Ce sont les dernières c’est un spectacle subtil et comment dire,
de grande importance !
non c’est pas le mot,
de grande répercussion, c’est plus ça ! sur nos vies !
C’est éprouvant comme théâtre ? -oui, non ! c’est intelligent et spectaculaire avec rien d’autre que nos vies ordinaires dans un immeuble dans les années 90 où le portable ne nous rendait pas à chaque instant avant d’être vivant : virtuel. L’époque où seul le micro-ondes semblait une révolution : les années 90. La mise en scène est subtile, les lumières extraordinaires pour distordre le temps. Les acteurs sont tous très bons, ils chantent certains... comme au karaoké. C’est un peu comme « faute d’amour »: le film, au début j’ai rejeté, éjecté le contexte de froideur et puis après c’est comme si tout me réapparaissait : précisément décrit avec des personnages tellement crédibles, hélas!
L’espace scénique et Dieu sait ?! pourtant si je connais ce théâtre, ne m’a jamais paru aussi grand, aussi haut, aussi profond, je me croyais au Festival In d’Avignon, mais à la différence, c’est que le prix des places est inférieur à 20€ et que plein de jeunes étaient dans la salle, qui parlaient volontiers avec nous, en plus.
C’est un spectacle à imprégnation lente et d’aucune complaisance avec la pièce elle-même. Comme je le dis de Michel Fau, Sophie Mourousi rend son théâtre limpide !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire