel Fau vous dirait superbement de sa voix à l'étouffée : ce sont des êtres humains...
-et pourquoi Michel Fau, tu y arrives à aller le voir lui ?
-parce que lui je l'ai connu vert... pardon jeune, à l'heure ou soit disant il fallait lui apprendre son métier... c'était dans l'ordre, de Michel Fau : j'ai lu le livre avant de voir le film...
Et puis les humains qui disent du mal des acteurs qui sont comme contents quand ils font un bide, eh bien ils feraient mieux de se dire, qu'eux aussi ils sont creatifs ils parlent ils aiment ils écrivent sur leurs tél de + en + de textos
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IN et OFF PRIVÉ PUBLIC ? différence entre les théâtres ABOLIE ce soir ! par un homme de cinéma  Patrice Leconte, entre autres, un directeur de casting : Dominique Besnehard...les Molières en réduction à la télé, la télé et le théâtre : frères ennemis, la télé réduit et embaume.... le Théâtre comme une tribu cannibale les têtes de ses ennemis...
18h50  Palmarès
20h45 La troupe d'un soir
article du Nouvel Obs
sur FR2

A propos de France 2, "J'accuse" Monsieur Ruquier que j'aime assez bien comme ses émissions depuis longtemps, de non professionnalisme, dans son émission : ON NE DEMANDE QU'À EN RIRE, surnommée ONDAR (on dirait l'enseigne d'un charcutier).

sur FB : (je recopie car il faut que je fasse vite, le ménage attend, la vie... c'est à dire tout le reste...) j'ai écrit...https://www.facebook.com/PourQueBenguiRevienneAOndar
"je ne comprends pas qu'il soit renvoyé de l'ÉCOLE DES LOISIRS... LA TV des humoristes conditionné par Laurent Ruquier et sa famille. Et je suis sure vous entendez que si ç’avait été mes chers Benguigui, Éric non Alex Métayer et surtout Jean-Luc Moreau, ça ne se serait pas passé comme cela."

pour que Monsieur Ruquier confesse qu'il était dans un certain "mensonge" : être de mauvaise humeur à la télé et un manque de professionnalisme, buzzer un candidat à son 6ème passage sans se renseigner sur les précédents passages... et que Madame Bernier était dans un réflexe inopiné d'imitation....
Oui je suis de sa famille... comédienne et coach assistante à la mise en scène, celle qui joue la Maman de Bengui, son fils dont elle est si fière et vous jury constructeur, passeur, quand vous invitez quelqu'un à changer d'axe à le faire évoluer dans son jeu ; on ne le casse pas dès qu'il y fait ses premiers pas sur cette piste si glissante. J'ai l'impression que vous avez tiré sur le tapis roulant tout tracé où vous l'avez placé.
Certes je suis d'accord, ce 6ème passage n'était pas le meilleur mais dans ce peu là exprimé, jusque là,  il fallait le laisser aller jusqu'au bout... et laisser voter le public pour avoir toutes ses notes. 
car c'est un peu l'arroseur arrosé ce buzz ! le mélange de la meilleure télé/radio avec de la télé-réalité, il faut trouver un maillon faible absolument... quand il n'y en a pas... mais c'est la règle du jeu.
Et puis voyez-vous c'est humain une erreur, même pour un médecin ou un prof de théâtre, mais le problème c'est que c'est quelquefois lourd de conséquences... 






Pour la défense d'une télévision exigeante ... et aussi surtout pour la pluralité des formes d'humour ; ça veut dire quoi : humour vieux, se moquer que de certains et pas d'autres... Et pour une télé élégante, qui ne s'amuse pas à se lancer des packs d'eau alors que quelqu'un vient d'être éliminé...
 à partir de la 14 ème minute...
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Castellucci c'est fini au théâtre de la Ville... hier un ami s/FB, un homme à part, mais de théâtre a écrit...
"Être Castellucci ou rien.

Je n’ai pas le temps, sorry, juste merci à Simon Bourgade de m’avoir indiqué d’y aller et juste pour dire il reste ce soir : The Four Seasons Restaurant, de Romeo Castellucci, est bouleversant. Même si vous êtes pauvre comme moi (une amie m’a offert la place), 21 euros, en détaxe, c’est nothing at all pour un spectacle d’une telle générosité. La Callas. Je crois que c’est son chef d’œuvre... Je n’ai pas tout vu, loin de là, mais c’est le premier qui me « touche ». Et me touche absolument. J’y suis resté scotché." Yves Noël Genod
http://unfauteuilpourlorchestre.com/critique-the-four-seasons-restaurant-de-romeo-castellucci-au-theatre-de-la-ville/



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