Elle est belle cette critique mais elle en dit trop et ne fait pas assez de place à la surprise que doit avoir le spectateur. Lisez-là après avoir vu le spectacle mais pas avant..... Et je ne suis pas d'accord sur sa projection de ce qui est inquiétant dans le jeu des comédiens et de l'épaisseur psychologique des personnages....ça m'a toujours fait marrer cette expression, surtout là comme pour Shakespeare ou Racine, l'épaisseur psychologique au théâtre on dirait ma mère quand elle tate le tissu d'un vêtement avant de l'acheter. A chaque fois je me dis, le pauvre il passe un mauvais 1/4 d,heure, le vêtement et le tissu. Les deux.
Armelle Héliot c'est le Figaro.
Je vous en donne juste l'intro ce que je préfère souvent dans une chanson ou un récit : "La traduction nouvelle de Vanasay Khamphommala est vive, drue, nerveuse.
Joe Orton à la Comédie des Champs-Elysées, c'est gonflé ! On est dans un registre d'une violence profonde, d'une crudité sans complexe, d'une misogynie déchaînée.
La pièce date de 1964."
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