Quels petits bonheurs, quelles joies, autres qu'inventées ? Merci à la vie et à Michel Fau et au Théâtre Marigny et à la Colonne Morris et à mon Chéri de m'avoir envoyé cette photo, de la Rue, ce matin à 8h43.
Si je vais y retourner ? plutôt 2 fois qu'une, et avec mon Chéri, c'est pas tous les jours qu'on est troublé tous les deux....vous vous souvenez de comment dit-on : sa prestation aux Molières, "y a quelqu'un qui m'a dit...." une parodie n'est en rien une imitation de la chanson de Carla Bruni.
sur ce site et celui du théâtre Marigny.
La première production de ce spectacle c'était aux Bouffes du Nord et certains de "mes amis" ont dit, je n'ai pas pu y aller, il paraît que c'était génial..... Là 2 fois de suite vous serez un peu gonflés de re-dire :
je n'ai pas pu y aller... Certains élèves je crois ne l'ont jamais vu jouer et ne savent pas quoi faire de leurs mains entre autres....
Récital Emphatique
du 17 avril 2012 au 23 juin 2012
du mardi au samedi à 21h matinée le samedi à 18h
Mise en scène et interprétation : Michel Fau
Accompagnement piano : Mathieu El Fassi
Aussi à l’aise au four qu’au moulin, Michel Fau fait partie de ces artistes rares osant avec brio s’amuser d’une traversée du miroir qui lui permet d’accumuler les succès dans son métier d’acteur tout autant que dans celui de metteur en scène. Avec sa présence incontournable et sa générosité si singulière, cet amoureux des tragédiennes d’antan et des icônes de l’opéra aime avec humour à se réinventer sur scène en star des revues du music-hall où comme ici en jouant les divas dans le plus improbable des récitals. Au coeur de son dispositif transformiste, voici Michel Fau s’emparant de l’opéra de Camille Saint-Saëns, « Samson et Dalila », pour revisiter par la voix et la danse quelques-uns des moments forts de l’oeuvre, de la « Danse des Prêtresses de Dagon » à « Printemps qui commence », « Bacchanale », et « Mon coeur s’ouvre à ta voix ». Une thématique lyrique joyeusement perturbée par quelques extraits de « Phèdre » de Jean Racine, le climax baroque de « Castor et Pollux » de Jean-Philippe Rameau ou la tendre madeleine proustienne du « Summertime de Porgy and Bess » de George Gershwin.
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