mardi 27 août 2013

Alain Guézou : "Emmaüs, le Secours populaire... ces associations ont fait de la solidarité un fond de commerce."

Il y a un marcheur du RSA Alain Guézou, qui est parti de Grenoble pour dénoncer les effets pervers du statut, de Grenoble 612 km et qui est attendu demain matin chez Hollande.http://www.franceinter.fr/emission-linvite-de-7h50-alain-guezou-emmaues-le-secours-populaire-ces-associations-ont-fait-de-la-s
+ cet article un peu compliqué
DEMONTE-RUMEUR12/03/2013 à 19h33

La fable bidon de la famille RSA qui gagne plus que la famille salariée

 sur RUE 89

lundi 26 août 2013

C'est la rentrée à l'Atelier Théâtre/ à la Radio, merci, à mes journalistes "gauchos" (pour Marine Lepen !) de France-Inter/ciné Gros bête et méchant : Prières pour Bobby/ meilleures photos... /Lecture plein.....

Pourquoi cette photo parce que j'en garde un excellent souvenir de cette création, même si... à cause de qui... de quoi... malgré toutes les peines, les remises en questions, les doutes, les arrêts intempestifs.
Et puis parce que c'est un des meilleurs spectacles ateliers mis en scène par Philippe Person.
Malgré : "parce qu'un d'entre eux a failli perdre la vie et heureusement rien d'irrémédiable, puisqu'il est toujours parmi nous.
Parce que le meilleur se déconstruit, se répare, parce que le pire à prévoir ne se passe pas toujours, etc...
parce que j'ai écris cela à 12 personnes qui constitue la trouupe de cet atelier d'aujourd'hui :

"Merci pour votre présence, la sincérité de vos réactions et la largeur d'esprit qui favorise les échanges du vivre ensemble pour être tous et chacun, heureux de faire du théâtre les uns avec les autres ; de faire passer de l'amour et ou de l'amitié toujours éphémère mais donc toujours à renouveler... au public.


Pour nos hommes nouveaux : Daniel et Pierre, je les préviens que lorsque je ferme les yeux pendant les répétitions c'est à cause de petits problèmes de santé, mais comme tout le monde le sait, chez les anciens de cette troupe, j'ai grâce à l'art du théâtre développé un plan B : "voir avec les oreilles..."

Quant à notre RIBES EN BELLES même si c'est encore un peu loin dans le temps, Eric ton retour parmi nous à pieds joints, pour cette 4ème et dernière représentation ; je tiens à te prévenir que nous t'attendons pour convenir d'une autre date éventuelle.

Quant aux 12 personnages en quête de paix.... (la prochaine pièce adaptée d'à partir 12 hommes en colère, nous irons jusqu'au bout de cette aventure, de cette création. Ah je peux vous dire que les scènes travaillées en impros et réécrites ensuite, c'est un très beau travail à faire et qui apprend tout autant sinon bcp plus que le texte seul, et /ou, et encore, qui dépend de l'écoute, l'ouverture, l'observation de tous et un chacun. Grégory a pas mal expérimenté la chose dans ses films s/Internet : caméras cachées "la Vraie Vie de Bengui", mais aussi Hélène et Paul dans un précédent spectacle : Mise en Pièces.

C'est le travail de l'acteur-auteur.

Je vous embrasse à tous et vous commenciez à me manquer à tous et à chacun.

Philippe est en copie alors quitte à piquer sa modestie naturelle, je vous le redis, faisons-nous confiance et faites-lui confiance.

Cela fait plus de 20 ans que nous nous sommes trouvés en Compagnie et plus quittés, et Paul alors lui le connaissait déjà depuis.....



Ca sent la rentrée je vous réécris.



BIZZZ collectives et bonne semaine.



