lundi 28 janvier 2019

Oscar et le monde des chats

https://www.filmspourenfants.net/oscar-et-le-monde-des-chats/ 
Cette critique est très longue égrenant tous les points abordés.Mais si je l’ai choisie c’est qu’elle est assez juste et surtout mentionne que les enfants ne pourront l’apprécier que s’ils ont au moins 8 ans. 

Par rapport au film d’animation japonaise, ce film d’animation chinoise est très mal perçu par la critique du genre et bien moi je suis comme Télérama plus indulgente. On voit certes du copié-collé avec certains Pixar. L’ajout musical psychédélique aux couleurs acidulées forcées n’est pas très réussi.  Mais les personnages principaux sont attachants dont Oscar son père Léon mais aussi les oiseaux dont le perroquet Kiwi !? Et les oies, qui parle des oies alors qu’elles sont très amicales (j’en ai aimé une pendant mes vacances dans le Béarn, enfant, une qui était paralysée des pattes et que j’emmenais dans un panier d’osier dans les champs pour qu’elle mange de l’herbe, bien sûr je n’ai pas pu l’emmener avec moi en ville, elle est morte après mon départ elle ne mangeait plus) 

Le chat des rues est mystérieux indépendant : l’intrigue avec son ancien maître devenu haineux... le raton-laveur chef des gardiens kapos...m’ont aussi bien plu comme la fin.  J’ai bien fait d’y aller mais après le film japonais vu hier Miraï ma petite soeur,  la comparaison l’a un peu desservi. N’allez pas les voir dans cet ordre.








Miraï , ma petite sœur

Un film étonnant de justesse, et de fantastique, les gens y sont beaux ! Dans la petite salle comble avec enfants et deux jeunes femmes japonaises qui ont bien ri, au ciné club de mon quartier, Miraï Kum leurs parents grands-parents sans oublier le chien, nous ont laissé ébahis. 

J’adore regarder les gens et surtout les enfants qui regardent un film ! Certes il ne faut pas les gêner mais avec les enfants on est tranquille rien ne les détourne de leur attention.  Une petite fille blottie contre son papa qui lui quelquefois en profitait pour s’assoupir un peu tandis qu’elle la bouche entrouverte, n’en a pas perdu une image. Doublé en VF par des acteurs pas trop connus on n’en a pas perdu non plus un seul mot. Si vos enfants ont 6-8 ans emmenez-les surtout s’ils ont des frères et sœurs mais aussi si enfants uniques ils sont complètement déroutés par leurs émotions dont la jalousie et ne comprennent pas combien on est lié les uns aux autres par la famille. On peut être aussi proche enfant d’un grand-père que de son chien on n’a pas encore de barrières de hiérarchie aux sentiments, on aime on aime pas on obéit on fait mal et tout passe... mais c’est quoi les souvenirs....

Dans le dessin je pense à notre nièce Nanou Mes Dessins c’est un miracle que les corps placés dans l’espace comme le petit garçon quand il dort ou sa soeur bébé quand elle glisse du relax... ou quand le Grand frère explore son visage pendant qu’elle dort, les quelques secondes bien-sûr avant qu’elle ne se réveille en pleurant. Le passage dans l’immense gare japonaise avec l’arrivée extraordinaire pour un petit garçon, mais pour nous aussi, de tous les trains et de la foule, est inoubliable.

