dimanche 26 juillet 2020

Madre

Je viens de perdre un long post que j’avais écrit sur ce film que Pascal m’avait choisi : Madre .J’y racontais deux scènes et disais encore que le jeu des comédiens est, était .... intense ; j’en disais trop comme d’habitude mais c’est un film aussi qui nous apprend à regarder le cinéma, les images comme des souvenirs en train de se marquer en nos mémoires. Oui c’est un film de « résilience » aux pires « choses de la vie ». Avec aussi Frédéric Pierrot et Anne Consigny, si justes et mystérieux...vivants. Le jeune acteur espagnol en duo avec l’actrice principale sont tous deux incroyables comme Tadzio dans Mort à Venise où Lea Massari dans le souffle au cœur. Ce film s’affranchit de toutes les références. 
Mon beau frère cinéphile et surtout à la mémoire et au style synthèse m’a écrit 
Pierre Kandel
L'ado n'est pas espagnol, il jouait (très bien) Marvin enfant dans le film d'Anne Fontaine.



mercredi 22 juillet 2020

Unbelievable



Cette série est tout d’abord bien jouée oui mais aussi elle est profonde dans le sens du détail humain car elle ne tombe pas dans la victimisation d’un côté et les bourreaux de l’autre. Les portraits de femme sont extraordinaires ceux qui se rangent du côté de la facilité on n’y croit pas, comme cela plus d’histoire de viol... sont aussi très bien réalisés le retournement des gens le moindre des personnages est dense car c’est avant tout cela la force des séries rendre les personnages vrais comme des collègues pour un temps..... 
Il ne nous reste que 3 saisons pardon 3 épisodes à voir, hier on n’a pas pu s’arrêter avant avoir vu 5 épisodes. 
Quand on finit cette mini série on n’en revient pas de ces comédiennes, et de ce monde de demain qu’on attend entre femmes et hommes.



mercredi 15 juillet 2020

Il était une fois en Amérique

https://www.facebook.com/1577173448/posts/10220290029192347/?d=n


Que pourrais-je dire en plus en moins en mieux sur ce film.... Et si le temps n’était qu’un decor qu’un changement d’accessoire et si même le corps comme le décrit l’analyse de l’article de la Cinémathèque n’était qu’un costume par le jeu de Robert de Niro. Et surtout si on n’arrêtait pas d’imiter de piquer aux autres leurs vies comme des parasites.....le sang pour pondre leurs œufs. Il y a aussi la notion touchante d’éternels enfants et celui qui trahit ses amis dans les faits est-il plus traître que l’autre. 
La musique aussi bien-sûr, de ce film on connaît la fin et on ne la connaît pas c’est une bible du cinéma mieux qu’un roman, un poème.