vendredi 31 mars 2017

Mon festival au cinéma Chaplin St Lambert : 2 films : Chacun sa vie et La La Land/Columbo pilote 2 de la saison 1: Rançon pour un homme mort/ Expo Photo Jean-Baptiste Perrot/Théâtre Lucernaire une saison en enfer

Comment faire le tri entre tous les films que l'on a raté, suite à une hospitalisation un peu plus sérieuse que l'appendicite, auquelle enfant j'avais déjà échappé, aller au square d'à côté, saluer mon arbre, voir tous les verts tendres et presque jaunes des jeunes feuilles, mon arbre : c'est là qu'il est le plus beau. Ensuite aller au Ciné-club Chaplin St Lambert.  Comme promenades il y a celle aussi d'aller chercher le programme papier, de ce cinéma, c'est un peu ridicule quand on est connecté, mais c'est un but concret...
Écouter toujours un peu les émissions critiques de cinéma, même quand on y va pas, ça participe. Ma préférée : Le Cercle, depuis qu'elle est orchestrée par Augustin Trapenard . Vous me direz il faut avoir Canal + chaîne payante, qui n'est plus ce qu'elle était,  sans Grand-Journal etc... La télé qui cultive ouvre à des âges différents des mondes parallèles différents, coûte-t-elle cher ? oui mais...
C'est comme une très grande bibliothèque, on ne lira pas tous les livres mais on en a la possibilité... Les livres, le théâtre, le cinéma, la télévision ne s'excluent pas les uns les autres, ils sont affiliés, avec aussi la peinture l'art le design l'animation et la musique... et aussi la politique. C'est à toi de voter de choisir de tourner le bouton... Et puis aussi à France Inter On aura tout vu à cause de Christine Masson. Son livre Aller au cinéma ou faire l'amour  a été à mon chevet quand j"étais à l'hôpital, grâce à elle je revivais, les films Family Life pour commencer.
https://www.franceinter.fr/emissions/on-aura-tout-vu/on-aura-tout-vu-01-avril-2017
https://www.franceinter.fr/cinema/aller-au-cinema-ou-faire-l-amour-la-passion-du-7e-art-de-christine-masson
Quand on est déficient ou sursitaire ou atteint d'un cancer pris à temps, il y a toutes sortes d'amis ceux qui sont trop présents alors que d'habitude, ils ne sont même jamais venus chez vous,  ceux qui malgré la vie,  l'éloignement tiennent à vous et le manifestent ceux qui n'ont jamais osé le témoigner et viennent presqu'à votre chevet avec un brin de tendre avec ou sans fleurs, il y a beaucoup de mots doux, de ceux qui sont comme ils sont et ne changent rien.  Et surtout il y a ceux qui sont là quand vous êtes perdue au départ et après une fois embarquée opérée, on s'y fait.
Le cinéma, lui, il vous attend, vous recueille dans la salle obscure avec les fauteuils rouges, pour embrasser sur la bouche vos rêves, à nouveau et ça oxygène l'esprit même comment dire si vous avez l'impression que la vie parfois est un mauvais film.
http://www.canalplus.fr/cinema/emissions-cinema-sur-canal/pid6306-le-cercle.html

Brèves en messages textos laissés sur FB et à mon chéri, rectifiés...
 (je suis en kit couturée)
Mon chéri je suis au cinema pour comprendre pourquoi je déteste 👎 les films 🎥 de Claude Lelouch, survivra t-il à Godard ? et après je vais voir Lalaland, donc pas d'appel que des textos, en fond sonore c'est la BA de Priscilla,  oui je vais survivre,  y a 6 petits vieux dont 2 dames qui parlent plus fort que la musique 🎶 ....

