Alors quoi de neuf ! je suis allée voir les cadets de l'école pro du Lucernaire à 11h à cette heure ce n'était pas plein, mais il y avait du monde, il devait y avoir des pros quelques uns que je reconnais, la famille les aînés de la promotion de deuxième année, mais qu'est-ce que c'était bien et pourtant je sors juste d'un traitement assez lourd. J 'ai même mis ma perruque un peu vite, on a du voir l'étiquette sur l'arrière, mais eux je peux vous dire qu'ils ne manquent pas de professionnalisme avec les accessoires et les costumes, y en a à foison, même un nuage....-On s'en fout de ta perruque !?
-oui mais c'était vivant une génération de vivants que ces acteurs "car le théâtre c'est pas comme le cinema où l'on peut se repaître des films
de Humphrey Bogart, c'est entre des vivants !"
leurs profs et metteurs en scène ne sont pas taillés dans le même moule et ça fait kaléidoscope du théâtre et de ses possibilités ; ils avaient une telle énergie et les textes étaient beaux bien enchaînés et mis en scène, je n'ai pas vu le temps passer.
Et puis j'ai revu deux scènes de deux pièces très exigeantes, une que j'ai jouée moi même en cours : qui a peur de Virginia Wolf et une autre que si elle est admirablement jouée me fait pleurer immanquablement : La ménagerie de verre de Tennessee Williams, la scène du baiser, et de la brisure de la petite corne en verre de la licorne, scène que j'ai jamais pu jouer car j'étais distribuée dans les rôles de femmes fortes.
Comme je vous cite deux auteurs que l'on travaillait à mon époque, je peux vous en citer des très modernes que je ne connaissais pas Victoires de Wadjdi Mouawad et Répétition de Pascal Rambert.
Et l'intermède clownesque dirigé par Frédérique Charpentier, j'ai cru que j'allais y rester, j'ai pensé à Giuletta Massina. Merci aux autres intervenants Marie Pontegani à la direction si physique, à Philippe Person qui sait mélanger tous les genres, chapeau entre parenthèses à son Richard lll et à Nathalie Boutefeu à qui je dois cette merveilleuse scène du baiser de la Ménagerie de Verre et à son Atelier de jC Grumberg et à l'extrait magique du songe de Calderon. C'était une des plus belles matinées de ma vie. Vous savez ce qui nous fait tellement aimer les photos à nous artisans du théâtre c'est notre conscience farce burlesque et tragique de l'éphémère et aussi tant aimer l'amitié. Je voulais féliciter tous les acteurs mais j'ai du rentrer vite pour ne pas espacer trop mes horaires de repas c'est cela les bébés ou les grands malades.
-oui mais c'était vivant une génération de vivants que ces acteurs "car le théâtre c'est pas comme le cinema où l'on peut se repaître des films
de Humphrey Bogart, c'est entre des vivants !"
leurs profs et metteurs en scène ne sont pas taillés dans le même moule et ça fait kaléidoscope du théâtre et de ses possibilités ; ils avaient une telle énergie et les textes étaient beaux bien enchaînés et mis en scène, je n'ai pas vu le temps passer.
Et puis j'ai revu deux scènes de deux pièces très exigeantes, une que j'ai jouée moi même en cours : qui a peur de Virginia Wolf et une autre que si elle est admirablement jouée me fait pleurer immanquablement : La ménagerie de verre de Tennessee Williams, la scène du baiser, et de la brisure de la petite corne en verre de la licorne, scène que j'ai jamais pu jouer car j'étais distribuée dans les rôles de femmes fortes.
Comme je vous cite deux auteurs que l'on travaillait à mon époque, je peux vous en citer des très modernes que je ne connaissais pas Victoires de Wadjdi Mouawad et Répétition de Pascal Rambert.
Et l'intermède clownesque dirigé par Frédérique Charpentier, j'ai cru que j'allais y rester, j'ai pensé à Giuletta Massina. Merci aux autres intervenants Marie Pontegani à la direction si physique, à Philippe Person qui sait mélanger tous les genres, chapeau entre parenthèses à son Richard lll et à Nathalie Boutefeu à qui je dois cette merveilleuse scène du baiser de la Ménagerie de Verre et à son Atelier de jC Grumberg et à l'extrait magique du songe de Calderon. C'était une des plus belles matinées de ma vie. Vous savez ce qui nous fait tellement aimer les photos à nous artisans du théâtre c'est notre conscience farce burlesque et tragique de l'éphémère et aussi tant aimer l'amitié. Je voulais féliciter tous les acteurs mais j'ai du rentrer vite pour ne pas espacer trop mes horaires de repas c'est cela les bébés ou les grands malades.
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