vendredi 8 février 2013

Le comte de Bouderbala/ LINCOLN Spielberg courrez-y/ chez Vincent Josse ça dépote : TNB Cyrano Torreton Wong Kar Way et un artiste algérien :Adel Abdesemed, plasticien et mon Bengui FRANCE 2 et France-Inter

si j'habitais encore Créteil ou si j'étais en forme ou si je revenais d'avoir vu Lincoln/Obama, j'irais voir cet homme là, un comte des temps modernes..... parce ce que je crois dur comme fer... le fer est froid et conduit mal la chaleur, que si comme on le sait l'homme est encore sur terre, il y a une chance de mystère et de merveilles à venir.... c'est vendredi sur Paris il fait froid il va neiger comme ils disent.... même si c'est dur-dur de résister quand même avec un oeil artiste saltimbanque. Pourquoi je ne suis pas à l'extrême gauche car ils réduisent l'art à un activité subalterne, ils ne sauvent qu'une certaine littérature militante d'émulation à peine la philosophie en tous les cas heureusement internationale : l'art est bourgeois et les trotskards ne parlent que de sciences. Et je leur gueule à la gueule "science sans conscience n'est que ruine de l'âme... Ils n'aiment pas non plus l'amérique les comiques les cyniques rien qui pourrait les détourner de leurs prolétariats qui n'existe plus avec 30 % de chômeurs depuis longtemps : les pauvres les paumés les exclus sinon ils les sélectionnent comme tout le monde.... ils préfèrent ceux qui travaillent ils ne militent même pas pour qu'un jour on soit tous autonomes créatifs instruments généreux de la meilleure vie possible pour la planète entière et que les sales boulots de trieurs de détritus soient invisibles ou résolus par mystère tellement que c'est beau comme dans les films de science fiction... Avec mon chéri si j'ai encore la santé y a 2 voyages que nous ferons... c'est l'amérique et l'afrique car c'est là seulement que je rêve encore, l'amérique parce qu'elle a toujours rêvé sur grand écran et l'afrique parce qu'on a enfoui tous leurs rêves dans le fond de leurs terres en les exploitant jusqu'à la corde et en enchainant leurs plus beaux leurs plus forts hommes et femmes et en exterminant les plus faibles les non rentables. Parce que Spielberg et Tarantino, Spielberg qui a fait la Liste de Schindler et Lincoln, parce qu'en amérique on a beau dire on a beau faire on peut renverser les montagnes les plus crades crados d'immondices et d'humiliations on peut changer de cap, parce que la liberté individuelle.... parce que les artistes là-bas sont plus hétéroclites larges... parce que ce sont les rois du cinéma.... parce que watergates...

Maison des arts de Créteil
www.maccreteil.com
Informations pratiques, programme de la saison et calendrier des festivals. Egalement les tarifs des abonnements.


Le comte de Bouderbala
Paranormal comedy
Il y avait en France, au Moyen Age, "le roi des fous", personnage populaire que les petites gens élisaient une fois par an, et qui avait le droit de se moquer, un jour seulement, des grands de ce monde. Nous avons aujourd'hui, de façon plus durable, "le Comte de Bouderbala", c'est-à-dire, selon l'étymologie arabe du mot "bouderbala", le Comte en guenilles, en haillons, ou encore: "le comte des désargentés".

Ce nouveau Comte des temps modernes se moque de tout et de tout le monde, y compris de lui-même ! Entre cynisme et autodérision, non seulement il fait rire mais en plus il y prend plaisir…et ça se voit ! Entre slam et stand up, il livre, il offre, sur un rythme effréné et tourbillonnant sa lecture du monde. Une vision volontairement décalée, provocatrice (mariage des rappeurs), parfois grinçante et, cependant, toujours pleine de tendresse. Il assène les vacheries les plus dures, raconte des histoires apparemment cruelles, mais toujours avec un sourire désarmant qui permet à chacun de relativiser (violence à l'école, les minorités ethniques et sexuelles). Comme lorsqu'il explique qu'il est issu d'une famille "d'aristo-crasseux" de la Seine Saint-Denis... Ou lorsqu' il parle des yeux soi-disant "pochés" de sa mère (ma famille à moi). Il rit de tout, de nous, mais aussi de lui et ne s'épargne pas davantage qu'il ne nous épargne.

