mercredi 27 novembre 2013

Les messages se perdent et j'en suis marrie : Bengui au parlement européen/ Macbeth à Châlons en Champagne à la Comète/ Sylvie Serprix et Marie-Sabine Roger : Tout blanc et De ce côté du monde/ Festival : Mettre en scène

 sur la photo : un sosie  de Bengui à la fin de quel match ?
Bengui son dernier film en particulier, un devoir de citoyenneté européenne, voilà je voulais vous en donner le lien mais j'avais écrit autre chose hier sur ma tablette et aucun enregistrement n'est resté : 2 choses quelle est l'autre ? les manipulations multiples me dispersent. Ce film je l'aime d'autant que je considère son sujet casse gueule... mais Bengui est un "léger pour porter les lourds".

Que voulais-je raconter encore : Sylvie Serprix cette illustratrice de toute sensibilité et délicatesse du trait, son choix des couleurs, j'aime beaucoup son dernier livre ! Tout blanc. L'histoire est de Marie-Sabine Roger une histoire si simple, et si belle qui m'a toute réchauffée. Regarder les images et entendre un poème.

Rien d'autre de ce week-end.... Son autre livre : De ce côté du monde


De ce côté du monde

Gencod
9782203041226
Prix éditeur : 13.95 €    Prix : 13.25 €
livraison sous 8 jours

Voici deux histoires en une - ou une histoire en deux, comme on veut - de part et d'autre de cet endroit que l'on appelle le monde. De ce côté-ci du monde, où il ne fait pas chaud, « un enfant de lait tiède » vient chaque matin se poster sur la rampe du pont, ses yeux d'azur fixés sur les cargos en partance pour le grand ailleurs, en rêvant à des voyages lointains. Et il fabrique des avions de papier, qu'il lance dans la brise du soir - loin. Pendant ce temps, de ce côté-là du monde, où il ne fait pas froid, « une enfant de safran » aux longs cheveux noirs vient le matin se poster sur la plage, jusqu'au soir. À l'ombre sous les arbres, elle tend son visage de soie vers le grand dehors, et lâche sur l'onde de petits bateaux d'osier de sa confection, qu'elle regarde disparaître sous l'horizon - loin. Que croyez-vous qu'il arriva ? Les avions de papier et les bateaux d'osier firent ce que font les avions et les bateaux du monde entier : ils sont allés jusqu'à l'autre côté du monde...
mais ce n'était pas cela...

Je devrais accepter ces détachements, le mois de décembre me fait mal au cœur. Pourquoi ? l'hiver, le froid est-il lourd ou léger ?.
-ça y est Macbeth, ma pièce préférée de W. Shakespeare se joue ce soir encore à la Comète : scène nationale de Châlons en Champagne
avec tant d'amis artistes que j'admire et que j'aime
j'avais oublié pour mieux retrouver...
Festival : Mettre en scène sur Allegro blog

lundi 25 novembre 2013

Yerma Frida Kahlo et moi....

http://allegrotheatre.blogspot.fr/2013/11/yerma-de-federico-garcia-lorca_22.html
http://www.top-bb.fr/theatre-de-louest-parisien-calendrier/spectacle/2013-11/41-yerma.html
L'art en fusion.
http://www.musee-orangerie.fr/homes/home_id25240_u1l2.htm

Nul ne croit possible que la veille de sa mort en ayant passé les 2/3 de sa vie dans des hôpitaux elle ait pu écrire "gracias a la vida" elle fut la femme d'un éléphant et la maîtresse de Trotsky elle a envoyé s/les roses : Breton et les critères d'appartenance au surréalisme...




 
 Mon tableau préféré  : le masque de la folie.

 




Celui-ci est bien-sûr flou il faut se dissimuler dans le flot de la foule il s'appelle : quelques petits coups de pique, allez-le voir sur place... c'est à l'origine un fait divers de l'époque un mari malintentionné..... il y a un autre tableau extraordinaire qu'on aurait du mettre dans MANGER, trop maigre Frida Kahlo, on la forçait à manger pendant ses longs séjours hospitaliers et comme son mari la trompait il t a une analogie avec ce que son mari Diego Rivera peut lui raconter pour excuser toutes ses incartades, les couleuvres qu'il lui fait avaler...

Pardon pour la faible vérité de ces reproductions, il faut aller à la rencontre véritable des œuvres et de leurs peintres. Et se lever jusqu'à traverser l'hiver pour l'Orangerie. Ensuite voyager jusqu'au Mexique...
je n'ai pas parlé de son mari, ce n'est pourtant pas qu'un pachyderme ; un grand admirateur de Cézanne à la base et un mexicain révolutionnaire aussi, mais ses peintures il les a produites qu'en grand format... pour conter en fresque pour géant la nouvelle histoire du Mexique, et les fresques ,pour s'en impressionner m'a bien confirmé,

une jeune femme qui y était allé au Mexique, il faut les voir sur place....


Et une photo que j'aime bien où je suis avec Philippe à l'occasion de sa pièce... montée.


samedi 23 novembre 2013

Hommage Georges Lautner /

Je sais pas quoi écrire car j'ai mis du temps à apprendre à rigoler, mais si j'ai commencé à être plus libre c'est bien là,  quand on m'a fait découvrir le Louis de Funès(Michel Fau) les Tontons Flingueurs(Philippe Person /Christian Jacqueline Bruno) les anglais : Monthy Python (Pascal)les belges : Franquin(moi seule)  Hergé je connaissais mais j'avais besoin d'une 2 ème lecture à deux...
Georges Lautner est mort... c'est pas drôle
mais c'est pas triste non plus....car quand on a pas l'occasion de rigoler on a la tête aux bêtises.
Et puis pour ceux qui n'osent pas sous prétexte que tout le monde aime... ça.
premièrement "les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnais...."
et "Quand on mettra les cons sur orbite, toi, t'as pas fini de tourner" 

EN CONSTRUCTION

vendredi 22 novembre 2013

Ados en scène : éditions l'Agapante/ France 3 : Julien Clerc chez Mireille Dumas/ 7/9 france Inter avec BL et St ÉTIENNE/ Les garçons, Guillaume à table / Maupassant(es) : "souffrir par toi n'est pas souffrir" "je veux vivre encore" JC ET BL

http://editions-agapante.com/ados-en-scene-1.html
des textes de théâtre pour mettre la vie en scène des ados et des autres...
"....J'ai 20 ans
Je regarde par dessus  mon épaule pour jeter un œil à mes premières années
je ne vois rien d'intéressant
je me demande où ont filé toutes ces années
je cherche à comprendre pourquoi je suis là
                                                                      et surtout où je vais
parce que si les 20 prochaines années ressemblent à celles qui viennent de s'écouler
                                                                        je ne signe pas."
et bien moi je signe pour elle, ce monologue s'appelle : Comme au cinéma il est de Fanny Gaëlle Gentet

SOUFFRIR PAR TOI N'EST PAS SOUFFRIR  - Julien Clerc 
Paroles et musique : Étienne Roda-Gil, Julien Clerc
Tonalité :     C    |    C#    |    D    |    D#    |    E    |    F    |    F#    |    G    |    G#    |    A    |    A#    |    B    |    C

 Intro : F   F/E  | Dm7   F/E


 F          F/E        Dm7       F/E
 Si un jour tu veux revenir
 F                 F/E                Dm7
 Sans mots, sans pleurs, sans même sourire
 Am                          Bb6
 Négligemment et sans te retenir
 Gm           C             F     F/E    Dm7    F/E
 Sans farder du passé tout l'avenir...
 F             F/E           Dm7       F/E
 Le soir quand je te vois sourire
 F            F/E                 Dm7
 Sur cette photo qui ne veut rien dire
 Am                                Bb6
 Sous ta vieille lampe qui tremble et chavire
 Gm           C             F
 Tu viens grimacer dans mes souvenirs
 F/E        Dm7
 Maintenant, comme avant
 Gm       Em7/5b      C7/9         C7       F
 Doucement, sans pâlir, sans mentir, sans souffrir...
           C
 Aujourd'hui, je te dis:


 Souffrir par toi n'est pas souffrir,
 C'est comme mourir ou bien faire rire
 C'est s'éloigner du monde des vivants
 Dans la forêt, voir l'arbre mort seulement
 Comme un jour tu viendras sûrement
 Dans ce salon qui perd son temps,
 Ne parlons plus jamais de nos déserts
 Et si tu restes je mets le couvert
 Maintenant, comme avant,

 Doucement, sans pâlir, sans mentir, sans souffrir
 Aujourd'hui, je te dis :

 Tous les voyages ne veulent rien dire
 Je sais des choses qui te feraient rire
 Moi qui entassais des souvenirs par paresse
 Ce sont tes vieux chandails que je caresse
 Maintenant, comme avant,


 Gm       Em7/5b      C7/9         C7       F
 Doucement, restons-en au présent pour la vie,
          C
 Aujourd'hui, reste                      ici
   F          F/E        Dm7       F/E

BERNARD LAVILLIERS AU 7/9 AVEC ST ÉTIENNE sur France-Inter



et donc France 3 : Mireille Dumas
Laurent Gerra et Julien Clerc en toute vérité
SYNOPSIS DE L'ÉMISSION

Laurent Gerra et Julien Clerc, deux personnalités en apparence très différentes, s'illustrent avec brio dans leurs domaines respectifs. Les deux artistes se vouent une admiration mutuelle et se retrouvent souvent entre amis le temps d'une chanson. Le premier, tonton flingueur de la politique, est devenu en 20 ans l'imitateur préféré des Français. En 45 ans de carrière, le second a enchaîné les succès, de «Ma préférence» à «Femmes je vous aime». Ils ont pour point commun de se donner entièrement à leur public mais d'être très réservés. Julien Clerc a eu cinq enfants, avec trois femmes différentes. Laurent Gerra n'a pas d'enfants et affirme que la scène est sa principale maîtresse. Ils reviennent sans fard sur les moments forts de leur vie et de leurs carrières.

pour toutes les femmes allez voir Maupassant(es) au Lucernaire
car l'amour même s'il finit, il peut recommencer toujours et ne s'arrête qu'avec l'amour...
pour tous les hommes allez voir Les garçons, Guillaume à table , que je n'ai pas encore vu mais je suis sûre presque... que cela va me plaire fort... je vous dis demain
-parce que ?
-quand le théâtre fait son cinéma.... et puis c'est un acteur généreux de radio aussi...
en construction

mercredi 20 novembre 2013

La cantine là ou s'arrête la haine, le foot là ou tout est possible quelqu'on soit


C'est la cantine de mon entreprise, j'ai toujours aimé les cantines, là où,  on rencontre les autres... C'est une vieille histoire que de savoir être gentille avec tous et surtout les dames de services, elles avaient été dire a ma mère : que je mangeais bien et très proprement, elles me souriaient et aimaient les enfants. Pour moi manger avec les autres, c'était un bonheur, un spectacle toujours neuf et qui sentait bon éveillait l'appétit,  parce qu'à la cantine non seulement le monde bougeait mais il y avait plein d'enfants des amis des frères des sœurs possibles. Comme dans les loges dans une troupe pour un spectacle. Là où la haine pour moi, rend enfin les armes, se tapit sous la table comme dit si bien Charles Baudelaire. 
Baudelaire était comme Maupassant un amoureux des filles de joies, des putains, des prostituées, des femmes de petite vertu.  Comme le manger, le jeu du théâtre et l'amour...
Pourquoi tant de haine, la haine rend con, quelque soit la douleur passée ... la vengeance en est son émulsion sa pathologie. 
Mais pourtant le crime innommé le harcèlement, l'injustice !  Ils doivent être désignés, énoncés, avant que d'être pardonnés pour ne plus jamais que ça  recommence : le lynchage, la terreur, l'autoritarisme.... contre l'inconnu. Car ça veut dire quoi de condamner le ROM le chien le solitaire le différent le gros le damné le libertin l'handicapé le fou la pétasse la traîtresse le timide celui qui a du mal à s'exprimer.
Quand on se querelle fort au theatre d'entreprise pardon au restaurant un des deux partis pris se tait d'en va rend les armes et offre après sa bouteiile...

