lundi 29 juillet 2013

Piaf en chansons a Figeac un tôlé de bravos

C'était avec les 2 Éric l'un danse et l'autre pas, Perez et Vignau et des musiciens sous la direction 👨👧👨 de Dominique Trottein, mais tous les deux chantent les Éric et interprètent le mieux du monde...
Emportés par le public... c'était Piaf : la plus et la moins, la pauvre fille et la diva populaire amoureuse "à chaque fois comme la 1ère fois". Le théâtre démontable est rouge sang gonflé comme un soufflet, offert au monde des géants avec des pieds d'argile....
Bon donc... il y avait aussi une chanteuse Sarah Laulan, elle chantait, chante au Festival de St Céré dans la Belle de Cadix, elle vibre de tout son corps, avec une voix profonde avec du coffre et de la sensualité à revendre... Sarah Laulan.
Je vous écris de la chambre d'hôtes où nous logeons à Laval de Cère, on a une vue du petit balcon de notre chambre sur tous les monts les collines verdoyantes. On est au dessus du vol des oiseaux. On est heureux. On s'est refait une santé avec un peu de pluie de fraîcheur....et la môme Moineau. Et il y a le soleil qui passe par dessus le toit ...
Le choix des chansons dont certaines m'étaient totalement inconnues nous faisait comme boire les paroles...

Ciao et à après demain aujourd'hui on fait relâche...
on va choisir un chien en rêve chez des amis qui tiennent un élevage de chiens aux nez plats .... bouledogues, carlins, près d'Uzerche : L'Élevage des méandres de la Vézère...
 http://www.chiens-de-france.com/site_eleveur/index.php?rub=contact&page=index&ID_ELEVEUR=2520&ID_SITE=13074








notre gîte : http://gite.lot.lacere.free.fr/

dimanche 28 juillet 2013

exposition gratuite à Bergerac Emmanuel Michel

Bergerac est une ville que j'aime bien, voilà je l'ai découverte avec l'envie d'y habiter malgré la chaleur, bien-sûr 
c'est dans la vieille ville et pour les passionnés en tous genres... là de voyages. 











Envoyé de mon iPhone

Richard III mis en scène interprété par Jérémie Le Louet au Festival de Figeac entre autres Julien Buchy, Noémie Stéphane

J'avais décidé cette année de mettre mon blog entre parenthèses parce que... pendant les vacances. Et puis je le sens ce vide, de moi à lui, vieux et sans eau, parce que... ne plus y parler du théâtre, ne plus écrire à ce quelqu'un, invisible que je vois au travers de chaque spectateur, avide de questions, de remises en question, d'oser se les poser ou pas, après le spectacle, aborder les artistes à la fois maudits enviés boucs émissaires et demi-dieux ou à demi super héros... alors je replonge.
Je n'ai pas non plus toutes les commodités ici pour rédiger et mettre en page de mon Téléphone I perfectionné,
cela ne m'est qu'amoindri,
alors par exemple il vous faudra vous passer d'images et de libellé, patienter une semaine que je retourne dans la vraie masse de vie et de quotidien.
Mais je reprends le clavier à cause surtout de ce Festival de Figeac.
Et aussi et surtout je voulais vous parler de ce Richard III là. Je me suis presque fâchée avec quelqu'un que par ailleurs, j'apprécie beaucoup, par son amour immodéré du théâtre même si ce n'est pas les mêmes goûts que moi. Il m'avait dit -alors que je lui avais conseillé d'aller voir cette pièce- après : "Oh ce Richard III, Shakespeare il s'en remettra... " comme cela m'a meurtri.
Je pressentais connaissant leur exigence dans le travail : l'esthétique, le jeu, leur unité, leur soif d'absolu et leur recherche ardente que l'on ne pouvait pas dire cela.On peut dire qu'on aime pas mais pas que l'auteur est trahi sous entendant : c'est nul !
Et j'avais bien raison. Mais voilà ce Richard III ne nous met plus à distance confortable de ce monstre bien ordinaire et extraordinaire à la fois, que le personnage de Richard III . Si on a tant envie de voir ce Richard III qui fait recette, c'est qu'on est heureux presque de le connaître, de le voir faire. Il est tellement fascinant, ce VIP... Et tout le talent visionnaire et toute la sincérité de ceux qui ne sont pas dupes ne servent à rien... tout le monde ou presque a envie d'être berné par le pouvoir.
Les acteurs nous font grimper au dessus des nuages de fumée que nous mettons entre la vérité et nous, quitte a être schizophrène au quotidien.
Je suis tellement contente de l'avoir vu car je ne chercherai pas a convaincre ce presqu'ami, mais en tous cas je ne lui laisserai plus dire une telle phrase devant témoins.
Ah bien oui c'est un théâtre qui a du le déranger, bien loin de ses repères, d'une version classique et confortable, d'un Richard III distant, peu contemporain zr surtout peu séduisant, et par ailleurs, ainsi dont on ne comprenait pas du tout comment il arrivait à ses fins... avec tous, femmes entre autres. Un Richard III qui ne ressemble surtout pas à tous les hommes politiques ou d'entreprise que l'on fréquente.
Ce Richard là, est au moins le frère de chacun, sa mère notre mère, son frère notre frère et la seule personne lucide, la reine Marguerite notre lucidité, recouverte en société d'un napperon à fleurs. Vraiment un grand merci à cette compagnie des dramaticules, pour ce théâtre bouleversant.
Vous faites partie de mes lucioles qui éclairent le fond le ma nuit.
www.dramaticules.fr

