Au théâtre de l’Oeuvre il y avait des jeunes des amis qui refusaient de partager la barre chocolatée à cause des adjuvants émulsifiants… et je me suis dit qu’ils avaient l’air heureux d’être là.
Dans l’impasse villa du Théâtre de l’œuvre, les lumières de la salle de vie d’une grosse boîte américaine sont toutes grandes allumées. Il est 23h ai moins. Avec Baby-foot œuvres d’arts…plantes vertes…
Billard plantes vertes naturelles qui n’ont pas besoin de la lumière artificielle….
La délicatesse.
Revenons au théâtre, à un roman dans un premier temps, adapté au cinéma, et puis au théâtre : tout en tenant compte dans la mise en scène, la distribution, des précédents interprètes au cinema, de tout. A voir ce spectacle, on voit bien la différence, la singularité, le bien que fait à notre esprit entre autres à notre corps à notre joie de vivre le roman la littérature le cinéma le théâtre. Ce ne sont pas des copiés-collés chacun à sa singularité qui élargissent la palette du peintre le hors-champ imaginaire.
Et ce qui est inimaginable c’est que cette pièce n’a rien à voir avec les mises en scènes mode d’emploi, inspirées du naturel réel (comme s’il y en avait un) méthode Michalik avec un tourbillon de décors….et qui ainsi formate le goût du public vers une forme unique…..
Supprimer des tragédies antiques le chœur et les dieux ne peut se faire sans en laisser comme des traces des demi-dieux, un hors champ bruissant musical…
Dans Phèdre je n’ai jamais accepté qu’elle se venge en accusant infiniment injustement Hippolyte… de l’avoir accusé de viol.
J’écoute à l’instant le récit de Théramène interprété quand je jouais dans la mise en scène de Stéphane Auvray-Nauroy, par Michel Fau. Et je l’écoutais chaque soir et il a laissé un écho en moi, profond.
France Inter - "Thésée serial lover, épisode 2 : Phèdre"
J’ai aimé je l’ai vu la semaine dernière mais qu’est-ce que cela signifie d’aimer un tel film.
Là aussi les acteurs sont hors du commun et pas seulement au niveau de la performance.
Mais avec mon ami on était un peu
comme pris en otages et a-t-on besoin de cela ? pour
faire bouger les lignes….sans parler de la musique pousse au crime.
J’espère que le réalisateur n’a pas profité de l’acteur principal. Je me souviens d’une actrice elle aussi incommensurable et qui avait réussi à maigrir et son meilleur ami metteur en scène lui avait fait jouer une fois de plus le rôle poétique…la grosse, .avec des protheses d’une grosse poissonnière. Alors qu’avant il lui faisait jouer le rôle d’un ange. Il était est auteur directeur de tous les grands lieux où s’est fait le théâtre : Avignon, l’Odeon et maintenant le théâtre du Châtelet : Olivier Py
« Certes, Darren Aronofsky n’a jamais vraiment fait dans la dentelle. De Requiem for a Dream à Black Swan, on a pourtant été très sensible à l’inventivité visuelle et la force émotionnelle de ses mélodrames hallucinés. Rien de tel, cette fois : The Whale, adapté d’une pièce de Samuel D. Hunter, sue un tel pathos du début à la fin qu’il nous prend en otage, aux côtés de Charlie, professeur d’écriture intelligent et sensible, qui travaille avec ses étudiants en visioconférence. S’il évite de se montrer à l’image, c’est qu’il est une baleine humaine, d’une obésité telle qu’elle le cloue la plupart du temps dans son canapé. Comme il est très malade et que ses jours sont comptés, il tente in extremis de renouer avec sa fille adolescente et de se racheter auprès d’elle. Dans le rôle de Charlie, Brendan Fraser se montre excessivement combatif, faisant tout pour que sa performance soit couronnée d’un Oscar… »
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