En terrain instable, en ABSURDE final sur le grand écran du Monde, il a été rapporté que cet italien enlevé, capturé, puis relâché a par la bouche de ses ravisseurs afghans, entendu "Nous nous reverrons au Paradis"
Mon ami m'a fait connaitre l'exceptionnelle musique de Radiohead cela diffuse sous la peau...
et excusez l'image qui fait un peu aérosol...
Déjanter, rire, danser du dedans et encore voir des amis, des films, des spectacles, sortir et s'en donner du plaisir, voilà ma défatigue. Précaire, je revendique ma précarité et je suis déboussolée par tous ces "thésauristes" qui vantent leurs rapports, leurs actions, leur impôt sur la fortune (alors qu'ailleurs en Europe...) "Ce que je reproche c'est qu'on mette tous le monde dans le même sac pour l'ISF." à côté de tant de personnes qui ne sont pas du tout dans le sac de la richesse....
C'est presque '"un ami, un bon collègue ?" avec qui je galère au milieu des audits internes, des ordres et des contrordres et des sondages graphiques sur la production qui s'accentue mais la production de quoi ? de travaux en doublons inutiles et qui assurent la visibilité mais où et de quoi ? car le travail qu'est-il ? à part de tout "tracer" enregistrer, ré-expliquer en informatique. Le service à rendre, lui ? Il est comme la dernière limite tangible qui devient floue, impossible à atteindre -les dossiers d'accidents, d'incendie, de bris de glace, de dégâts des eaux : l'assurance ne les paie qu'avec retard-. À force de relances et de pugnacité téléphoniques, l'assureur intervient, les employés sont exténués par les appels, ils règlent entre deux, ils sont sur plate forme téléphonique, avec contrôle et lisibilité, astreintes planifiées relatant "votre taux de décroche"....
"Et on n'a pas à se plaindre, on a un beau métier (quel métier ! ), car à la concurrence, ils délocalisent".
Je suis passeuse et anodine, "je suis une baladine", je revendique le désir apprivoisé adouci voir édulcoré mais résistant, saccadé avec ses enfouissements, ses leurres, ses disparitions. L'autre mon ami, me réapprend les gestes, les plus simples. Il a fait de ma cave un grenier. Enfermés, nous avons besoin de fenêtres ouvertes sur la réalité. De ballades et d'histoires pour raconter ; des passions pour se tenir éveillés et que les gamins n'aient pas l'impression de nous avoir déjà entendu rabâcher, puis inventer des souvenirs...
Illustrer de frises... c'est pitoyable, un peu, non ? À l'inverse de "mentir sa vie", avec panache, en grande largeur, se faire la belle, changer de rôle, parler une autre langue, voyager loin et longtemps.
Qu'est-ce qui nous guette ?
Ne plus rien faire, ne plus rien proposer, se reposer d'angoisses causées par la peur de la mort et ou la vieillesse, proches, à part ces quelques rires gaussés, pour quelques blagues qui ne les font plus rire, les enfants, le public, ni eux ni personne, que nous, contemplatifs seulement par mécanisme, tellement notre histoire serait éculée...
Aïe Waouh Hiiiiii ! je crie.
Avoir envie, je me suis promise cela... lorsque adolescente, je voyais se comporter les adultes véhicules seulement d'aigreur et d'a priori quelquefois ânonnant les proverbes comme les citations pour faire les rabat-joie, pour se venger... malgré tout
"ça le fait" à tous et à toutes pour ruer et continuer, il faut s'opposer se défaire de la nostalgie.
Cette chanson de Reggiani..."Madame Nostalgie depuis que tu radotes, que tu colportes de porte en porte... que tu confonds l'amour et la géographie..."
Barbara toutes tes chansons qui innervent ma douceur...
Je suis ambulante, "Rien de rien" c'est Publicité mais "Il n'y a plus rien" de Léo Ferré.
C'est mieux que les citations ces chansons ces chansons engagées....
Plus vite roule encore plus vite c'est ce que demandait Barbara quand Guillaume Depardieu l'emportait sur sa moto...
je viens d'entendre cela à la radio mon Eclectik avec Rebecca Manzoni et Guillaume Depardieu si touchant, si brûlant, si brûlé, comme apaisé, toujours aussi digne, un peu, beaucoup...
à cet incorruptible, je crie aussi fort que je peux : Bravo !
Vous l'avez vu dans les films de Salvadori...
Là il était invité pour parler entre autres du prochain film de Rivette "Ne touchez pas la Hâche" une adaptation de la Duchesse de Langeais de Balzac avec aussi Jeanne Balibar... Entre autres il a étudié surtout la musique, il voulait diriger le Requiem de Mozart.
Après en 2ème partie, c'est une discussion reportage autour du suicide au travail, la France 3ème pays où le taux de suicides au travail est le plus élevé, après l'Ukraine et les États Unis... la France aux paradoxes cuisants ou crus, elle est aussi considérée comme le pays où il fait le meilleur à vivre. Et donc Ségolène Royal, nous demande de mettre tous un drapeau à notre fenêtre le 14/07...
Et là, Rebecca parle des extra-terrestres comme sur l'émission de télé : l'Arène de France, mais c'est...
drôle ça fait du bien d'entendre la musique composée pour le film de Spielberg : Rencontres du 3éme type... et je n'ai rien contre non plus l'émission de Stéphane Bern,
Il est narcissique il est journaliste...
Il faut absolument aller voir Michel Aumont dans ce monologue de Vincent Delecroix
J'y suis retournée, il a la grandeur d'un Don Quichotte, il travaille sans filet, rompt d'une nudité à l'autre, passe par toutes les émotions extrêmes face public et seul. La folie la colère le dénuement, vous êtes vous posés une fois la question, comment y faire croire ?
Comme disait Monsieur Depardieu Guillaume, ce n'est pas bien facile de jouer la comédie.
Nous sommes ressortis du théâtre de l'Oeuvre avec l'homme que j'aime et qui partage ma vie confiants plus intelligents et parlant un peu de philosophie et avec notre amie de sciences, d'une France plus intelligente et plus juste :
Ô Je cours tout seul... William Sheller
Les régimes alimentaires, je vous conseille le seul article enquête que j'ai lu d'intelligent et documenté sur le Monde2 du samedi 17 mars intitulé "Parano dans l'assiette"
entre autres...
"Leurre et danger des régimes
Pourtant, cette course folle est perdue d'avance si l'on en croit les nombreuses études consacrées aux régimes: ils ne marchent pas à terme puisque le poids perdu est repris à 95% dans les deux ans."