Alors je vous donne redonne les sites à consulter : Webthea
On y parle de spectacles de théâtre dont j'ai déjà parlé L'homme sans but aux Ateliers Berthier, mis en scène par Claude Régy, avec Madame Bulle Augier (je l'ai entendue cette semaine un matin toujours à France Inter avec l'excellent Vincent Josse, elle notait la différence entre le cinéma et le théâtre, elle parlait de l'artisanat qu'est le théâtre, que les acteurs de Régy, production de L'Odéon, eh! bien aux Ateliers Berthier, les acteurs de théâtre, ils s'y rendaient à vélo ou en métro... )
Attention je vous mets en garde c'est un théâtre d'explorateurs sur le silence la lenteur le sombre et les ombres qui doit vous laisser à penser jusqu'entre les mots.
Les chaussettes Opus 124 au Théâtre des Mathurins avec Galabru et Desarthe.
Et d'autres pièces comme celle que je vais aller voir très vite L'entretien de M. Descartes et M. Pascal le Jeune au Théâtre de l'Oeuvre avec les Mesguich père et fils, car on a besoin de se distraire de rester vigilants en ouverture et infiltrés cultivés, non !
Et ma vie mes rencontres se convertissent fluctuent se marrent et se renouvellent... se perdent aussi, mais pas seulement, surtout pas seulement, mais aussi par ces partages là. Se refaire les films ou les pièces, c'est de toutes les couleurs, de la complicité au conflit, vous pouvez me faire confiance...
Fluctua.net parle d'un spectacle aux Bouffes du Nord dont j'ai entendu le plus grand bien :
Je tremble : "La machine à rêves" de Joël Pommerat, c'est jusqu'au 31/10
Grand succès de ce début de saison théâtrale, Je tremble de Joël Pommerat attire les foules. Suiveurs de la première heure ou nouveaux venus au monde de l'auteur, tous se pressent aux Bouffes du Nord pour y découvrir le premier épisode d'un diptyque en construction. Un grand moment de théâtre, fascinant comme un rêve.Ma nouvelle rubrique ce sera, c'est, ce sont les lettres, je vais essayer d'ouvrir ainsi un recueil au silence, aux secrets, les lettres qu'on n'envoie pas, qu'on n'ose écrire, qu'on écrit pas ou plus mais qui pourtant simplement au brouillon, vous redonnent la force ou la douceur ou la paix ou enfin : ça y est c'est exprimé dans un petit coin blanc de page, écrit..., inspiré et/ou destiné à quelqu'un. À quelqu'un qui vous aimait... À quelqu'un qu'on aimait dont on rêvait dont on souffrait, dans le silence de soi à soi pour l'autre absent.... l'autre déserteur du présent.
Ça vous aide quelquefois à comprendre. Perdus, perdants.
Je connais quelqu'un qui a fait un ricochet sur le couvercle d'un cercueil, en y déposant un petit mot à la place d'une fleur entre le vernis glacé du bois poli et la terre des cimetières à recouvrir ...
Il se peut qu'on vous les laisse poser les mots, laissez brûler "les petits papiers", (à ce propos je vous signale ce site INA pour les chansons d'Archives), avant l'état de cendres, cendres si humbles poussières d'étoile et de vie qui ne prennent pas de place.... et qui volent dans les rayons du soleil...
Mais aujourd'hui c'est un jour gris...
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