Allez-y comme ce théâtre m’a fait du bien et m’a donné enfin la réponse aux chansons qui vous rappellent tant…. Et vous font verser des rus de larmes des ruisseaux de larmes qui se perdaient…..
Lettre ou plutôt mail adressé aux acteurs et à leur chef d’orchestre
Chers,
Merci beaucoup à Claude Nicolas et à vous metteur en scène en accord avec la respiration de ce « sentiment de vie » chez les acteurs.
J’y pense encore tout ce matin, j’ai emmené toute une partie de la famille de mon chéri nous étions six et dans ceux là des jeunes…. En parité parfaite 3 et 3 .Tous nous avons aimé, beaucoup aimé, un accord parfait en sortant et je sais entendre les silences de ces après là.
Claude tu es incroyable, et dans le regard quand tu tournes dans les bras de Nicolas Martel toi si grande et alors si petite.
En sortant, j’avais envie d’écrire, de remonter sur scène, mais surtout d’approcher de quelque chose comme la bonté mais ne pas trop savoir comment faire….de relire aussi… même si je n’ai pas encore retrouvé le calme inter… depuis la mort définitive de ma mère que j’aimais mais moins que mon père mort en 2014 et qui avaient vécu la sale guerre ou la drôle de guerre par rapport à la première, guerre survivante dans l’inconscient.
Nous ne connaissions pas tous Falk Richter ou n’avions que le titre de l’homme sans qualité de Musil, Lenz Buchner, mais rien n’est comme entendre au Théâtre de s’y entendre avec l’entre deux des morts et des vivants et de se sentir comme au dessus des limbes du désir. Dans le jean qui sent bon d’un ancien amant.
Merci à vous tous et à bientôt, trop timides car trop nombreux nous n’avons pas pu vous attendre.
Comme je suis contente d’être allée avec eux voir ce théâtre là..
C’est important de savoir qui vous vient voir.
Bravos
Je vous embrasse vous « si loins si proches »
Nathalie Feyt
Envoyé de mon iPhone
Merci beaucoup à Claude Nicolas et à vous metteur en scène en accord avec la respiration de ce « sentiment de vie » chez les acteurs.
J’y pense encore tout ce matin, j’ai emmené toute une partie de la famille de mon chéri nous étions six et dans ceux là des jeunes…. En parité parfaite 3 et 3 .Tous nous avons aimé, beaucoup aimé, un accord parfait en sortant et je sais entendre les silences de ces après là.
Claude tu es incroyable, et dans le regard quand tu tournes dans les bras de Nicolas Martel toi si grande et alors si petite.
En sortant, j’avais envie d’écrire, de remonter sur scène, mais surtout d’approcher de quelque chose comme la bonté mais ne pas trop savoir comment faire….de relire aussi… même si je n’ai pas encore retrouvé le calme inter… depuis la mort définitive de ma mère que j’aimais mais moins que mon père mort en 2014 et qui avaient vécu la sale guerre ou la drôle de guerre par rapport à la première, guerre survivante dans l’inconscient.
Nous ne connaissions pas tous Falk Richter ou n’avions que le titre de l’homme sans qualité de Musil, Lenz Buchner, mais rien n’est comme entendre au Théâtre de s’y entendre avec l’entre deux des morts et des vivants et de se sentir comme au dessus des limbes du désir. Dans le jean qui sent bon d’un ancien amant.
Merci à vous tous et à bientôt, trop timides car trop nombreux nous n’avons pas pu vous attendre.
Comme je suis contente d’être allée avec eux voir ce théâtre là..
C’est important de savoir qui vous vient voir.
Bravos
Je vous embrasse vous « si loins si proches »
Nathalie Feyt
Envoyé de mon iPhone
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