https://www.avoir-alire.com/mirai-ma-petite-soeur-la-critique-du-film




La Mule Clint Eastwood Bravo

Mon chéri, 
Je suis très contente d’être allée voir la Mule avec toi car je ne sais pas trop pourquoi, si je sais c’est un film important pour moi, qui parle de l’éphémère et de ses tourbillons amicaux dont il ne reste pas grand-chose si tu es à court d’argent... et puis bien sûr dans ce cas-là, tu n’acceptes l’aide de personne même si tu sais confusément que des gens pourraient t’aider, des proches que tu as aimé très, trop,  c’est à dire mal. Et puis parce qu’il y a de l’humour désespéré et beaucoup de vieux très bien filmés et que Clint Eastwood se moque de toutes les images qu’on a brossé de lui... et surtout que comme toi il n’a rien perdu de son charme et de son acuité de regard sur les autres Et puis Bradley Cooper la scène entre eux deux est tellement forte, quelquefois on est obligé de mentir par omission à des gens qu’on estime dont on aimerait être le père, le frère, l’ami mais qu’on ne reverra jamais. Et puis pour autre chose dont je ne parlerais pas ici et aussi parce que je ne les oublie pas les films de Clint Eastwood, Chapeau bas et que vive l’Amérique ! Longue vie à cette fleur, à ce film, à cet homme !



lundi 21 janvier 2019

El miracolo Série sur Arte


Tommaso Ragno un mélange de Kurd Jurgens et Niels Arestrup et Michel Fau et Harvey Keitel, joue un bad prêtre dans l’extraordinaire série italienne sur Arte Il Miracolo écrite pour être réalisée à l’écran par l’écrivain Nicolo Ammaniti.
Voilà c’est fini ! nous avons regardé sur Arte TV les derniers épisodes, tellement nous étions comme envoûtés par tous les acteurs jusqu’à la fin sans pouvoir nous arrêter, l’histoire les liens avec « le miracle » entre les personnages, comme pour un film choral genre Magnolia. Après les lendemains, nous en avons parlé et reparlé à nos amis.
sur Telerama il signent "Prodige"


Jacques Gamblin en facteur cheval, j'ai beaucoup aimé

Quand un film tient à la pureté et à l’incandescence d’un jeu qui dirige les corps vers le désir intense de découvrir le monde par le ciel, l’absolu, l’amour, ce n’est pas spectaculaire, c’est vrai. Il joue Jacques Gamblin comme un acteur du muet, ses yeux brillent comme ceux d’un Charlot : Charlie Chaplin amoureux, il est porteur fou d’un rêve et il ne peut rien dire aux êtres qu’il rencontre, l’extérioriser par les mots c'est le détruire un peu non ?  et au fur et à mesure qu’il marche dans ce magnifique paysage, il construit déjà dans sa tête pour Alice son palais idéal, il ramasse des cailloux et c'est ainsi qu’il communie avec les êtres qu’il aime et qui l’aiment, il s’apprivoise. Quand il apprend à être avec les enfants quand il s’écroule face à la douleur de la perte de ses enfants, c’est très fort. Il n’y a que lui pour jouer comme cela au milieu des photos et de la si belle reconstitution d’un passé pas si lointain... et visionnaire d’un temps qui n’est pas encore advenu ou l’occident épouserait l’orient par leurs légendes. C’est un film ardu qui ne laisse pas indemne et qui n’a aucune complaisance et qui ne se compromet avec aucune démagogie, pathos, c’est la passion qui rejoint l’amour de la marche dans les immenses paysages de la Drôme.
Laetitia Casta est d'une présence forte plus elle vieillit plus elle est belle et d'un jeu touchant. Elle aussi brûle d'un feu intérieur sous des extérieurs sobres et dignes et patients c'est à dire aimants. Elle son personnage le comprend son époux.



https://culturebox.francetvinfo.fr/cinema/jacques-gamblin-en-facteur-cheval-emeut-les-habitants-de-hauterives-279835

Le sourire au pied de l'Échelle Denis Lavant au Théâtre de l'Oeuvre

https://www.sortiraparis.com/scenes/theatre/articles/181968-denis-lavant-dans-le-sourire-au-pied-de-l-echelle-au-theatre-de-l-oeuvre-en-2019#y7rVray2ppixOqLb.01