Nathalie"

oui ce petit texte pour vous expliquer que dans les cours ateliers troupes le 1er moment le plus délicat c'est la distribution des roles et d'atteindre l'harmonie, avec l'apparente disparité des rôles.
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C'est la rentrée merci, à mes journalistes "gauchos" (pour Marine Lepen !)  de France-Inter, 7/9.
ÇA FAIT DU BIEN COMME LES CONSEILS d'un parent retrouvé attentionné autonome et cultivé (Patrick Cohen et Pascale Clark) qui à votre retour de vacances vous feraient croire qu'on va vivre tous ensemble et travailler pour s'en tirer encore, par le haut.... et qui vous résumeraient ce qui s'est passé tout autour de la planète....
Tout en sachant bien qu'ils ne peuvent pas tout savoir nos parents attentionnés même s'ils sont plus doués que certains amis copains collègues dans leur soucis exhaustif d'avoir vérifié qu'on peut toujours malgré tout garder le sourire.
à part les publicités répétitives hebdomadaires, c'est quoi que je préfère ? rien quand les spots de publicité institutionnelle sont assénés si bêtement.
ciné : Gros bête et méchant;

Prières pour Bobby film TV
Critique de Bobby : seul contre tous (TV) - par Théo G.
  5 - Chef d’œuvre
J'ai commencé à regarder ce film avec une appréhension assez forte.. Peur de me retrouver avec un film LGBT rempli de niaiseries. Eh bien non on a un film certes pas irréprochable techniquement parlant mais c'est un film à dose émotionnelle gigantesque. Je n'ai pas arrêté de pleurer, encore plus lorsque j'ai pris conscience que oui, c'est une histoire vraie. On vient de sortir du débat pour le mariage pour tous, les arguments que l'on entend dans le film sont les mêmes que l'on a entendu par des personnages comme Boutins ou Barjot il y a de celà quelques semaines. J'ai étais touché de pleins fouet par ces 2 heures, on y retrouve tous ce qu'une personne LGBT peut/va/a affronté/er. Et puis quel message !! Cette simple phrase m'a glacé le sang et devrait être récitée à tous les parents " Before you echo Amen in your home or place for worship, think and remember. A child is listening .".. Ais-je besoin de rajouter quelque chose? C'est tout simplement le meilleur téléfilm ( principalement au niveau du fond ) que j'ai vu ! A voir , d'urgence.

Allo, comme au ciné
Paris Manhattan :
c'est un film maladroit et bien fait et qui traite légèrement d'un sujet grave l'influence directe et possible du cinéma sur les êtres humains, combien ça les isole, mais aussi ça les rend complices et les protège du désespoir amoureux, d'incasables. Les critiques ont été très mauvaises et pourtant moi je ne crois pas du tout que Woody Allen soit sénile ou ait participé pour toucher un gros chèque, il y a quelque chose du charme des films romatiques disons des comédies sentimentales de Woody Allen. Et puis ne pas faire arrêter un petit cambrioleur... c'est de + en + rare aujourd'hui, surtout chez les commerçants, même pharmaciens. Et il y a Michel Aumont...
Indian Palace c'est un film pour lequel ma meilleurre amie m'a dit c'est un film pour toi. Elle avait raison.

meilleures photos : 1  qui m'a résumée l'AMÉRIQUE et Hopper

Lectures  : j'ai fini Erri De Luca, les oiseaux ferment les yeux, les poissons pas, et qui sait s'ils ne souffrent pas davantage, mais ils font avec, car ils ont aussi beaucoup de joies... décuplées et d'autant inséparables...
j'ai reçu ou j'ai acheté le dernier John Irving et sauf les fleurs....


 http://www.buchetchastel.fr/sauf-les-fleurs-nicolas-clement-9782283026625


MUSIQUE : 1 ovni Stromae à Rock en Seine

en construction


samedi 17 août 2013

Anniversaire suite et fin/ la rentrėe s'annonce avec Yolande Moreau.