Chacun sa vie : drôle par à coups tellement téléphonés et si consternant à d'autres moments avec quelques scènes d'anthologie dont une avec Béatrice Dalle et une avec Elsa Zylberstein et d'autres avec Chantal Ladesous,Stéphane De Groodt, Jean-Marie Bigard, Éric Dupond-Moretti. Je me suis dit après si longtemps : au lieu de dire du mal des films de Lelouch par habiles habitudes, je vais retenter. En plus j'ai dormi un peu... car c'est très long, vive le cinéma muet !
j'ai plein de places à prendre sur carte des cinémas Chaplin St Lambert si cela vous dit de m'y accompagner en choisissant un autre film....
http://www.allocine.fr/film/fichefilm-248351/critiques/presse/

Qu'est-ce qui est "conservateur et révolutionnaire", à la fois et qui nous lave en nous faisant danser pour longtemps sur l'eau comme sur la voie lactée et ne me répondez pas Emmanuel Macron, ce n'est ni français ni politique !? 
c'est Lalaland j'ai beaucoup aimé et pleuré aussi et pas seulement à cause de Ryan Gosling


C'est un film américain et comme d'habitude je dois dire on ne leur arrive pas même à la cheville, c'est Michel Piccoli qui disait cela des acteurs américains, moi je les aime ces américains là, ceux de La La Land. Ils croient à l'étoffe de leurs rêves et nous la font, toucher du doigt. Les scènes du début et de la fin sont époustouflantes on ne sait plus si c'est vrai ou pas, c'est cela qui change des comédies musicales américaines d'anthologie. Les couleurs le mélange du meilleur de toutes les époques qui ouvrent un autre monde... Les belles voitures américaines les couleurs et les téléphones portables... On est à la lisière de tout ce qui a été fait et on peut encore faire des merveilles...
La fin m'a fait penser à Deephan à Woody Allen à l'importance du cinéma pur pour nous détourner de la réalité. Et aussi c'est une histoire non niaise sur les difficultés de donner vie à ses exigences artistiques et l'influence qu'un alter ego quelqu'un qui vous aime peut avoir. L'explication sur le jazz ses origines est forte. Ça m'a rappelé un jeune temps où un homme dans la rue m'avait accosté en me demandant si j'aimais le jazz ? mais l'homme en question n'avait que le goût de la formule et  pas la passion de quelque forme d'Art...
http://www.telerama.fr/cinema/films/la-la-land,502704.php
Damien Chazelle est un jeune réalisateur une espèce d'antidote aux chamboulements qui n'accoucheraient plus d'espoir...
http://www.telerama.fr/cinema/damien-chazelle-il-y-a-quelque-chose-de-rugueux-dans-le-monde-de-la-la-land,152944.php


Nous regardons...
Columbo Rançon pour un homme mort: Pilote 2 de la saison 1 réalisé par Richard Irving, 2 femmes une belle mère et sa belle fille extraordinaires.
Exposition «  I try to kill the Volcano » - Jean Baptiste Perrot - galerie Catherine et André Hug

Œuvres de Jean Baptiste Perrot

Du 9 mars au 21 avril 2017

Du mardi au samedi de 11h à 19h

Vernissage le 9 mars de 18h à 21h

Entrée libre

Galerie Catherine & André Hug 
40, rue de Seine / 2, rue de l'Échaudé
75006 Paris
M° Saint-Germain-des-Prés

www.galeriehug.com
FB-GalerieHug
je vais y aller parce que j'aime cela qu'une erreur devienne style artistique qu'un bug ouvre une porte à nos clichés du visuel...



samedi 25 mars 2017

Le dragon d'or à L'Etoile du Nord de Roland Schimmelpfennig

Vous avez juste ce soir pour y courir, Le dragon d'or : à L'Etoile du Nord, c'est la

dernière, de Roland Schimmelpfennig, mise en scène Julien Kosellek, c'est incroyable cet auteur, avec cette mise en scène, ces acteurs, ce son,  cela vous entre dedans et ne vous quitte plus, tout y est, ça paraît presque une issue à l'inextricable de notre époque. C'est comme du Shakespeare tout semble y être de nos vies... Alors que c'est à des lustres, Shakespeare et à des milliers de kilomètres : La Chine ? -non, c'est dans l'immeuble d'à coté, avec le petit restau chinois au RDC j'ai pensé à cette chanson de Vian : la vie c'est comme une dent quand elle est foutue il

faut  l'arracher et Pascal il a conclu : j'aime vraiment bien leur théâtre c'est d'avant garde et digeste... On peut aimer et rester lucide avec ce théâtre là, c'est ce qui va vous arriver de mieux car vous vous identifierais à tous les personnages : Pourquoi ? parce que l'auteur a réfléchi au sens de tout, et la comment rapprocher les petits blancs des grands chinois !!!! Vive le théâtre européen contemporain qui franchit les frontières...