Ceux qui aiment et qui ne comprennent pas à quel point : l’art de la scène, la joie, ce qui n’est pas pareil que de faire rire... ceux qui aiment Denis Lavant, son travail d’acrobate entre les rôles les plus empreints de démesure, seront ravis, ceux qui aiment Henry Miller, ses œuvres, ses lettres, ses réponses données à titre d’indice sur les profondeurs, les affres du désir face au ciel : la lune tout en restant au pied de l’échelle. Sans passer par la case sommet, célébrité. Denis Lavant joue trois rôles...
je ne vous en dirais pas plus...
À des moments, il joue aussi de plein d’instruments à vent, des cuivres et d’un tout petit accordéon qui a un nom ... celui des grands clowns, Grock c'était un violon ? Quoique ! celui de Devos ? -non lui c'était le bandonéon : LE CONCERTINA. Et puis voir la tête de Denis Lavant sous le fard blanc et avec ses chapeaux. La mise en scène est un travail d'orfèvre sans gras, sans complaisance, c’est une création où l’on retient son souffle et où délivré on applaudit fort, après on n’arrivait pas à quitter la salle. Je me suis dit aussi comme cela serait bien au théâtre des Bouffes du Nord. Mes deux théâtres préférés l’un pour le son l’intime : l’Oeuvre ; l’autre pour tout le lieu, son ciel, sa communion... : les Bouffes du Nord. Et le Lucernaire ? Comme le festival d'Avignon off, il est plus proche de la vie, c'est à dire de ses déceptions autant que de ses promesses.
le clown Grock avec son concertina
à propos de clowns j'en connais un autre Yolande Moreau qui parlait de Zouc hier aussi ce Dimanche 20/01/2019 à l'émission une journée particulière sur France-Inter.


Roma Cuaron sur Netflix, et d'autres films dans le cadre du festival Telerama : Les Frères Sisters, Leto

Récapitulons notre semaine hors champ cad à la retraite et avec Festval de cinéma Télérama +pass + abonnement chaînes payantes, c’est bien la preuve que nous sommes privilégiés... si je devais garder une chose ce serait mon abonnement au ciné club du coin et mes cours de yoga à l’atelier du quartier... mais je serais encore une privilégiée...
Les nobles pensaient-ils qu’ils risquaient de perdre leurs biens et leur tête en jouant en aidant les arts et en faisant la charité aux plus nécessiteux et en essayant d’être justes avec leurs serfs serviteurs....
Bref...en premier après incubation, infusion pendant plusieurs nuits avec sommeils : Roma (article du New York Times) vu donc à la télévision sur Netflix, c’est un film prodigieux qui recrée la vie. C’est comme si avec le cinéma, on épousait tout en détail, en profondeur. Les acteurs sont plus vrais que nous... à cause de la mise en scène avec crottes de chien et maladresses pour garer une trop grasse voiture en une voie trop étroite. Il y a ceux qui soit disant maîtrisent leurs pulsions par la pratique des arts martiaux, il y a l'amour de Cleo pour les enfants dont elle est la nounou et l'amour conjugal qui devient inexistant à force de mensonges...Les hommes sont particulièrement lâches incontrôlés et absents. Tous les détails sont inscrits dans un noir et blanc somptueux, c’est à dire la couleur des rêves ou des plus belles photos.
Après, au Lucernaire, dans le cadre du festival du Cinéma Telerama : Les frères Sisters (critique à voir à lire .com) de Jacques Audiard un grand western qui nous raconte plein d’autres choses entre autres : la fraternité, la nature, la pollution, la cupidité, la violence d’origine.... l’amour (la scène avec la prostituée et l’étole « si je porte à mon cou en souvenir de toi cette étole de soie... » comme disait la chanson) l’amitié... l’utopie, le retour aux sources et un élément de comique flamboyant dans la scène quand le Commodore est mort, avant la fermeture du cercueil. Les femmes en sont surtout absentes, la patronne de l'hôtel : Mayfair meurt et on ne la regrette pas...
Le plus mauvais film des trois, Leto (article du Monde). Parce qu’après Bohemian Rhapsody ça ne passe pas, c’est ennuyeux à force de noir et blanc gratuit et d’histoire d’amour peu crédible. Sur la musique, les chansons qui n'attendent après personne, avec ces sortes de clips illustrant certains airs très connus comme a Perfect Day ou Psycho Killer c'est très réussi ; la Russie sous Brejnev, n'était-ce pas beaucoup mieux....



