L’innocence 1 : Trimbalant virus et fatiguée par ce début d’année j’avais malgré tout comme je l’ai dit à mon compagnon hier besoin d’être heureuse. En allant au cinéma, voir ce film, que je sentais comme un des plus beaux inoubliables ; comme lorsque jeune, j’allais voir violence et passion de Lucchino Visconti. Le temps où ce film italien était à l’affiche, je m’apprêtais à aller voir un autre film et dans les cinémas du quartier latin, je bifurquais de salle pour revoir encore une fois, une autre fois le film de Visconti avec Burt Lancaster et Helmit Berger… c’était simple sans #art
Là, j’ai déjà dit à Pascal que j’y retournerai sans faute avec lui. Je ne veux rien divulgâcher…Pierre mon beau frère a beaucoup aimé aussi.
Ne le perdez-jamais de vue ce film il donne un espoir courageux, d’un autre monde fusionnant toutes nos erreurs sans notion de temps…ni d’anachronisme…
L’innocence 2 eme vision/ re-vision : c’est plus difficile bien-sûr car on en sait la fin et inconsciemment on attend la partie préférée du film celle en dernière position de l’angle des enfants.
Pascal n’a pas la patience d’un joueur de puzzle et s’est ennuyé et ne m’a pas fait part de ses impressions et sentant la proximité de son ennui j’ai un peu moi aussi fermé les yeux pour la deuxième partie et en sortant on est allés au Monoprix acheter de la mousse à raser et une petite galette avec 1 bouteille de cidre brut. Sinon c’était toujours au même ciné le Pathé Convention, bcp de monde cette fois, dans le Ciné surtout pour Nabucco
Le ciné bourgeois par excellence… mais j’en suis de ce quartier. https://www.francetvinfo.fr/culture/cinema/sorties-de-films/l-innocence-hirokazu-kore-eda-explore-une-amitie-enfantine-sous-un-jour-trop-intellectuel-et-complexe-dans-son-recit_6266823.html
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