vendredi 12 juillet 2013

EN VRAC : Festival : Grignan de la Correspondance/ Cinéma : The Congress/Homeland, série : c'est fini la saison 2 /Bengui part en vacances /Avignon off dernières /news....via FB

http://allegrotheatre.blogspot.fr/2013/07/festival-de-la-correspondance-de-grignan.html
Merci, Joshka Schidlow, de cette élégante critique pour un festival que j'ignore encore mais pas pour longtemps..... Festival de la correspondance

Qui suit Homeland ? c'est une journée de deuil, pour moi car la saison 2 est terminée et je ne cherche pas à voir à anticiper etc....
Les acteurs la réalisation sont hors normes....

ah il a raison le mec dans la radio, France-Inter, un musicien classique ? JP  Le Pavec directeur de la musique à Radio France : y a pas plus ringard que les gens qui se la pètent dans un musée dans uns salle de concert ou dans un théâtre, et alors si quelqu'un applaudit entre 2 mouvements, et alors si quelqu'un rit fort ou renifle.... ou ne sait pas dire de quoi, de qui c'est ?! encore avec des larmes plein les yeux ou quand il a gouté un vin qui lui a remémoré tant d'émotions qu'il ne serait pas nommer. Ça viendra, il sera un jour passionné puis exigeant et avec tout cela Pédagogue, comme bcp de journalistes...

L'aporie, tu savais toi ce que cela voulait dire : contradiction ultime. Et José Zorilla ? il a écrit le Don Juan romantique espagnol...


une amie par la pensée et si c'était cela les amis FB blogueuses blogueurs
"Méfie-toi. Il y a d'abord cette façon de regarder et puis cela devient une manière de vivre. A force de tout tordre, on voit tordu." R.Gary "Les Cerfs-Volants"

Michel Fau son futur Misanthrope.... la distribution Philinthe : JP Lorit

News d'après FB
Nathalie Feyt a partagé le statut de Bengui Bengui.
il y a environ une heure
ça va être du cinéma surtout qu'il part en vacances sans sa mère....
Il va y avoir une caméra qui va me suivre pendant ma semaine en vacances, ca va etre chicos les bananos !

http://www.franksmith.fr/
"la poésie n'est pas une solution" frank smith : journaliste et poète à France-Culture
« Les sentiers sont âpres. Les monticules se couvrent de genêts. L’air est immobile. Que les oiseaux et les sources sont loin ! Ce ne peut être que la fin du monde, en avançant. » Arthur Rimbaud

