À la croisée des destins, des cancans, de la vie et du classique, j’ai vu et bien vu un
spectacle inouï des élèves de 1 ère année du Lucernaire école professionnelle. C’était comme si surtout à la première partie, après avoir recherché les dieux, les héros, il fallait regarder à travers la vie et le théâtre mais de toutes ses forces pour trouver avant tout la paix la civilisation l’art du théâtre et la dignité. Toutes les dignités oubliées sur scène sont enfin regardées. Au théâtre on peut supprimer toutes les injustices et rire rire rire cancaner et aimer… au delà de toutes les guerres cad des vengeances et de la haine.
La scène est leur terrain de jeu avec costumes quels costumes inoubliable Diane Athena
Les acteurs sont nombreux 23 quel travail en si peu de temps quel ressort. Marie Montegani et Nathalie Boutefeu leur ont donné toutes les occasions d’être des amoureux des déesses des héros à jamais repoussés tel Ulysse Orphée et puis iels se retrouvent dans les fils de marionnettes sous les masques de la comédie italienne entre médisances ordinaires, serviteurs farfadets et amoureux enfin alertes de toutes leurs forces, leurs corps. Le dernier pan « classique » de Philippe Person mêlait humour et grandiloquence des Feydeau Molière Hugo… 13 auteurs, pour sortir enfin de toutes les ombres, les fantômes, les obsessions, les imitations, les répétitions, pour surgir dans la lumière et aimer infiniment et passer le relais pour que s’exprime la force de la jeunesse. Bravo Bravo Bravo !!! à la 9eme promotion de l’Ecole d’art dramatique du Lucernaire,
Avec l'ensemble de la Promotion 9
@FAIROUZOUANLI, @BENEDETTAANTONELLO, @ELÉONOREARRAS, @JULIENBOTTINELLI, @ALICIABRUDEY, @MARIEBROCQUEHAYE, @NINABARD-BONNET, @THÉOBRUGNANS, @SOLUNACHAFFARD, @ALEXANDRECHAPELON, @SOPHIECHASSELAT, @ALBACHATELIER, @APRILCIVICO, @DUSHANDELIC-ILLIEN, @ADRIENGAUDIN, @SELMAHUBERT, @ALEXANDREJABOULAY, @ALICEMACE, @AURÉLIE MANIER, @YOHANMARGUIER, @CONSTANCEROCHER, @SACHAROYSAINTE-MARIE, @JEANNETRINITÉ
J’ai mis la photo du plus vieil arbre du square d’à côté, (square St Lambert) parce que pour vivre et passer les hivers et la séparation d’avec toutes ses feuilles et attendre l’éclosion de ce nouveau printemps, il a besoin d’entendre ou de sentir rire jouer les enfants chanter les oiseaux impatients des amours printanières et qu’on le regarde un peu aussi dans toute sa nudité.
Car « les nouvelles sont mauvaises » et c’est difficile « de déjeuner en paix » tout autour de la planète…
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