mardi 9 avril 2013

RAPPELS jeudi soir 11/04 à 20h30 un Péplum très rare à l’écran. The Place beyound the Pines : T.T.B/Théâtre : La Confession d'un enfant du siècle../de notre Atelier RIBES EN BELLES (du nouveau) 14(c'est passé) 15 et 21/04 au Lucernaire...



 URGENT " Le temps de l'aventure" film rare indispensable aux sentimentaux, aussi bien que la Route Madison ou la Leçon de Piano, voir ce lien...
http://leplus.nouvelobs.com/contribution/827293-le-temps-de-l-aventure-avec-emmanuelle-devos-un-film-suspendu-tout-en-sensibilite.html


RAPPEL 1/ : annonce ci dessous : Jeudi soir à 20h30 si cela vous dit. Je ne peux pas y aller hélas ! mais si quelqu'un de confiance y allait, il pourrait me raconter.


moi qui adore les péplums... à moins que j'y aille tout de même... Pour un soir je peux peut-être m'échapper...
Quel titre

Objet : Hercule à la conquête de l'Atlantide

Bonjour Madame Feyt,

Nous passerons jeudi soir à 20h30 un Péplum très rare à l’écran. Il s’agit de Hercule à la conquête de l’Atlantide. Xavier Leherpeur (critique cinéma) et Florent Fourcart (auteur de Le Péplum italien, Grandeur et décadence d’une antiquité populaire) animeront un débat à l’issue de la projection.

En espérant vous voir très nombreux pour cette soirée tout en muscles.

Florent Fourcart dédicacera son livre dès 19h.

En espérant vous compter parmi nous.

Cordialement.

Nicolas Clautour
Coordinateur cinéma

C'était un petit bijou une projection presque privée une conversation de passeurs à laquelle nous invitent au ciné-débat : Florent Fourcart et Xavier Leherpeur, le cinéma populaire a besoin d'exister par un genre pour laisser les pudeurs les complexes les envies les jalousies au vestiaire... et faire venir à lui un large public. J'ai acheté le beau livre pour apporter encore à mon Papa, après l'avoir lu.


HERCULE À LA CONQUÊTE DE L’ATLANTIDE (V.O.)

Péplum de Vittorio Cottafavi (Italie – 1961 – 1h38) avec Reg Park, Fay Spain, Etytore Manni.

Epris de justice et défenseur des opprimés, le fils de Zeus décide de traverser les océans afin d’affronter la cruelle Antinéa, reine de l’Atlantide qui menace la Grèce et dirige d’une main de fer un royaume dont la technologie avancée a été détournée pour assouvir ses penchants conquérants et destructeurs. Au cours de son périple, il devra faire face à de multiples dangers, combattre des monstres reptiliens, se battre contre une armée de clones et se défendre contre des lasers futuristes.

Réalisé par Vittorio Cottafavi, l’un des grands maîtres du Cinéma d’Aventure transalpin, ce célèbre épisode des aventures du héros musclé est l’un des chef-d’œuvres du genre. Si la tonalité délicieusement « kitsch » du scénario lui confère un aspect souvent décalé, le film évoque en sous-texte de nombreuses préoccupations de l’Italie des années 50-60 (luttes des classes, peur de l’apocalypse nucléaire et des dérives de la science, émancipation féminine, généralisation des congés payés, etc…). A noter également une apparition étonnante de Gian Maria Volontè en diplomate grec !

Jeudi 11 avril à 20h30.

Séance suivie d’un débat avec Xavier Leherpeur (critique cinéma) et Florent Fourcart (auteur de « Le Péplum italien, Grandeur et décadence d’une antiquité populaire »).