http://www.cwb.fr/programme/pleins-feux-sur-yolande-moreau

J'essaie mon cadeau une mini tablette pour faire comme le voulait mon compagnon "pour que fu puisses faire ton blog de n'importe où" mais ce n'est pas si simple. 
J'enregistre aussi je peux parler et elle écrit pour moi cette tablette, Quel progrès ! ces jouets sont comme en nous.
Yolande Moreau de mon cœur, Rétrospective à la rentrée sur elle et avant-première de son prochain film Henry. Vivement la rentrée !

mardi 13 août 2013

La parité dansle monde culturel... au Théâtre /nominations pour les CDN

Nominations de femmes dans la culture : Vallaud-Belkacem défend Filippetti
Le Parisien
Réagissant aux vives critiques essuyées par la ministre de la Culture après l'annonce de plusieurs départs et nominations à la tête de grandes institutions culturelles, la porte-parole du gouvernement Najat Vallaud-belkacem a défendu la parité dans le monde de la création, dans une tribune publiée ce mardi dans Libération. ( AFP / BERTRAND LANGLOIS / GABRIEL BOUYS )13.08.2013, 12h44
Mise à jour : 15h22

La porte-parole du gouvernement et ministre des Droits des femmes Najat Vallaud-Belkacem vient à la rescousse de la ministre de la Culture, critiquée pour sa politique de nominations. Dans une tribune publiée ce mardi dans les pages rebonds de Libération, elle défend la politique d'Aurélie Filippetti, dont les récentes nominations - notamment de femmes - à la tête de diverses institutions culturelles ont suscité de vives critiques.

La nouvelle charge de Mitterrand contre Hollande et Filippetti

«Dans la culture comme partout ailleurs dans la société française, toutes les conditions doivent être réunies, dès à présent, pour que les femmes et les hommes disposent des mêmes chances d'accéder aux responsabilités dans leur domaine d'activité», écrit Vallaud-Belkacem , ajoutant que «rien ne justifie que le secteur de la création soit exclu de cette exigence républicaine».



Début juillet, l'ancien ministre de la Culture Frédéric Mitterrand avait fustigé l'«approche totalement dogmatique de la culture» dont faisait preuve son successeur, qui remplaçait selon lui de hauts responsables du monde de la création «sous des prétextes fallacieux», sans aucune «vision culturelle». Il réagissait au départ d'Olivier de Bernon, remplacé à la tête du musée des arts plastiques Guimet par Sophie Makariou (l'ancienne directrice du département des Arts de l’Islam au musée du Louvre), à celui de Jean-François Colosimo du Centre national du Livre, ou encore à celui de Jean-Marie Besset du Centre national dramatique de Montpellier. Ce dernier, qui dirige le Théâtre des treize Vents depuis 2010, avait d'ailleurs publié une lettre ouverte au lendemain de l'annonce de son éviction fin juin, dans laquelle il critiquait la «violence, l'injustice, la fermeture d'esprit, la pensée unique» de la ministre.



«88% des centres dramatiques nationaux sont dirigés par des hommes»



Aurélie Filippetti avait répondu à ses détracteurs dans une tribune publiée dans Télérama début juillet, expliquant que ses choix relevaient d'un «refus de l'immobilisme» en matière de création. Au sujet de la place des femmes dans la culture, elle avait réfuté toute accusation de «décision mécanique», tout en défendant une forme de «volontarisme» qui doit exiger la parité dans les jurys de nomination et les listes de candidatures. «Les femmes sont, à chaque appel à candidatures, plus nombreuses à se présenter. Un verrou est tombé», s'était-elle félicitée. Outre la nomination de Sophie Makariou, la ministre de la Culture avait annoncé entre autre l'arrivée de Catherine Dan à la tête du Centre international de recherche, de création et d'animation (Circa) et la reconduction de Julie Brochen à la direction du Théâtre national de Strasbourg.



«La parité, si elle a un sens en effet pour ce qui concerne la direction administrative, n’en a plus aucun dès qu’il s’agit d’art», lui avait rétorqué le comédien Philippe Caubère dans une tribune publiée dans Libération, ne voyant dans ce volontarisme nouveau qu'un «masque de la diminution des crédits à la culture» et fustigeant «les leçons de morale des socialistes».