https://www.facebook.com/events/456443371411369/permalink/507739789615060/

vendredi 24 mars 2017

Soyez-vous-même au théâtre de Belleville

https://www.sortiraparis.com/scenes/spectacle/articles/135265-soyez-vous-meme-au-theatre-de-belleville-notre-critique

quels feux et le bouche à oreille suit la trainée de poudre, voilà longtemps que j'avais vu sur un tel sujet, deux aussi extraordinaires performances d'actrices au service de la tragédie comme du grand guignol avec des percées du réel aussi tranchantes que le diamant, alors t'éclate de rire ou tu ris sous cape selon les natures de spectateurs. C'est plein à craquer et avec une très grande majorité de jeunes, aucune abstention possible.

http://www.journal-laterrasse.fr/soyez-vous-meme/
voilà ce qu'écrit Manuel Piolat Soleymat dans ce journal pétant du spectacle vivant...
"Eléonore Joncquez, elle, cantonne son personnage à une figure de cartoon. On se lasse vite de ses hauts cris, de ses grimaces, de ses emphases. Franchissant les lignes de la facilité, ces contorsions nous éloignent de l’étrangeté et de l’ambivalence qui auraient pu faire la réussite de cette comédie décalée."
Je n'ai pas pu laisser de commentaire(commentaires fermés) mais j'aurais répondu cela :
Cartoon et puis même !
 Eléonore Joncquez est incroyable de liberté et de dimension théâtrale, on n'est pas au cinéma on est face à la monstruosité qui se cache sous la peau du management...
Il faut courir les voir toutes les deux, leur complémentarité est une réussite absolue de la pièce, de la mise en scène ce sont des interprètes hors cadre.
Shakespeare aussi "franchit les lignes de la facilité" et on ne dit pas alors qu'il se "cantonne" à du Shakespeare... Peu d'interprètes sont prêts à jouer Shakespeare mais elle oui.
Elle m'a fait penser à un personnage d'Ettore Scola, Fosca (ombre) dans Passion d'amour, un film que j'ai toujours adoré, le théâtre n'est pas seulement extérieur il est passionné et il est le lieu du surgissement du dérangement et de la prise de conscience, quelquefois.





mardi 21 mars 2017

Saison1 Columbo : Une ville fatale

https://fr.wikipedia.org/wiki/Saison_1_de_Columbo
notes sur 10 :
L'histoire :              7
Les personnages :   8
-féminins :              9
-masculins :            8
Le dénouement :    8
Columbo :              9,5




Une ville fatale : Architecture, l'argent, la musique, sont comme des bouées auxquelles nous nous rattrapions, si nous le voulons, mais le fil conducteur, ce sont les voitures, Columbo, bien-sûr, et les autres personnages, tous à égal intérêt même dans les brèves apparitions comme celle du cardiologue ou de la masseuse japonaise. On ne les oublie, pas, ils ont comme une épaisseur d'humain et en tant qu'acteurs vraiment quelque chose à jouer. À l'égard des personnages, on éprouve aucun préjugé on n'est pas manipulé vers un jugement facile, même les tueurs, on arrive à glisser sur la même pente qu'eux.
Je ne traiterais pas dans mon condensé, consommé d'émotions tous les points notés  en préambule ni pour cet épisode ni pour un autre.
Un film est quelquefois inoubliable pour une scène qui resurgit même une fois qu'on a oublié tout le reste car les épisodes dans leur entier je les ai déjà vus dans les années 70  et puis il y a 15 ans on les a revus avec mon Chéri au début de notre relation sur TV Breiz.
Les personnages féminins sont singuliers, l'ex-femme Goldie et sa dernière jeune femme Jennifer du richissime Beau Williamson. Les deux femmes sont complémentaires !
L'ex-femme n'est pas du tout caricaturale, elle est sensuelle, vive, belle plante. Quand elle se plante devant Columbo, après son massage asiatique (japonais) pour mettre son peignoir -ah les peignoirs des femmes dans Columbo c'est comme les voitures de brillantes carrosseries sauf celle de Columbo, la fameuse Peugeot 203 sale et cabossée comme son imperméable-, elle demande à Columbo de se retourner, il obtempère timidement et là où son jeu est subtil et burlesque, il le fait comme s'il perdait le sens géographique d'orientation, de la situation et pas comme s'il en perdait la tête.
Le corps et les vêtements, l'incarnation de la classe sociale, dénotent des écrivains comme Annie Ernaux ou Edouard Louis Eddy Bellegueule  et donc ici c'est finement ciselé mais à l'américaine, les voitures ne s'appelaient t-elles pas les belles américaines et les femmes avec toujours un peu d'extravagance, les pinups.
Dans les files d'attente, le comportement de Columbo, ses attitudes délicates avec chacun, mais contrariantes vis à vis de lui-même du temps perdu sont dignes d'un Charlie Chaplin.
-la pause déjeuner du guichetier
-le renvoi kafkaïen d'un guichet à un autre
-le respect de son placement dans la file d'attente sans user d'un passe droit
Quelle finesse d'anti-Héros.
http://www.vroom.be/fr/actualite-auto/les-voitures-des-films-la-peugeot-403-de-columbo