Nathalie Feyt a partagé le statut de Chris DeParis.
il y a 16 heures
quel bon programme et quel lieu !
off 2 la suite..hier:
au theatre des lucioles:
-madame k...poetique; beau; ingénueux
concerto pour 2 clowns...extraordinairement magnifique!!
au buffon theatre:
fabula buffa..comedia del arte genialement drole;la base du theatre de rue!
-je ne suis pas sûre mon bel ami que la comedia d'el Arte soit la base du théâtre de rue, la base de la Parade à Avignon, soit... et qui sait le théâtre de rue n'est-il pas né des processions religieuses... Le théâtre ramasse tout du désespoir du temps et qui sait le manque de conversations... entre sex-toys, régimes, chirurgie esthétique et cuisine.... ramène le goût des masques. Mais faut-il savoir ressentir, car derrière ces masques, il faut être plus sincère (ce mot signifie : ouvrir la porte des émotions prendre des risques : sauvagerie colère y compris -y a pas que l'amour...) Contrairement à la vie, derrière le sourire et la bienséance, quoique ?! et contrairement au jeu sans masque expressionniste, ou le visage trahit les émotions.

Les animaux de Cie ne doivent pas être mis dans le même sac...(sac trompe-solitude) ce ne sont pas des objets qui rendent plus superficiels normalement... en attendant de faire la révolution contre l'isolement "l'esseulement" et retrouver la plénitude de la solitude et les plaisirs de l'amitié véritable, des conversations, des échanges, des discussions.
d'arrêter de haïr à la mesure qu'on a aimé? mais ne vaut-il pas mieux un peu de sauvagerie que de l'aseptisé étouffant.

à ce propos je re-conseille (les conseilleurs sont souvent les payeurs..., ça peut se retourner contre eux d'autant que la mauvaise foi trône, est prônée) vivement  : Le bonheur conjugal de Tahar Ben Jelloun
 extraits :
Tchekhov : "Si vous craignez la solitude, ne vous mariez pas."
(...)
"Quand il dit à son psychiatre que si sa vie affective était un désastre, sa vie professionnelle était une réussite, celui-ci rétorqua : "Nous ne sommes pas dans un système de vases communicants, chaque phase de votre vie a ses ressorts, ses échecs et ses succès. L'un ne comble pas l'autre. Sinon ce serait trop facile."

et là je lis qqchose de complètement différent : EN MOINS BIEN d'Arnaud Le Guilcher.
"Si Ionesco et Desproges avaient u un fils ensemble, ils l'auraient appelé Arnaud Le Guilcher;" Gérard Collard
libraire à St-Maur
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La Griffe Noire, c'est deux librairies en France !

à St Maur-des-fossés
2 Rue de la Varenne, 94 100
Tél : 01.48.83.67.47 | Fax : 01.48.86.33.52
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Attention !
Nous avons transféré le rayon BD, SF et Manga.
5 rue du pont de Créteil, 94 100
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Lundi au vendredi : 10h à 13h30 - 14h30-19h | Samedi : 10h - 19h | Dimanche : 10h30 à 12h15
 

 David Bobee
Un esprit neuf en Normandie va falloir malgré tout y aller en finesse, les normands c'est un long apprivoisement beaucoup s'épousent vu le manque de clémence du climat déjà. N'oublions pas qu'ils descendent des vikings, je sais ce sont des généralités mais de longs côtoiements m'ont amenée à les considérer comme bien observés. A 22h à Rouen chacun est rentré chez soi...

David Bobee au CDN - Relikto
www.relikto.com
David Bobee a été nommé ce matin à la tête de la direction du centre dramatique national de Haute-Normandie.

Le Congrès- le film, c'est avec Harvey Keitel et la 1ère partie est tellement bien jouée, o pourquoi voyons-nous si peu cet acteur mythique .

Le Congrès - Wikipédia
fr.m.wikipedia.org
Le Congrès (The Congress) est un film d'animation de science-fiction américano-luxembourgo-israélo-polonais écrit et réalisé par Ari Folman sorti en 2013. C'est l'adaptation cinématographique du roman Le Congrès de futurologie (Kongres futurologiczny) de Stanislas Lem, publié en 1971.

Chouchane B aime ça.

Chouchane B : j'ai vraiment adoré la première partie! Géniale
7 juillet, 15:11 · J’aime

Nathalie Feyt :ah comme je te rejoins et sur le cinéma, et les actrices et la relation agent et actrice et cette mère et ses enfants. Et puis c'est aussi normal, pour la 2ème partie, que l'animation produite soit nullissime car que peuvent produire d'autre ces studios de l'ÉTOILE NOIRE, ces esprits sous-alimentés de beauté et d'art. Dylan c'est Harvey Keitel !? Et puis c'est très intelligent. Il faut que tu vois Py, un film de Darren Aronofsky, je te passerai le DVD.
7 juillet, 15:30 · J’aime

Nathalie Feyt Pour revenir au congrès plus j'y pense plus ce film m'a touché.
7 juillet, 15:30 · J’aime


jeudi 11 juillet 2013

Julien Gosselin dans le In au Festival d'Avignon / Sophie Mourousi et Julien Kosellek au Festival : on n'arrête pas le théâtre de l'Etoile du Nord à Paris : La nuit la vie est moins pire..../stages de théâtre à l'école auvray-nauroy



FESTIVAL IN AVIGNON


Je l'avais dit pour Gosselin parce que l'idée parce que l'âge du metteur en scène.... parce que le théâtre se fait avec tout ce qu'il ramasse, du désespoir du temps, une compagnie au nom imagé : Si vous pouviez lécher mon cœur..... et avec une troupe en qui on a confiance,
et Houellebecq est un poète, qui nous indique la sortie de secours.
http://www.nordeclair.fr/info-locale/les-particules-elementaires-seduisent-avignon-jna49b0n243693?xtor=RSS-2


FESTIVAL on n'arrête pas le théâtre 2 ème semaine c'est un sommet c'est le summum parce qu'il fait chaud, parce qu'Avignon, parce qu'on est définissable comme perdu perdant ou éphémère.

C'est une pièce mise en scène par Sophie Mourousi qui m'a happée compètement de dépression tellurique, -Nathalie pourquoi t'exaggère toujours ?
-Je n'exagère jamais, sa sensibilité la beauté l'exigence..., mais je ris fort et je pleure comme je pisse, et je déteste aussi de tous les pores de mon corps au point de me lever et de quitter la salle.
Désaxée ou misfit, inadaptée, je suis comme un vêtement qui ne va pas...
Mais c'est tellement drôle aussi de se prendre le miroir déformant de nos amours via nos petites chansonnettes comme les soit disant plus beaux airs, du coup j'ai pensé, là aussi, il va y avoir une standing ovation, et ça n'a pas loupé par contre j'étais à côté d'un ami, un grand ami qui lui était plus nuancé mais c'était bien le seul, les acteurs, les lumières, qu'est-ce qu'il te faut mon grand ami...






sur les photos dans l'ordre Sophie Mourousi, puis dans Hamlet

Joséphine Constantin

Julien Kosellek (là dans un Dom Juan)

les 8, 9 et 10 juillet à 20h45

La nuit la vie est moins pire théâtre et musique
de Benjamin Prioul

création de Aurélie Barrin, Joséphine Constantin, Julien Kosellek et Raphaël Rivoire
mise en scène Sophie Mourousi
musiciens Romain Martin, Yuta Masuda, Cédric Soubiron, Jean Tomas Ward
travail musical Laura Clauzel
Pour parler d'amour, pour questionner l'amour, le jeune auteur convoque tout naturellement Juliette et son Roméo, mais aussi Dalida, Michèle Torr, Brel, Nietzsche, les boites de nuit, Brassens... Dans un débordement d'énergie et de musique, il interroge notre insatiable besoin de trouver l'amour.
et vendredi j'irais là (eh! oui c'est déjà fini, je n'aurais voulu rater cela sous aucun prétexte)

les 11, 12 et 13 juillet à 19h30

Don Juan de Aporiacréation

création de Mathieu Mullier-Griffiths
sous le regard de Stéphane Auvray-Nauroy et Alex Singer
production : kafard films
Le spectre n'a pas emporté Don Juan aux enfers. Il est vivant, terré dans le mythe et vibrant sous la peau. Il me chuchote des rapports à inventer entre les sexes. Je l'entends. La machine à désir, à répéter la nostalgie. La conscience du vide laissé. Don Juan m'a piégé. J'ai regardé en moi et j'y ai vu Elvire s'acharner avec lui sur le mouvement de l'amour.
(et j'irais vendredi qui aime me suive)

LE 14 JUILLET 2013 À 19H
J'ai vu je suis revenue à ce festival et après ce Don Juan, j'ai enchaîné à revoir Angelo, car je n'avais aucune envie de quitter ce théâtre là, car j'ai halluciné comme disaient les jeunes il y a déjà bien 10 ans non ? à la même époque ils s'ennuyaient grave....
-car l'acteur est beau ?
-ah c'est malin de la façon dont il joue de tout son corps il est forcément beau sur scène, oui c'est cela j'ai retrouvé pourquoi j'aimais tant le théâtre car ce sont les mêmes préparatifs que la guerre ou la grand messe chez les moines, la même exigence les répétitions la précision les accessoires les préparatifs, le costume, mais il y a le plaisir presque palpable qui arrête les guerres quand on se sent emporté par un collectif, qui jouent ensemble et qui sont tous emportés et vous apportent des bouleversements émotions réflexions et envie de chanter de mettre une belle robe pour aller danser faire la fête ensemble et tomber infiniment amoureux avec ou sans libération sexuelle avec un autre quelqu'il soit s'apprivoiser et se sortir de la machine à tuer animale dans laquelle on se débat, tous....
sortir du corps
à un moment avant la fin de la danse théâtrale l'acteur nous a remis cette feuille de papier :

j''ai écrit sur FB à la sortie
Et en plus leur avant dernière était de toute beauté, un grand moment et j'étais au 1er rang par hasard et parce que des élèves plus qu'apprentis m'avaient gardé une place et j'étais très émue d'être d'autant, près de ces comédiens, chanteurs, musiciens si inspirés et fort généreux. Quelle drôlerie aussi par moments inopinés : "ma préférence" de Julien Clerc remixé.

Juste avant il faut souligner qu'en petite "jauge" c.-à-d. pour peu de places, parce que tous autour du plateau, sur 2 rangs et merveilleusement éclairé, j'ai pu assister au Don Juan de Aporia de Mathieu Mullier-Griffiths.. Quelle chorégraphie quel jeu quelles lumières. Cet acteur auteur écrit donc corps à corps entre les sexes, il peint avec un simple drap noir un corps volcan éteint, spectral, puis réanimé, animal furieux : souffrant violent et nous fait éprouver tous les rituels de passage entre ces états comme une abolition des hors-corps, de l'asexué, de la non sensualité. Comment rechercher la beauté hors corps, il y avait comme un sans limites et sans digressions intellos...bravo infiniment a cette conjugaison de regards et a ce très beau travail du corps à corps avec soi et avec nous et pour que Les Don Juan ne brûlent plus en enfer... La voix Off de Daphné Léglise est singulière et si intime
Pour Angelo tyran de Padoue, c'était hier leur dernière du soir  aujourd'hui c'est à 15 h  et ce 14 juillet à 19h c'est le concert de fin de festival avec la jeune femme Laura Cluzel qui jouait la Tisbé et le pianiste Yuta Masuda et d'autres artistes.... car tous les comédiens chantent s'ils en éprouvent l'envie à L'Ecole Auvray-nauroy et leurs profs aussi.

Merci bcp pour ce côtoiement si étroit et large* de vue quand on va au théâtre ensemble.
Le public était hétéroclite, des élèves certes mais aussi des gens âgés du quartier.

Dans ce concert  plein de joies : Cat Stevens, il y a eu un moment de grande émotion quand Stéphane Auvray-Nauroy et Viktoria Koslova (Catharina dans Angelo) ont chanté ensemble une chanson russe. ce que j'ai pleuré....



SOIRÉE DE CLÔTURE DU FESTIVAL - AVEC LAURA CLAUZEL, YUTA MASUDA ET LES ARTISTES DU FESTIVAL.
Ce sont mes "copiaux...."et l'étoile du nord un vieux Colombier et Stéphane Auvray-Nauroy, un après Jacques Copeau et Antoine Vitez au théâtre des quartiers d'Ivry.
 Stephane Auvray-nauroy et Laura Clauzel
 Julien Kosellek
 OLAV BENESTVEDT



Xavier Hollebecq le créateur de toutes les lumières et sa compagne Nathalie Savary
Et pour des stages avec eux à l'école auvray-nauroy