"je ne m'habille pas pour être belle mais pour être opérationnelle" "Cassandre peut-être" "la trahison"
"je ne suis qu'une femme" "une femme atypique" je souhaite que vous me ressembliez
Laurent Herrou
c'est un ami d'un ami c'est un ami virtuel invité envoyé par FB né pour moi pour être aimé c'est quelqu'un d'inconnu et qui le restera, mais sans comprendre pourquoi, il y a comme un pont de "vertiges possibles" entre nous... mais c'est pour cela qu'on reste si loin...et c'est par hasard que j'ai rapporté trouvé cela sur son mur, ça et son journal.
Il est associé, membre à part entière -en groupe je suis sûre que je ne les aime pas-, du mouvement littéraire qui s'appelle, qui ne s'appelle pas : l'autofiction.
Comment s'appelle les dieux , bien grand mot, les esprits enchanteurs des forêts, les elfes ? le Léchi chez les Russes
"Les esprits malicieux Korrigans ou poulpiquets en Bretagne, farfadets en Vendée, feltens en Champagne, lutons en Franche-Comté, sotrés dans les Vosges, sautereux en Lorraine... Chaque terroir était habité de ces petits êtres malicieux et excentriques, émanation de la nature, qui incarnaient l'esprit du lieu sur lequel ils exerçaient une invisible surveillance. Ils trahissaient toutefois leur présence par un insolite et inquiétant remue-ménage, par un rire aigrelet qui tombait des branches en cascade ou jaillissait des fourrés."
J'ai échangé quelques mots en messagerie privée, avec ce jeune homme écrivain comédien, à propos de ce "relais" sur mon blog et je crois être allée un peu trop loin. Avec mon père, on a toujours partagé cette maladresse des mots, comme une histoire drôle dont on ne se souvient pas de la chute...
L'interprétation, la métaphore, n'échappent pas au cliché, et pourtant, je voulais rester légère discrète, et puis quelquefois toutes ces précautions font rire mes amis, et ils me disent mais non mais non tu ne m'as pas vexé ni heurté ma pudeur.... ce n'est rien Nathalie oui mais sous prétexte de me croire délicate je m'approche trop loin ou trop au bord du fossé et je tombe... et je me réveille.
Il m'a expliqué qu'il m'avait vue une fois sur l'estrade pour une Lecture c'était celle des Lucioles pour le Refuge organisée par Olivier Steiner
"Merci, tu es un peu pour moi, aussi à travers l'émotion admirative d'Olivier, sûr que cela m'influence, et ce que tu écris : surtout cette Nina Myers qui trahit tout le temps subrepticement, comme par devoir de fiction, l'homme dont, si j'arrivais à rester tranquille et silencieuse, l'homme dont, j'aimerais qu'il vienne poser sa tête sur mon épaule, dans les bois -à cause de la photo-. J'étais sûre qu'on s'était rencontrés une fois, pour de vrai, mais pas comme cela, moi, en lectrice c'est très bien, j'adore tellement lire beaucoup plus que jouer. c'était donc grâce à Olivier : un homme aussi dont j'entends la voix intérieure. Amitiés aussi. Nathalie "
Hier lors de l'atelier cours au Lucernaire j'ai dirigé trois acteurs -le metteur en scène professeur principal- devait arriver exceptionnellement en retard, pour une scène que j'adore dans Cyrano quand Christian décide de parler qu'en son nom à Roxane et de ne plus utiliser les mots de Cyrano, et c'est un fiasco, total.... je me suis passionnée pour cette scène cela vient surement de la générosité des personnes à jouer cette scène mais cela venait aussi d'ailleurs...
Merci à Laurent de ce travail de forgeron ciseleur de l'indicible...
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