Ce sont ces mots en particulier qui ont suscité un «sentiment de révolte» chez la ministre Najat Vallaud-Belkacem. «88% des centres dramatiques nationaux sont dirigés par des hommes», a-t-elle rapellé dans Libération, soulignant que «rien ne justifie que l'égalité professionnelle s'arrête au seuil des théâtres ou des salles de musique».   http://www.daniel-chaize.com/culture-a-montreuil/theatre-et-politique-effets-miroirs-1573

Ce que j'en pense c'est que le talent c'est un critère tellement subjectif et hypocrite que sans être ni aigrie ni régressive ni nostalgique, ce n'est pas le seul critère de choix


Ce que j'en pense c'est qu'il faut se cacher derrière l'avis de personne. Il y a trop de respect et de frilosité de genres de guerres d'écoles mais en même temps il faut absolument une exigence des bouleversements et s'atteler aux dérangeants révoltants spectacles mélanges d'émotions RDV de tous les arts novations ,de fureur, de sacrificiel et de faux sang. J'ai lu, toujours dans erri de Luca ,son dernier livre, Les poissons ne ferment pas les yeux, qu'il préférait la lecture au cinéma, car on faisait toujours un film d'après un livre... oui mais aussi d'après une pièce de théâtre... Le théâtre est un art premier pour moi plus que le cinéma on y sent la main la chair et l'âme proche de soi... c'est un art réceptacle aussi, visionnaire pas tant que l'écrit ou le peint... quoique déclencheur de bien des lévitations, autant que de détestations.

Tout a déjà été dit mais dans le théâtre la part affective brouille tout et sublime tout...

La cage dorée : film délicat....

Entre aller dîner dans une loge de gardienne ou  dans un hôtel 5 étoiles, relais château, que préfériez-vous ? pour moi le choix est simple.
c'est un film délicat qui nous fait rire mais qui aligne sans mièvrerie, les humiliations, les indignités subies par un couple de français... d'origine portugaise et comme nul n'est parfait il y a là-dessous le tissu affectif qui s'y colle dans l'ignorance de la cohabitation et puis... il y a beaucoup plus tard la reconnaissance, la complicité et la part égale du vivre ensemble entre proprios syndic et gardiennes entre ouvrier maçon (qui ne se prendra jamais pour un artiste) et patrons.
à la fin il y a même la participation d'un sacré footballeur portugais : Mario Panetta
ce film je ne l'oublierai jamais car en fait j'ai toujours eu dans ma vie des anges d'amies, des collègues portugaises un temps et puis elle repartent comme elles sont venues...
Terminé : je ferais qu'elles restent.
J'ai pu quitter plus tôt alors j'ai choisi au ciné Charlie Chaplin ce film là, que je voulais voir depuis longtemps.... petite fille unique j'ai passé mes plus belles heures mi-journées dans la loge si pleine de vie et d'enfants chez les parents d'une de mes meilleures complices de jeu : Joëlle elle blonde espagnole et sa petite soeur Martine.

lundi 12 août 2013

Ciné-Théâtre CHAPLIN SAINT LAMBERT/Lecture Erri de Luca : Les poissons ne ferment pas les yeux.


http://www.lescinemaschaplin.fr/ C'est un bel endroit d'accueil de recueil et d'élan, une trentaine de films proposés par semaine.
Hier soir j'y ai vu Frances Ha et j'ai beaucoup aimé, le film, la photo, les personnages ; la vie semble plus légère et dans un certain sens, rire de toutes les difficultés. Une journée où l'on ne danse pas est une journée de perdue. Si vous n'en avez-pas l'occasion dansez vos pas dans la contre allée.

Les poissons ne ferment pas les yeux : Un livre qui me murmure des contes pour adultes, que je n'ai pas envie de finir du tout qui m'étreint avec délicatesse sans m'étouffer. Le personnage du narrateur, arrivé à l'âge d'archive me reprend la main sans la presser.
"J'aime les animaux ils nous connaissent et nous ne savons rien d'eux. Il y avait une fermeté que j'ai retrouvé dans la voix des aveugles.(...) Elle entend aussi avec les yeux."
MERCI, erri De Luca, je crois que je vais apprendre à nager pour aller moi aussi repêcher mon corps d'enfant de 10 ans, celui de tous les possibles, qui sait, laissé à l'abandon.

vendredi 9 août 2013

mes blogs préférés parlent du Lucernaire : Huis clos et de théâtre par le plasticien Vincent Debats : l'enfant aux cheveux blancs



Allegro Théâtre



samedi 13 juillet 2013

Huis clos de Jean-Paul Sartre

Relégué au purgatoire depuis quantité d'années le théâtre de Sartre n'est pas aussi daté qu'on le prétend. Même si certaines de ses pièces telles que La putain respectueuse ou Morts sans sépulture pèchent par un manichéisme exaspérant. Il en va tout autrement de Huis clos où un homme et deux femmes se retrouvent après leur mort dans une chambre surchauffée où ils ne tardent pas à se prendre de bec. Le climat d'inimitié qui règne entre eux se détériore davantage encore quand chacun aura vidé son sac et offrira aux deux autres une image peu flatteuse de sa personne. Ils en arrivent vite à constater que s'ils se trouvent réunis c'est qu'ils possèdent la faculté d'être les tourmenteurs les uns des autres.



Qui ne se souvient de la phrase "L'enfer c'est les autres"? Elle n'est pourtant guère généralisable. Les trois quidams contraints de partager un lieu à la physionomie accablante ont été choisies car elles n'ont aucune affinités. Ils serait donc plus judicieux de dire que l'enfer c'est le défilé morne et sans fin des heures. Agathe Alexis, qui joue la lesbienne à la verve assassine, a ordonné une mise en scène qui met le texte sous tension. L'excellence des acteurs est pour beaucoup dans la réussite de la représentation. Bruno Boulzaguet, le seul qui n'a pas attenté à la vie de quiconque a la partition la plus difficile. Mais son personnage nous est rapidement d'une inquiétante familarité.



Un spectacle qui en cette période de programmation chétive vaut la découverte.



Jusqu'au 31 août Le Lucernaire tel 01 45 44 57 34

Publié par Joshka Schidlow à 10:58

Aucun commentaire:

http://vincentdebats.blogspot.fr/2013/08/lenfant-aux-cheveux-blancs.html#!/2013/08/lenfant-aux-cheveux-blancs.html

L'enfant aux cheveux blancs

Voici, en exclusivité, quelques dessins qui accompagneront la prochaine pièce de Dominique Richard "L'enfant aux cheveux blancs" qui sera disponible en 2014 aux Editions Théâtrales Jeunesse.

Laissez nous vos commentaires et avis...

Vincent
Publié il y a 3 hours ago par Collectif RÂ / théâtre en chemin...


un endroit où aller cet été le LUCERNAIRE : Voir et revoir du théâtre, du Ciné, une expo interplanétaire, Manger Boire un petit café et rêver en feuilletant les bouquins... Le baladeur sur la plage du 7/9 à France-Inter/ un bar à chat en Septembre après Vienne à Paris.





Hier on est allés au Lucernaire voir Coco perdu. Il n'y avait pas grand monde dans l'ensemble au Lucernaire,, mais le bateau n'est pas en rade tout était bien en état de marche et surtout c'était très agréable... de la place même pour s'asseoir en attendant de monter au Paradis. J'ai aimé cette adaptation, même si c'est très compliqué à jouer et très simple un peu comme du Duras essoré,
en genre masculin. On était 4, 3 ont aimé, dont les 2 mecs. La nouvelle carte du restau est bonne à l'unisson 3 étoiles sur 4. Comme, j'ai écrit aux amis pour les remercier. C'est un lieu où la félicité plane, quand on revient de vacances on est
délicat.
Grâce à cette soirée je n'accuse plus le coup retour à la case boulot, quotidien, so bad...  Et aussi grâce à l'expo,on se sent comme sur une autre planète, "sur la plus belle planète dans la plus belle ville avec le théâtre le plus réconfortant, comment dire on retrouve le goût d'être heureux.
Hier on est allés au Lucernaire voir Coco perdu. Il n'y avait pas grand monde dans l'ensemble au Lucer mais le bateau n'est pas en rade tout était bien en état de marche et surtout c'était très agréable... de la place même pour s'asseoir en attendant de monter au Paradis. j'ai aimé cette adaptation, même si c'est très compliqué à jouer et très simple un peu comme du Duras essoré,en genre masculin. On était 4, 3 ont aimé, dont les 2 mecs. Nous étions avec la libraire Anne et son mari. La nouvelle carte du restau est bonne à l'unisson.


http://www.lucernaire.fr/beta1/index.php?option=com_content&task=blogcategory&id=13&Itemid=52   Ah ! dans le même sens je voulais signaler aussi une émission la semaine le matin sur France-Inter la plage (aussi) du 7/9 le baladeur. Hier c'était un chauffeur de taxi et ce matin un monsieur élégant de 70 ans, le but c'est aussi un petit voyage grâce à la musique de gens bien ordinaires.    
http://www.franceinter.fr/emission-le-baladeur

Ah ! j'ai aussi une autre nouvelle qui m'a faite sourire et qui serait de bon ton au Lucernaire, un bar à chats....

http://www.metronews.fr/paris/le-premier-bar-a-chats-va-ouvrir-a-paris/mmfo!bUeddAI2xn4U/

http://www.eurothai.fr/categorie-12525566.html
Café des chats devrait ouvrir à la rentrée, dans le 3e ou le 4e arrondissement. La "ronron thérapie" serait bonne pour la santé, selon certains spécialistes : le ronronnement du chat apaise, et pourrait aider à soigner l'insomnie, l'anxiété ou le stress. Les Parisiens pourront bientôt le vérifier, qu'ils hébergent ou non une boule de poils sous leur toit : le premier "bar à chats" de France devrait ouvrir en septembre dans le quartier du Marais.




Un café, un chat et l'addition



Un bar à chats, c'est quoi ? Il s'agit d'un salon de thé où les clients peuvent venir déguster une boisson ou une tarte, tout en caressant un chat. Le concept vient du Japon mais a déjà a déjà été adopté ailleurs, puisqu'il y en a "une quinzaine en Europe, notamment à Saint-Petersbourg, Vienne et Budapest", selon Margaux Gandelon, à l'initiative du projet.



Elle a récolté une partie des fonds nécessaires à l'ouverture de son bar à chats, soit 40.000 euros, via la participation des internautes sur un site de crowdfunding. Le reste est financé par plusieurs associés, dont un vétérinaire. "Ce sera d'abord un salon de thé classique, zen et convivial. Mais il y aura en plus 8 à 12 chats, selon la taille du local que nous trouverons".



Le bien-être des chats en question



Sur les 600 contributeurs ayant participé au financement du Café des chats, Margaux Gandelon remarque que "certains veulent retrouver la même ambiance que chez eux, mais il y a aussi de nombreuses personnes qui n'ont pas de chat chez elles et sont heureuses de pouvoir en côtoyer dans un lieu conçu exprès pour cela".



Du côté des défenseurs des animaux, certains sont sceptiques. "Ce qui me gêne dans la démarche c'est que l'animal soit relégué au rang de peluche. Les chats n'ont pas forcément envie d'être tripotés par les clients d'un bar", explique Christophe Marie, de la Fondation Bardot, à l'AFP.



"Je comprends les interrogations que peut soulever ce projet, mais j'invite les sceptiques à venir visiter le café lorsqu'il sera ouvert. Il est conçu autour du confort des chats avant tout", insiste Margaux Gandelon. Les matous disposeront de salles de repos spéciales. Et dans l'espace qu'ils partageront avec les clients, "ils pourront grimper sur des espaces en hauteur, hors de portées es humains".


je me dis qu'ils devraient faire cela au bar du Lucernaire  : un bar à chats... je veux bien m'en occuper, des chats, s'il y a besoin de bénévoles, je m'entends bien avec eux et aussi avec les chiens et les gens...

samedi 3 août 2013

Hier dernier jour pour nous mais ce soir une supplémentaire du Récital emphatique de Michel Fau.

http://m.culturebox.francetvinfo.fr/a-figeac-michel-fau-joue-les-divas-dans-son-recital-emphatique-140011
En raison du succès ne le ratez pas c'est..Il y a une représentation supplémentaire en raison de son succès à 20 h ce soir salle Baléne à Figeac. Si vous passez par là, ne ratez pas ce moment où toutes les limites du chant, du jeu, du rire sont dépassées ; l'époque, le style, le parti-pris, la vérité du jeu (s'il y en a une sont ailleurs). On devrait tous se balader avec un teeshirt noir avec écrit dessus : Michel Fau : no limit no future no Time... quand aux classes sociales....... Michel Fau c'est une sorte de louvoiement entre les divas du passé, des ruptures de jeu comme tous les grands acteurs : Pierre Brasseur, Jacqueline Maillan, Gérard Depardieu -j'ai revu Le dernier métro et vu en entier : Entrée des artistes, Les anglaises et le continent) c'est cela de retourner chez soi avec la télé pour écoper le quotidien- et une singularité de fond à la  Jouvet, Jean-Pierre Léaud



mais revenons au Festival de Figeac, après Le Récital, j'ai vu une pièce si rare de Camus :
Le Malentendu avec Francine Bergé qui crie sans le son comme le tableau de Munch : le cri et avec de très bons acteurs dont Éric Perez qui ne chante pas mais là joue seulement  ! le retour du Fils prodigue à l'auberge Rouge...La pièce dit tout de la différence entre la relation mère fille et la relation mère fils. Le Malentendu entre parents et enfants est une tragédie de tous les temps intimiste... Les aveugles ne sont pas ceux qu'on croit. L'amour rend infiniment sensible et visionnaire.
 La mise en scène d'Olivier Desbordes est comme dans un tableau de Hopper comme dans le roman de Camus comme indifférente aux personnages
elle ne digère pas pour nous la solitude de chaque homme femme : Étranger à lui-même. Je n'ai pas su le remercier, ni l'aller voir. Cette pièce me met la tête a l'envers ( donc la photo...), c'est comme cela...
 Olivier Desbordes, présent à chaque représentation , disponible avec tous...




Malgré la fin de nos vacances, après Figeac => Saint-Céré (soutenu par avant tout les bénévoles qui bossent tant pour arriver aussi à ce résultat : accueil dégustations accompagnement )que de communions jeux chants musiques et chansons esprit rires de quoi alléger la lourdeur ambiante ( Ex : la belle de Cadix créé en 2010 que nous avions vu alors et tant aimé toute la dérision fantaisie )
Centre National de Production de Théâtre et Théâtre Musical - Figeac / Saint-Céré
Soutenu aussi par France-Inter j'ai entendu ce matin...
http://festival-saint-cere.com/
DU 1 AU 17 AOÛT 2013 À SAINT-CÉRÉ
Les traditions du festival de Saint-Céré sont vivantes, tournées vers l’avenir avec la découverte de jeunes talents pour lesquels Éric Perez a imaginé un Don Juan de Mozart, tandis que nous présentons une reprise d’Un Train pour Johannesburg le nouveau nom de Lost in the Stars suggéré par les ayants droits de Kurt Weill pour mieux revendiquer la version française. Ce train pour Johannesbourg nous le proposons au château de Castelnau pour affirmer haut et fort ce chant d’amour pour l’humanité, une Belle de Cadix pleine de santé et d’humour pour égayer nos horizons, mais aussi des nouveaux artistes amis comme la Camera delle Lacrime et la palestinienne Kamilya Jubran, le saxo de Jean-Marc Padovani qui s’accapare le Chant de la Terre de Déodat de Séverac dans une version jazz, un hymne à Piaf, des chants des libertés arabes, les Sept Dernières Paroles du Christ, le Stabat Mater de Boccherini etc…
Un foisonnement d’énergies musicales au service du rapport exceptionnel que nous entretenons avec vous depuis des années…