Signature du livre par l’auteur à partir de 19h.
 Florent Fourcart (auteur du Péplum italien, Grandeur et décadence d’une antiquité populaire)
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C'est le temps où il va falloir cacher les Rolls... Jusqu'où va aller la chasse aux sorcières.... Hier cher Didier, j'étais à l'espace Vuitton, pour une très belle lecture, des lettres entre Gallimard et Proust, avec Didier Sandre et Olivier Steiner, années 1913/1919 ; je me suis dit en attendant d'entrer, pourquoi pas non plus leur demander la liste : de leurs clients français, à L.V. et chez le voisin Kenzo ... Je me suis dit que les crises de moralisation conduisent au lynchage de pas vraiment plus coupables que leurs voisins.... Et pendant ce temps là, les ceux qui détiennent les réels pouvoirs économiques poussés dans une danse du toujours plus de bénéfices, à n'importe quel prix humain : guerres pour se partager les richesses du Congo ou licenciements qui se partagent le prix de la chair...  eux sont "intouchables". Apprivoiser les excès, ce n'est pas chercher le bouc émissaire ensemble ?
C'est aux impôts de vérifier les fraudes pas au peuple ?! Un référendum sur la moralisation, ça aussi ce serait une belle connerie !? alors quoi plus de syndiqués plus de militants : la proportionnelle ? Et surtout arrêter de croire aux miracles... au bonheur, au retour... de quoi ?! A part le retour du printemps, être amoureux, chercher tout le temps, aider, en rire ou en pleurer, la citoyenneté...
 je ne vois rien ma sœur à l'horizon , ah ! c'est vrai je n'ai pas de sœur, pas de Dieu et mon mari est avant tout un joueur de casse têtes et un lecteur de BD, at home : chez nous, et un syndicaliste opiniâtre au boulot. Hier où je me plaignais de tout... il m'a dit : le mieux c'est de faire au jour le jour...


Et pour revenir à la lecture, Gaston Gallimard et Marcel Proust, eh ! bien vous savez, eux aussi malgré la guerre, le manque de communications, ils faisaient au jour le jour. Avant la guerre, ils étaient capables, en pleine santé, ce qui était assez rare à l'époque semble t-il... de faire 18 km a pied pour aller porter une invitation à un ami, avec une cape doublée de velours rouge, un chapeau un peu ridicule et de la poussière aux souliers.... cet homme là c'était Marcel Proust lorsque Gaston Gallimard jeune homme l'a vu pour la 1ère fois... Coup de foudre ou envie de lui ressembler... les deux se mêlent... envie d'écrire comme lui.
Gaston Gallimard en a fait ce portrait lors de leur entrée en relation.
Cette guerre existe à peine tellement ils sont occupés par leur œuvre/ouvrage et leur santé.

Alors vous me direz, cette lecture privée,  c'est comme du théâtre en appartement, ça devrait être supprimé, c'est une invention de riches... oui mais de mécènes. Dans les artistes, il y a toujours eu des hasards, par exemple dans la réussite d'un fils de tapissier... ou d'un autre qui travaillait dans les assurances(Molière Kafka). Et d'autres hasards entre bergères et princes, où vous êtes cueilli par la culture à la veille d'un printemps tardif.... 
Didier Sandre et Olivier Steiner : des princes ? non de ceux qui partent d'un endroit de la scène, d'une lecture, de votre vie, de votre tête "toujours avec élégance"et qui font le mieux du monde, ce pourquoi ils sont faits : la complicité, le partage au large avec des choses de la Vie : comme ces lettres extraites de la plus exigeante culture, œuvres essentielles mais qu'il faut savoir relativiser... Gallimard n'était aussi qu'un éditeur, mais quel éditeur... et Proust savait être des plus charmants et aussi une "emmerderesse" en diable ! mais cependant un génial écrivain. Les deux étaient artistes de leurs vies comme ces deux interprètes-auteurs. Olivier Steiner est en plus lui-même écrivain issu de d'admirations pour certains de ses aînés auteurs : Proust Duras Dustan Sarraute Guibert.

Si on ne l'avait pas connu édité s'il avait été bien portant et chair à canon en 14/18...