lundi 14 janvier 2019

Cinéma comme au square : The Queen c'est à dire Bohemian Rhapsody et Les Invisibles


Je n’ai jamais écouté autant les émissions critiques de cinéma parce que pour Noël, Pascal nous a offert un pass duo et donc nous allons au cinéma depuis tous les deux « sans payer » comme si nous allions  ensemble nous promener au square. Il faut juste connaitre un peu les fleurs les arbres apprendre à les aimer et choisir son jour, même pas, car pour aller au cinéma, tous les jours sont bons. Le masque et la plume à propos entre autres des Invisibles  : « c’est un film qui marche ! » puisse cette marche apporter un dialogue car le cinéma quand il est amoureux, il peut changer le monde c’est Juliette Binoche qui le dit....  voir mon avant dernier post sur sa présence au dernier Cercle en accès libre sur Canal+

Au sommaire là aussi les Invisibles et ce film suédois sur les Troll: Border et avec la présence de Juliette Binoche qui parle si bien du jeu d'acteur, d’une porte... (32 ‘ à 40´) conseil qu'elle donnerait aux jeunes acteurs : d’essayer d’écouter en soi, cette petite porte qui s’ouvre à la connaissance de soi.... 

Sur le site FB du Masque et la plume, échanges....

Marie Piot : Pour tous les gens qui vivent dans le confort (j entends qui ont un toit, de quoi manger, qui ne sont pas dans la survie quotidienne), ce film devrait être obligatoire ! Quel courage...
La difficulté des travailleurs sociaux est très bien montrée, la volonté de ces femme sans abri est une belle leçon.
Tout cela filmé sans pathos. Et toutes les émotions nous traversent. J ai tellement aimé ❤❤

Catherine Dumont : c'est un film intéressant c'est vrai et très émouvant.  Pas de mélo, ni de pathos. IL montre bien le combat des femmes sdf pour la dignité et l'engagement sans faille des travailleurs sociaux. Un seul bémol pour autant, le discours est parfois un chouia caricatural : la bourgeoise en crise qui trouve son salut dans le bénévolat, l'administration qui ne comprend rien et raisonne uniquement avec une calculatrice, et les travailleuses sociales qui sont des héroïnes dont le combat justifie tout, la jeune assistante sociale qui n'a pas de vie... C'est tout de même un peu plus compliqué que cela. Mais les femmes sont vraiment magnifiques, filmées avec tendresse et respect et les actrices sont superbes. Mention spéciale à Audrey Lamy très juste.

Nathalie Feyt : j’ai beaucoup aimé mais effectivement un chouïa caricatural pour le rôle de Noémie Lvovsky un chouïa et c’est une fiction qui s’assume et grâce à l’écriture de son rôle on comprend que certaines  d’entre nous pourraient être aussi caricaturales, non ? et cela donne une des scènes les plus drôles : celle de la voiture avec les deux enfants derrière et les parents devant la mère demande de s’arrêter et les enfants de se retourner pour voir qu’est-ce qu’elle fait sur le trottoir et de dire : non, elle va pas remonter avec sa clocharde !?! ce que j’ai ri le jeune comédien est tellement juste ! Guillaume Cloud Roussel qui jouait aussi dans le Grand bain. 
Et autre ambition que celle de nous faire rire intelligemment, celle d’imaginer tous les moyens aujourd’hui dont on dispose pour aider réparer la vie des gens....
Et comme c’est bien de se mélanger un peu plus et de briser ainsi les barrières sociales rehaussées....restaurées, hélas! même si on a toujours fait,  que semblant qu'il y en n'avait moins et même sous les régimes dits de gauche.
Ecoutez ce que matin Lundi 14/01/19 Gilles, un exclu, un clochard, c'est à dire un gilet jaune qui a dégringolé, en pense du mouvement des gilets jaunes et de la réponse de Macron et de ses ministres (17'17   à 18'33) il demande même pas l'égalité mais un tarif préférentiel et un logement quand il voit des 200m2 de bureaux vides tout à côté d'où il dort...
https://www.franceinter.fr/emissions/le-journal-de-13h