En un mot partager avec le bouillonnement de nos propositions et de créations : des chants de libertés perdus sous les étoiles, des libertés de tons qui font de ce patchwork musical une chaîne d’amitiés entre les artistes et le public, une joie sincère et lucide.
Après avoir traversé le département du Lot (le Grand Cahors, Saint-Céré, Bretenoux, Beaulieu, Montal, Carennac, Tulle, Curemonte…) le théâtre musical et la musique que nous « fabriquons » avec tous les artistes et partageons avec vous l’été, partiront ensuite sur les routes de France.

Festival de Saint-Céré
www.festival-saint-cere.com
Un site utilisant Réseau Opéra éclaté



 la photo du soleil a comme déteint dégueuloir de soleil matin....
 notre minette plus belle que jamais plus expressive dans le soleil, elle aussi
 soirée de pleine lune à SARLAT
 le petit train de Figeac qui nous conduit de la salle Balène au Théâtre démontable  : heureux après avoir vu le Récital, ceux de l'arrière plan semblent un peu figés...
 la salle attend
et nous aussi le Malentendu, merci, aux personne qui derrière font coucou....
 
Et maintenant, nous avions déjà vu, les précédentes années  : Lost in the Stars et la Belle de Cadix et donc à Figeac la 1ère du spectacle sur Piaf et j'espère bien voir le Don Juan, quand il se produira à l'Opéra de Massy en mars 2014 

vendredi 2 août 2013

Brand, d'après Ibsen l'échappée est belle dans une mise en scène de Benjamin Moreau.

C'est très dépouillé quand on regarde à la loupe les utilités les théologies pardon ! les idéologies, les utopies ; qui est le plus miroitant, mirifique, pour refléter notre époque Brand ou le Bailli ? Quelle pilule doit-on faire avaler au peuple en lui mitonnant des spectacles.... Quelle belle mise en scène accessible, quelle qualité d'interprétation, comme dit mon ami enthousiaste, à la sortie on se sent quand même un petit peu plus lucide et aussi on a bien ri, sans cynisme.
Quel millésime malgré notre grande absente : Bernadette Lafont et maintenant arrive dans la programmation Michel Galabru pour les Lettres de Mon Moulin mais voilà nos vacances sont finies....


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jeudi 1 août 2013

Les Fables de la Fontaine par Benjamin Lazar et Louise Moaty salle Baléne au festival de Figeac : 4 étoiles et une nouvelle lune....

Festival de Figeac : ça continue, mais c'était déjà avant hier soir, les fables de la Fontaine par Benjamin Lazar interprété et mis en scéne avec une autre comédienne Louise Moaty chanteuse mime danseuse improvisatrice. Tous deux -habillés en noir ayant travaillé la langue semblent nous rafraîchir, nous rêver peut-être, nous transporter dans les fables de la Fontaine. Ce travail sur la langue : le vieux français nous rend comme à une enfance animale universelle mais au son d'une sorte de gros luth : le théorbe, et a la lumière des bougies et encore plus drôles que drôles par moments car ça leur donne comme un soupçon de parler québécois... ils sont atteints par la grâce et un long temps encore après on a envie de faire comme eux. Le choix des fables et fin et délicat. On s'y mire comme dans une eau claire bien loin des moutures célèbres par des comédiens cabotins qui s'en sont fait, pour aussi notre plaisir, un peu comme les seuls héritiers de l'auteur fabuliste : Hirsch, Lucchini...  
http://www.theatre-cornouaille.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=617&Itemid=59


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