Monsieur le Comte, pas encore 30 ans, est de belle prestance : 1m78, le regard bleu et une véritable stature d'athlète. Son itinéraire est pour le moins original, sinon étonnant. C'est sur les terrains de basket qu'il a commencé par se rendre célèbre. Après un beau parcours sportif en France, il joue, en 2004 et 2005, dans une des meilleures équipes des Etats-Unis: celle des Huskies de l'Université du Connecticut (Uconn), champions NCAA en titre. Il fait partie, également, de la sélection nationale algérienne de 2001 à 2005. Il revient des Etats-Unis avec une solide expérience en basket et…une équivalence MBA de la Business School de l'université.

Mais l'homme n'est pas de ceux qui se laissent enfermer dans une seule discipline, une seule passion ! Il avoue même qu'il aime tout particulièrement se mettre dans des situations où on l'attend le moins. Sport ou business? Le basket professionnel ou le monde des affaires? Un choix impossible pour Samy. Et quand vous disposez de deux choix entre lesquels il est difficile de trancher, il peut être bon d'en chercher un troisième. Le jeune homme, qui depuis toujours a un certain talent pour la tchatche, sera donc comédien.

De retour des Etats-Unis il se retrouve très vite sur les planches. On le voit d'abord dans un collectif d'humoristes: « Comicstreet Show », puis « Barres de Rire », puis au Jamel Comedy Club, pour le grand plaisir des téléspectateurs de Canal +. Mais l'appel du one-man show se fait vite pressant et le Comte relève un nouveau défi. Après avoir assuré à travers toute la France les premières parties des concerts de Grand Corps Malade, il décide de retourner aux Etats-Unis, à New York, et de jouer son spectacle en anglais dans les comedy clubs de la ville. C'est ainsi qu'il côtoie les stars du stand up américain du Bad Boys of Comedy, Def Jam Comedy et du Chappelle's Show qui l'invitent régulièrement à partager la scène.

Un fils de l'immigration algérienne qui a grandi dans les banlieues de la ceinture de Paris (Seine Saint Denis), mais aussi en région narbonnaise, et qui migre à son tour quelques années aux Etats-Unis : autant dire que ce ne sont pas les sujets qui manquent pour inspirer le Comte ! Il épingle les sociétés française et américaine (nos amis américains), leurs richesses, leurs travers, leurs grandeurs, leurs bassesses. Des choses qui font rire, des choses qui font hurler, des choses qui font pleurer. Le Comte de Bouderbala ? Un Comte… sans manières !


chez Vincent Josse ça dépote : TNB Cyrano Torreton mise en scène Dominique Pitoiset; le Square sur Arte de  Wong Kar Way et un artiste algérien :Adel Abdesemed, plasticien


sur France-Inter même si tout n'est pas bon chez lui il faut en prendre... de ce que dit/joue Monsieur Foutrac Performance Fabrice Lucchini sur Jouvet Molière Guitry : Jouvet vous voyez, il détestait Guitry et Michel Simon quelles erreurs de la dichotomie de cet artiste..... Par contre chez François Morel vous pouvez tout prendre presque tout est bon, car il est un poète hors les murs, hors les époques, hors les textes, acteur-auteur comme Bengui...
Bengui 2 ème passage sur on ne demande qu'à en rire sur France 2
pourquoi je suis critique autodidacte pourquoi ? pour ne plus entendre cela / c'est nul !
à la place de je n'aime pas. Pourquoi ce n'est pas nul : parce qu'il y a une imagination folle, un personnage original, un jeu, des ruptures, des mimiques, des jeux de mots, un costume, des accessoires, parce qu'on ne voit plus le temps passer… parce que le jury est dans cette émission comme vous divers et très connaisseur et qu'ils ont un avis éclairé et stricte. Pourquoi Bengui parce que je le connais, parce qu'il sait trouver des compères, parce qu'il a l'immense talent de garder un œil neuf sur tout, parce qu'il est aussi un enfant.... Oui je le connais un peu j'ai même prêté mon modeste talent à son unique talent singulier dans le rôle de sa mère, sur des introductions à ses petits films en Série. C'est un clown, et les clowns mettent forcément mal à l'aise une partie de nous-mêmes qui a soit disant grandi. Parce que j'ai hurlé de rire en pleurant de joie la 1ère fois et la 2ème fois que je l'ai regardé même si c'était un matin triste
http://www.youtube.com/watch?v=QXkhPzDxHBw


1 commentaire:

Anonyme a dit…

Courage à toi Nathalie !
Oui, Bengui est un clown, un très bon clown, un poète aussi, bref un Grand ! Il m'a fait rire avec ses pistes cyclables chauffées ! ... et la façon dont il aborder le sujet ! on s'habitue a ses graines, a ses expressions : oui , il a son personnage, son clown ! ... et ses croquis sont désopilants, ses maladresses amusantes !
Il est a part dans l'émission !
Thierry