lundi 20 mars 2017

Les séries sur Netflix : Marseille Saison 1, Iron Fist via Marvel Saison1/ mes premières séries : Columbo Mannix

Il y a des périodes dans la vie  pour des raisons peu relayées sur FB où l'on a comme besoin de se replier, prendre du recul, du repos, s'oublier pour mieux se retrouver : l'extérieur attendra, même au printemps. Et  j'utilise sans modération, en ce moment,  la vision des "feuilletons" des vieux aussi comme Columbo dans l'ordre des saisons et des séries plus récentes disponibles sur Netflix. Car cela  me rapproche de l'enfance où les séries Mannix Le Fugitif Starsky et Hutsh, Amicalement vôtre, elles étaient une poche d'air à partager avec mon père ou avec ma mère, rarement les deux, quoique! : les Incorruptibles à 10h. On ne disait pas 22h, à 10h, car c'était long d'attendre, surtout que c'était le lundi soir jour de fermeture du magasin de jouets de mes parents.

À propos de Columbo, Peter Falk dans son personnage de Columbo a joué dans les Ailes du Désir de Wim Wenders. Et puisque depuis, on sait que ce personnage interprété par lui est un ange,  je vous promets une analyse des épisodes dans l'ordre chronologique de mes ressentis. Et puis il faut mieux s'habituer à refréquenter les anges : ces êtres séparés entre réalité et fiction.... Les acteurs sont eux aussi par définition des anges mais quand ils quittent leurs tréteaux, ils ne sont que des hommes et ne font pas de plis à la vie....



