J’avais envie de retourner au cinéma c’est une drogue pour moi comme une escale quand on a très soif ou très faim et qu’on sait à l’avance qu’on aura rien. Mais bon je dois vous dire que dans les relations de couple comme il est si bien dit dans les films on se manque, et aller au cinéma ensemble c’est quelque chose comme promener un chien en pleine ville dans des rues inconnues, y en a tellement, d’inconnues. C’est bien mieux j’écris n’importe quoi ! C’est triste de savoir que des amis vous ont quitté...
Heureusement on y est retourné après Drunk, Tous les Deux et tous les deux on a aimé fort cette histoire d’amour on a ri et on a pleuré.
Adieu les cons infiniment, c’est un film apparemment seulement déconstruit. Un conte ou plutôt une critique acerbe de ce monde, du film reel dans lequel on se sent débordé, écrasé, isolé, incompris, handicapé.
Ne lisez pas les critiques timorées c’est un film qui m’a donné envie de danser et d’applaudir à la fin, d’aimer comme au premier jour ; les acteurs font là aussi leur boulot, et nous font aimer passionnément le cinéma...
heureusement que les salles obscures restent ouvertes.
La critique du Monde tres documentée(avec des jugements hâtifs sur les autres films de Dupontel :9 mois fermes par exemple) est pour moi un lampion de critique timorée qui en dit trop mais qui reste à côté du film, notamment en concluant que ce film est sans humour grinçant, que les personnages sont caricaturaux, et qu’on oublie le film une fois qu’on l’a vu. Pas du tout je vais même chercher des amis pour le revoir comme je fais au théâtre, les personnages sont burlesques tragi-comiques . Est-ce que Charlot est caricatural dans les lumières de la ville ou Falstaff dans la pièce éponyme de Shakespeare ou Michel Simon dans Boudu. Je me demande quand en France on va cesser de normaliser les rôles et les acteurs. Pauvre Pauline Carton que jouerais tu aujourd’hui !?
Le Monde - « Adieu les cons » : les tristes temps modernes vus par Albert Dupontel
Le cinéaste accumule les personnages stéréotypés pour dénoncer les dérives de la société actuelle, jusqu’à l’indigestion.
Le Film, dessin animé « Chien Pourri à Paris »
Ce n’est pas que pour les touts petits, les livres illustrés de la collection, déjà sont pour les plus grands... On passe un moment, on rit, on rêve et on re-dessine Paris, c’est un véritable dessin animé qui pour moi est un peu comme Ernest et Célestine, quoique le trait les personnages sont très différents. Et ce sont plusieurs histoires quand ça a fini, j’espérais qu’il y en avait encore une autre.....
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