Olivier, Didier Sandre, LV, merci, qu'ils soient ricches ou pauvres j'ai envie de les filmer, m'avait dit un réalisateur de documentaires.
 En attendant que cela commence j'ai fait du léche vitrine et j'ai regardé le défilé Kenzo en vidéo. Je suis restée en dehors, mais j'ai repéré un imper de toute beauté.


CINEMA j'y reviens, je ne vous ai pas dit d'aller voir absolument, The Place beyound the Pines...

une semaine après j'y pense encore une semaine ou presque, ah les acteurs, la façon de tourner, l'histoire... j'ai pensé à ce qu'aurait été ma vie sans... mon père, le théâtre... Voilà du James Gray et du Capra ! je le reverrais et avec mon Chéri-chéri qui a beaucoup aimé...    

RAPPEL 2/ THÉÂTRE


Bertrand,


je sais je ne suis pas encore venue : la santé, les anciens nos parents à Pascal et à moi et les spectacles des élèves à Philippe Person et à moi, me tiennent en fragile équilibre

et compte tenu de la fatigue chronique générale... J'attends la retraite avec impatience.

j'ai encore du temps jusqu'au 28 Avril...je t'ai vu dans les bonnes critiques, et en plus ta photo est bonne, dans l'affiche. Tu ne changes pas. Cela doit t'être passionnant de jouer cette pièce là si longtemps.

je viendrais dans la semaine du 22 au 28 quel jour préfères-tu ?

à bientôt, nathalie.








RAPPEL 3/



RIBES EN BELLES : CE WEEK-END le 14 c'est complet....

mais le 15 et le 21 à 20h30 vous pouvez encore réserver

Surtout ne pas appeler au Lucernaire pour réserver, mais envoyer un mail à autrescene@gmail.com 
20h30 Tarif 10 € au Lucernaire 53 rue Notre Dame Des Champs Paris 6ème M° Vavin ou Notre Dame des Champs

Dimanche prochain la dernière(et en passant faut aller voir le film : LE TEMPS DE L'AVENTURE critique du Monde avec ces deux là... Emmanuelle Devos et Gabriel Byrne. Ah je le savais ! voir aussi sur France-Inter en podcast  l'Eclectik de Rebecca Manzoni avec Emmanuelle Devos qui n'est pas une Isabelle)
Du nouveau la 1ère s'est bien passée, ce qu'on était bien ensemble, les dieux étaient avec nous, oui eux-aussi, avec ces petits endroits de poésie, d'imprévus à apprivoiser, Philippe était à la Régie avec Sylvie, j'étais dans la salle, ils étaient tous seuls et ensemble et alors comme cela c'est vraiment leur théâtre...
la 2ème aussi s'est très bien passée...
Spectacle dense et donc alors : ce n'était pas trop long ! Les avertis, ah le public averti qu'il soit à Jardin ou à Cour, il se croit quelquefois au dessus du panier, et jamais encore arrivé au Paradis. Mais justement à ces 2 représentations, les racornis, durillons à entrouvrir, adoucir, ces jaloux aussi quelquefois, ils ont quand même trouvé leur miel. La preuve ils ont repris à leur compte certaines phrases du texte. Car les textes de Ribes, Topor sont succulents : extraits entre autres de... Palace
"Ribes, Wolinski et Topor. Waouh ! Quel trio ! Dans les années 80, ils vont, avec quelques autres, Gébé, Jean-Marie Gourio, François Rollin, Willem, unir leurs humours délirants pour créer la série télévisée "Palace" qui a succédé à la célèbre série humoristique "Merci Bernard". Un régal."






 
et la dernière pour ceux qui auraient vu les trois : différente avec des moments encore mieux mais dans l'ensemble avec une légère baisse de rythme. Le mari d'une des actrices a préféré la 1ère, moi et une amie la deuxième... mon compagnon qui n'est venu qu'à la 3ème, a bcp aimé et avec le mari, d'une ancienne élève de ce groupe, ils ont dit que c'était leur meilleur spectacle

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