3 ème film en 3 jours trop, super, excellent, courez-y, la vie l’humain y triomphent, nous y sommes allés au Gaumont-Opéra, il y avait des jeunes, des familles, la salle comble, le film a été applaudi à la fin, ça arrive combien de fois : une fois sur mille Y a plein de femmes, comédiennes pro ou non professionnelles  toutes exceptionnelles. C’est un film qui nous a donné aux trois amis que nous étions, un champ libre, un espoir, le sourire d’intelligence, nous étions tous deux avec cet ami qui s’occupe depuis des années d’une association de bénévoles pour accueillir des étrangers qui veulent maîtriser le français : Français langue d’accueil. Pascal espère un César partagé entre toutes...à cause de la fin.
Et Bohemian Rhapsody 
Virginie Pierre j’ai adoré Bohemian Rhapsody demain j’écouterai en larmes toutes les chansons entendues dans le film. J’ai beaucoup pleuré....
Et n’allez pas croire que c’est à cause des chats.
Freddie Mercury : l'acteur dans le film

Le chanteur dans la vraie vie.

Mon nounou déguisé en Queen


jeudi 10 janvier 2019

Souvenirs "trois petites notes de musique"... Il suffirait de presque rien.

J’ai retrouvé grâce à un de mes anciens profs de théâtre une vieille très ancienne vidéo, qui date de plus de 30 ans, je la poste ici, mon regard, ma voix un foulard en mailles brillantes blanc, en guise de serre tête, un autre foulard autour du cou et ce respect presque nonchalant de sa directive à la caméra, de ne pas le lâcher.
Mon professeur c'était Luc Charpentier. Il vit sa retraite avec l'amour de sa vie Armelle en Bretagne.
Ses élèves les plus célèbres à ma connaissance : Jean-Charles Dumay Christophe ALévêque et Bertrand Farge.

mercredi 9 janvier 2019

Une affaire de famille

Un film au dessus de beaucoup d’autres, japonais , mais ce n’est pas ce qu’on remarque car il touche tous et un chacun. Les enfants l’homme les femmes la mamie. C’est un film qui sait ce qu’il ne faut pas montrer, ce qu’il faut ne pas dire, les silences rythment le film, le décor de cet appartement est incroyable et sinon tous les acteurs sont très souvent cadrés en gros plans et sont magnifiques. Car les scènes sont longues et le temps paraît passer sur la vie des gens mis au rébus, entre les grands immeubles.  La fin est aussi très belle et tellement  frustrante qu’on a envie de changer de monde. C’est un film contre toutes les arrogances. Et un chef d’œuvre. Il y a un moment encore plus sublime que les autres, c’est la scène du feu d’artifices. Mais je pourrais vous en énumérer beaucoup d’autres mais je vous laisse les découvrir. Ce n’est pas un conte philosophique ou du moins pas seulement. Il vole si haut qu’il me rappelle les familles entrevues quand j’étais enfant car je pouvais ouvrir toutes les portes des familles de mes camarades de classe de l’école publique chez lesquelles je me sentais mieux que chez moi. 

Le Monde - « Une affaire de famille » : l’amour à la dérobée





Avec son clan de voleurs, échantillon de l’humanité, le cinéaste Hirokazu Kore-eda émerveille et bouleverse.



https://www.lemonde.fr/cinema/article/2018/12/11/une-affaire-de-famille-l-amour-a-la-derobee_5395588_3476.html