trop bien de savoir que la musique est en nous, les impromptus c'est aussi apprendre le rythme nous ne sommes pas sourds alors avec Didier Lockwood avec tout son talent d'improvisation on partage la musique, le jazz. Comme le joueur de flûtes qui entraîne tous les enfants, lui avec son violon partage l'écoute et la musique....
au Théâtre de l'œuvre : les impromptus de Didier Lockwood c'est avec le public qu'il se met au diapason des notes, le la, et tous ensemble on fait du jazz, un acte de résistance quand le jazz disparaît des ondes mais Lalaland....C'est encore toute la semaine avec une guest star et demain soir le 20 avec la danseuse Marie-Claude Pietragalla, le 21 Didier Sandre : tout le monde est musicien si on lui donne confiance et ce Didier Lockwood a la liberté de son talent, très bonne soirée avec mon mélomane Chéri : Pascal Kandel
Notre artiste invité c'était le meilleur guitariste du monde Sylvain Luc. Ils se tenaient par les yeux par tout le corps et les oreilles, ils ont une grande complicité.
Chers amis
C'est bien ce vendredi 21 avril que Florence Fosythe viendra nous présenter les deux ouvrages qu'elle a consacré à Maria Casarès jeune comédienne venue de Galice dans les années 30 et qui marqua la vie théâtrale françaises des années 40 aux années 90.
En cette veille d’élections; il sera peut-être agréable d'entendre résonner encore les voix parallèles De Maria Casarès et d’Albert Camus qui se sont côtoyés à la fin de la guerre. Une époque où malgré la censure des artistes et des intellectuels se sont parfois élevés et ont tenté de s'exprimer., ont continué en tous cas à vouloir vivre à tout prix.
Venez nombreux à la librairie à partir de 19h pour partager ce moment accompagné de vin et d'amuse- bouche.
Anne Guyot
Librairie "Au plaisir des yeux"
120 rue Raymond Losserand
75014 ParisLibrairie "Au plaisir des yeux"
120 rue Raymond Losserand
Tél : 09 83 23 79 14 / Portable : 06 64 46 54 20
Pour les passionnés d'amour et de théâtre : les amours de Maria Casares et d'Albert Camus cela fait rêver.... même avec les chagrins, les chagrins causes par la mort de ceux qu'on a aimé, on finit, après de grandes traversées du désert, par pouvoir s'en abreuver, pour "rendre la douleur féconde", comme disait si bien Maria Casares en jouant au théâtre entre autres, sous la direction par exemple de Jean Vilar dans Marie Tudor et dans les films de Jean Cocteau, entre autres...
Faute de pouvoir se rendre à la soirée dédicace vous pourrez acheter le livre....c'est toujours une belle promenade que celle qui mène à cette librairie et je serais là...
faites passer,
Maria Casarès dans Marie Tudor |
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