J’ai bien aimé, allez-y, car vous serez touchés par le jeu sincère et engagé de ces jeunes comédiens. La mise en scène pour moi est très bien adaptée aux propos, on se transporte ainsi dans toutes les particularités de genre, d’époque. On aime plus Pablo que Suzanne et la concierge Madame Massin que Lucie à certains moments mais la sincère Louise reste ma préférée ; certes on se projette plus aisément dans ce personnage, puisqu’elle joue le même rôle tout au long du spectacle(ce sont les identifications aux personnages car sinon ils sont tous très bons). IIs transforment tout l’espace, c’est bien pensé jusque dans les détails. Ils jouent tous la même quête, celle d’un monde sans guerre et sans discriminations et sans violences faites aux femmes. Les spectateurs en sortant sont souriants attendris et ont envie de parler avec les comédiens qui se proposent de vous retrouver en bas au bar-restau du Lucernaire, après avoir rangé le décor. Une brise chaude est passée d’enthousiasme, de théâtre, de jeunesse,
comme lors du Festival off à Avignon.
Et si tous les hommes-femmes et les femmes-hommes se donnaient la main pour élargir le champ des possibles aux hommes-hommes et aux femmes-femmes...
oui mais ça dérape si c'est une figure imposée oh bah depuis le temps que c'est un genre imposé comme à l'étriqué... les discussions auraient pu fuser dans ce sens mais on a parlé après de tout autre chose, des histoires de famille, la mémoire, la transmission, les secrets d'après les guerres, c'était bien aussi et qu'entre amis ? qu'entre amis sans chagrin, j'ai entendu cela ce matin ou hier à la radio, que l'on pouvait avoir des chagrins d'amitié mais c'est évitable comme les chagrins d'amour... c'était à propos de l'adolescence, l'émission de radio,
sur mon blog je peux digresser.
Et si tous les hommes-femmes et les femmes-hommes se donnaient la main pour élargir le champ des possibles aux hommes-hommes et aux femmes-femmes...
oui mais ça dérape si c'est une figure imposée oh bah depuis le temps que c'est un genre imposé comme à l'étriqué... les discussions auraient pu fuser dans ce sens mais on a parlé après de tout autre chose, des histoires de famille, la mémoire, la transmission, les secrets d'après les guerres, c'était bien aussi et qu'entre amis ? qu'entre amis sans chagrin, j'ai entendu cela ce matin ou hier à la radio, que l'on pouvait avoir des chagrins d'amitié mais c'est évitable comme les chagrins d'amour... c'était à propos de l'adolescence, l'émission de radio,
sur mon blog je peux digresser.
J’ai acheté le texte à mon cher libraire du Lucernaire qui répond à toutes sortes de questions : -j’ai réservé deux places pour ce soir.... -Bonjour Madame, allez demander à la caisse, vos places vous y attendent...
Pourquoi ? parce que je sentais que j’avais envie d’en relire le déroulé, relire à voix haute, certains passages pour me refaire la pièce. Nous étions 4, deux très enthousiastes et deux très contents, dont moi, même si je préfère voir Xavier Gallais dans le guérisseur ou Michel Fau dans Douce amère : le théâtre que l’on ne trouve pas dans le Festival off d’Avignon. -Mais ça n’a rien à voir ... -oui je sais
comme le Casanova de Fellini et la messe est finie de Nanni Moretti, même si j’aime les deux. Ils ne se jalousent pas ils cosignent l’engagement politique artistique du cinéma italien d’il y a quelques temps.... Depuis que j'ai eu cette maladie qui vous rapproche de la réalité et de la solitude face à la mort, j'aime bien les pièces de théâtre qui me tournent la page et renouvellent mon champ de pensées...
Vous saviez que les jambes des hommes sont très belles aussi...
Si vous êtes comme moi allés voir nos années folles avec entre autres Céline Salette, Michel Fau, Pierre Deladonchamps, la part laissée à Paul Suzanne, à l'homme femme, est plus belle... dans le film d'André Téchiné.
Vous saviez que les jambes des hommes sont très belles aussi...
Si vous êtes comme moi allés voir nos années folles avec entre autres Céline Salette, Michel Fau, Pierre Deladonchamps, la part laissée à Paul Suzanne, à l'homme femme, est plus belle... dans le film d'André Téchiné.
sur FB notre amie a écrit :
Anne Guyot pour ma part j'ai bien aimé le jeu de chacun des personnages y compris celui de Paul vs Suzanne qui est un rôle très difficile. Le jeu notamment de ce comédien quand il commence à perdre la tête puis redevient si attentionné auprès de sa femme est si juste. Les chansons qui, ponctuent la pièce ne sont pas juste accessoires (changement du décor) mais bien porteuses.
Anne Guyot pour ma part j'ai bien aimé le jeu de chacun des personnages y compris celui de Paul vs Suzanne qui est un rôle très difficile. Le jeu notamment de ce comédien quand il commence à perdre la tête puis redevient si attentionné auprès de sa femme est si juste. Les chansons qui, ponctuent la pièce ne sont pas juste accessoires (changement du décor) mais bien porteuses.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire