Scènes de méninges
Écrit mis en scène et en vie par Luigi Cilenti et Éric Sala
les 10 : 18h30, 11 : 17h30, 14 : 20h30 février THÉÂTRE PANDORA
30 rue Keller 75011 M° BASTILLE
Réservation indispensable (la jauge de la salle est petite) : 01.43.02.91.34 - 06.50.56.91.34
(je peux vous proposer des places à 6 €)
C'est très bientôt, c'est un projet frondeur et ambitieux, deux comédiens qui se sont retrouvés complices et créateurs créatifs de tous les instants grâce entre autres aux textes de DUBILLARD dans un atelier amateur qu'avec Philippe Person, "votre actrice spectactrice" nous dirigions, et ces deux là ont très vite pris l'initiative de se diriger tout seuls.
Ils ont donc monté leur propre duo intelligent et farce, jeux de mots, textes et mise en vie en scène tout est d'eux deux.
Je n'en ai vu encore que les répétitions. Mais c'est un duo subtil et grotesque, en saynètes théâtrales, pour notre plaisir, pour un intermède au temps qui ne nous prend plus dans ses bras, qui ne patiente plus.
Comme cette petite fille qui disait à son père le soir : "raconte moi une histoire car j'ai pas ri de la journée ".
ET LÀ JE VAIS VOUS LAISSER D'ORES ET DÉJÀ POUR PLUS TARD,
ENTRE LES LIGNES
POUR Le songe d’une nuit d’Eté de Monsieur WILLIAM SHAKESPEARE
ANNONCÉ... par moi comme le spectacle le plus exceptionnet détonnant et récapant de l'année 2007.
(Je peux donc vous proposer des places à 13 euros, mais il faut vous manifester dès maintenant).
C'est à la MC93 de Bobigny
du 5 mars au 3 avril 2007
du lundi au samedi à 20 h 30 - dimanche à 15 h 30 relâche mercredi, jeudi
Le songe d’une nuit d’Eté
Texte William Shakespeare Adaptation, mise en scène : Jean-Michel Rabeux, Scénographie, costumes : Pierre-André Weitz, Lumière : Jean-Claude Fonkenel, Musique : Eric Sterenfield, Assistante à la mise en scène : Sophie Rousseau, Assistant à la scénographie : Fabien Teigne,
Réalisatrice des costumes : Nathalie Bègue
avec Claude Degliame, Frédéric Giroutru, Kate France, Céline Millat-Baumgartner, Marie Vialle, Hugo Dillon, Thomas Durand, Corinne Cicolari, Georges Edmont, Marc Mérigot, Gilles Ostrowsky, Christophe Sauger CoproductionMC93 Bobigny,
du 5 mars au 3 avril 2007
du lundi au samedi à 20 h 30 - dimanche à 15 h 30 relâche mercredi, jeudi.
(...)
Jean-Michel Rabeux s’engagea dans des études de philosophie avant de s’intéresser au théâtre, comme comédien d’abord, puis très vite comme metteur en scène et auteur. Un parcours qui le mène de Racine à Copi traversant l’œuvre de Molière, Marivaux, Labiche, Durif, Ristat, Pirandello aussi bien que les textes de Sade et de Genet, mêlant classiques et contemporains, revendiquant, à travers cet éclectisme, un théâtre questionneur et décapant. Un théâtre où la puissance des mots, supports de la pensée, de la réflexion, de l’émotion et du désir, n’est rien sans la puissance des corps, exposés non par la volonté de provocation gratuite mais, par la nécessité de faire participer l’éros à la représentation théâtrale sur laquelle plane l’ombre de la mort. Ce théâtre traite des corps sur scène comme le ferait un peintre sur sa toile transfigurant la nudité crue de ses modèles (Rembrandt, Vélasquez, Bacon). Cette préoccupation de la “représentation” du lien intime corpsesprit se retrouve dans l’œuvre dramatique de Jean-Michel Rabeux de Déshabillages, sa première pièce (1983) à L’Éloge de la pornographie(1987) en passant par Légèrement sanglant(1991) et Nous nous aimons tellement ou Le Ventre. Il est l’auteur de Les Charmilles et les morts. Toujours un questionnement sur ce que l’on cache ou sur ce qu’il n’est pas convenable de dévoiler, sur le profondément enfoui qui surgit parfois inopinément nous conduisant dans un même mouvement d’un sentiment d’effroi à un troublant éclat de rire. Depuis 1976, Jean-Michel Rabeux crée régulièrement des spectacles. Ses mises en scène les plus récentes : 2006 Emmène-moi au bout du monde !... de Blaise Cendrars 2005 Le Sang des Atrides d’après Eschyle 2004 Feu l’amour avec trois pièces de Georges Feydeau : On purge bébé, Léonie est en avance, Hortense a dit “j’m’en fous”; Ne te promène donc pas toute nue de Georges Feydeau 2003 Déshabillages (Comédie Mortelle)de Jean-Michel Rabeux 2001-2002 Arlequin poli par l’amour de Marivaux, mise en scène de Jean-Michel Rabeux et Sylvie Reteuna; L’Homosexuel ou la difficulté de s’exprimer de Copi 2000 Le Labyrinthe de Jean-Michel Rabeux et Sylvie Reteuna 1999 Meurtres hors champ d’Eugène Durif 1998-1999 Les Enfers Carnaval de Jean-Michel Rabeux (...)
PS : À propos des blogs
Les blogs sont souvent "illisibles" disait un journaliste invité par Rebecca Manzoni, sur son illustre émission Eclectik que je ne me cache pas d'attendre toutes les semaines, QUE FERIONS NOUS SANS FRANCE-INTER ?
Je veux répondre que les blogs sont naissants comme les radio-libres, et comme tous les amateurs, ils sont à l'avenant, disparates, inégaux, mais n'oublions pas non plus qu'ils sont comme le violon pour Ingres : une autre passion, et fragile et offerte au monde entier, grâce à Internet.
C'est généreux et naïf au risque d'être nul mais au moins l'exposition permet de revoir de se remettre en question, de s'améliorer ou d'arrêter, les critiques sont acérées parfois.
Et c'est pour moi les mêmes pas incertains et ô combien risqués quand on s'avance sur les planches vers le public.... et les RDV amoureux personne, vous entendez, personne ne peut s'en passer.
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