Dimanche on a vu un film indien qui nous a beaucoup touché et tous les deux : Le photographe : quels acteurs ! Si vous êtes décontenancés par la fin... c’est parce que vous ne pourrez pas l’oublier et puis tout ou presque, est dans les non dits, en amour.... et sans le cinéma l’amour serait-il le même dans nos hémisphères....les fantômes du cinéma sont-ils en nous comme des amis perdus ? La grand-mère est exceptionnelle ! J’irais bien en Inde dans ce temps encore en suspends ou l’on n’importait pas de Coca Cola...... allez -y déjà au cinéma, sans attendre, pour sourire pour le émotion l’intelligence-délicatesse, ce rythme qui vous enveloppe. Au début l’exposition, le prologue, l’immersion dans cet ailleurs est progressive et c’est bien car c’est le fil de ce qui devrait rester le de la vie à tous les temps.... Et puis ne faudrait-il pas reprendre les bons appareils photos, même si nos téléphones sont de plus en plus performants mais prend-on le temps de regarder déjà l’autre pour y déceler toute sa beauté... et lui révéler en l’aimant. L’instantané le spontané a ses limites même si c’est pour y découvrir la poésie.....
Les BAFTA Pascal a raison ces anglais du cinéma ne voient que par l’Amérique. Bien-sûr j’ai remarqué qu’ils avaient couronné le Joker pour son interprétation et devinez qui comme film étranger : Parasite !!! Quant à 1917 pas encore vu...
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