https://www.senscritique.com/serie/Marseille/critique/66123192

J'ai vu la Série Marseille et je suis très contente que cette série ne soit pas un House Cards français que je n'ai pas pu regarder jusqu'à la fin de la 1ère saison. Les fils étaient tellement serrés qu'on en voyait aucun fond, aucun hors champ, aucun lyrisme (ou cliché !). Les clichés on peut les traverser les sublimer tandis que le formel pour le formel, est au bout d'un moment indigent, sans rien d'autre. House of cards ce n'est pas Twin Peaks non plus.... ni Columbo.
Marseille est beaucoup plus pertinent que Baron Noir, il ne met pas seulement en exergue les rivalités des hommes, leurs intérêts economiques et personnels. Il fait ressortir que la politique peut être un art et que si on la laisse devenir depuis des dizaines d'années que de la comm sur de la comm, elle sonne faux et paralyse toute évolution politique et sociale. Rien ne bouge plus... et cette évolution possible serait subtile à faire émerger.
Depardieu est immense et humain, Benoit Magimel en prédateur obsédé par la recherche d'un sens à sa vie désertée, depuis l'enfance, est crédible, il existe avec singularité, à côté de Depardieu. Le casting est bon, les coups de théâtre qui nous font attendre la suite, sont très bons.
Les meilleures critiques données à cette série,(il y en a peu) n'acceptent pas le langage utilisé,  des mots trop crus,  quand je vous disais qu'on place tout dans les apparences. Les mots crus sont le contraire de la vulgarité quand ils correspondent à une humeur comme la colère, le désespoir, la perte totale de repères affectifs. La fin on la sent arriver bien sûr, mais on se dit que le son d'un stade de foot à Marseille, ce n'est pas seulement un cliché, quel homme politique ne va pas voir les matches de foot, les clasicos à Paris et à Marseille .
Deux scènes sont pour moi inoubliables, l'une par le jeu de Depardieu, l'autre par la mise en scène et le cadrage. 
La femme de Depardieu est touchée par une maladie rare de paralysie qui a commencé par la priver de sa main droite alors qu'elle est violoncelliste. Depardieu dans le rôle de son mari lui confie qu'il avait décidé de quitter le postulat de maire de Marseille pour s'occuper d'elle et après bien-sûr un silence mais pas trop long, il dit, on devrait prendre un chien, c'est tellement juste qu'on voit le chien dans son regard, rien ne bouge dans son visage pourtant.
L'autre scène, il entre dans leur maison comme à l'habitude en s'approchant il l'entend jouer il la découvre de dos avec son violoncelle, il sourit comme un enfant au son de la musique retrouvée et en approchant en gros plan sur Géraldine Paillas, on voit que le violoncelle est sans cordes et que le son vient des enceintes et donc d'un enregistrement. Jamais je n'avais perçu que tous les enregistrements, captations possibles ne rendraient à la musique à l'art sa vie... Et j'ai pleuré avec elle. Je voulais dire aussi comme cela en passant que la complicité des deux acteurs, est intacte, comme dans les films de Pialat. L'importance des costumes, qui tombent impeccablement sur le corps massif de Depardieu lui donne une sensualité tendre comme celle d'un rempart protecteur, qui pourrait ouvrir les bras plus larges, des bras de soie. Car il y en a dans la trame de ces costumes...
http://teleobs.nouvelobs.com/series/20161227.OBS3117/pourquoi-la-serie-twin-peaks-fera-l-evenement-en-2017.html


Iron Fist est un alliage Manga et Marvel mais là aussi bien fait. Et surtout on ne s'y perd pas dans les personnages et leurs quêtes. Une phrase qui j'ai relevée toute simple : les hommes ont des fusils mitrailleurs parce qu'ils ne savent plus se battre. Ce n'est pas si fantastique et violent que cela.  Là aussi comme dans Homeland que je place quand même toujours en numéro 1, les femmes sont complexes libres et à part entière l'égale de l'homme, et c'est cela le vrai miracle des séries...
http://www.journaldugeek.com/2017/03/17/alors-on-regarde-iron-fist-que-vaut-la-nouvelle-serie-de-super-heros-de-netflix/
Le problème de cette série c'es qu'elle est un peu trop fabriquée, les expositions sont très bavardes et les ressorts de l'action un peu téléphonés, mais les combats sont réussis et impressionnants pas autant que dans un film de Tarantino, comme si ils n'osaient pas l'humour seulement l'extravagance. Iron Fist va fonctionner en équipe : The Defenders, prochaine série sur Netflix.
Sinon j'accorde assez peu d'importance aux génériques mais j'adore ceux de Homeland et de Marseille beaucoup moins celui de Iron Fist quoique la musique sur la fin, j'étais persuadée de l'avoir déjà entendue quelque part... dans une autre série.
https://fr.wikipedia.org/wiki/DC_Comics
https://fr.wikipedia.org/wiki/Iron_Fist_(comics)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Marvel_Comics




jeudi 9 mars 2017

Dragon d'or à l'Etoile du Nord un soir en plus vous pouviez rencontrer l'auteur....

une c'est l'auteur le plus joué en Allemagne le pays de Fassbinder Brecht Goethe..., deuxio c'est 8 Euro  la place et les voyages dans ces sous-sols avant que d'arriver dans la lumière intérieure d'un théâtre sont inoubliables.... et j'ai besoin d'infos et je suis clouée ici... Quoique ! si si je fais un effort jusqu'au 25 et après ce sera fini... et je me re-libèrerai
à 26'30 du début du reportage : le dragon d'or, "parler comme cela d'immigration j'ai adoré" regardez le reportage bien fait de 3mn et puis après allez-y, ou si vous préférez allez-y d'abord et regardez le reportage après......


l'auteur et le metteur en scène