J'écoute France-Inter et donc notre 7/9 cette semaine est redevenu "inoubliable". Guillaume Galienne l'équipe de France détestée ce matin encensée car au foot tous les défis sont à relever et tout le monde peut se ré-dépasser
Comme sur scène être heureux autant que malheureux et l'ardoise magique efface le contentieux : 3 à 0...et puis tout le monde en parle... Jusque dans les rues le métro c'est pour cela que j'aime intensément le théâtre et aussi le foot malgré tous les abus les mafias le fric... Car les naïfs ont une chance et y sont heureux comme ces jeunes papas rencontrés dans le RER avec chacun un bout de chou de 4 ans maquillé en bleu blanc rouge.... Ça lave d'autres insultes... Et les "girouettes" vont devoir faire nuit blanche.... 


dimanche 17 novembre 2013

Mon bel ami Christian Jannot acteur velouté... Ah Annabelle de Catherine Anne

des messages de FB

Compagnie de l'Arbre Souffleur
J’aime · 12 novembre

Nous aimerions vous comptez parmi nos spectacteurs ... !!

Choisissez votre date entre le
mercredi 27, jeudi 28, vendredi 29, samedi 30 novembre à 19h30
dimanche 1er décembre à 15h30
mercredi 4, jeudi 5, vendredi 6, samedi 7 décembre à 19h30 dimanche 8 décembre à 15h30

RESERVEZ sur compagniedelarbresouffleur@gmail.com ou sur billetréduc ...

Compagnie de l'Arbre Souffleur
J’aime · 12 novembre

Nous aimerions vous comptez parmi nos spect acteurs ... !!

Choisissez votre date entre le
mercredi 27, jeudi 28, vendredi 29, samedi 30 novembre à 19h30
dimanche 1er décembre à 15h30
mercredi 4, jeudi 5, vendredi 6, samedi 7 décembre à 19h30 dimanche 8 décembre à 15h30

RESERVEZ sur compagniedelarbresouffleur@gmail.com ou sur billetréduc ...
 (la répétition, c'est le secret, de la réussite....)

Compagnie de l'Arbre Souffleur : Réserver sur compagniedelarbresouffleur@gmail.com avec votre nom et la date et le nombre de place et votre situation si chômeur, étudiants ou enfants. Ou réserver sur billet réduc en tapant Ah ! Anabelle au Proscenium. Le lien est mis sur le Facebook de la Compagnie



Je reviens je suis revenue c'est du théâtre allègre, intègre, vif, gai, bien interprété et mis en scène, c'est pour tous les âges, là c'est fini mais ce n'est jamais fini, cela peut se reprendre du nord au sud comme une trainée de poudre... Nous étions 4 et les 4 ont aimé... certains très in-habitués du théâtre....
les critiques laissées sur le site
Nathpasse
Ah ! oui pour ce trio glamour
8/10

au début on est baladé comme dans un début de film, de pièce de théâtre très drôle et puis on bascule comme dans un livre de contes à l'origine pour adultes et aussi un rythme à la Feydeau, pourquoi pas, c'est hors références, on ne s'ennuie pas une seconde on est séduit par les 3 acteurs. Bravo,j'ai passé une excellente soirée... j'avais pas envie que ça finisse, Anabelle où es-tu, ce matin....

François68
-Un conte moderne à l'humour noir et léger pour adultes et enfants
9/10

La mise en scène est efficace et met en valeur le jeu des trois acteurs. Ania Rubaieva, Anne Rodier et Christian Jannot jouent vraiment très bien et savent donner le ton juste à cette comédie menée sur un rythme soutenu et à laquelle il ne faut pas hésiter à emmener des enfants. Les situations, et notamment des clins d'oeil à Cendrillon (deux sœurs jalouses d'une 3ème) et à Barbe Bleue (vous verrez pourquoi) en font en effet un spectacle familial, dans lequel les jeux de mots sont nombreux. Mais j'insisterai aussi (surtout ?)sur le charme un peu trouble que dégagent Agathe et Anastasie, sœurs faussement souillons mais vraiment sensuelles, avec lesquelles on passerait volontiers la soirée ... à nos risques et périls ! Les costumes complètent utilement le tableau pour nous mettre dans l'ambiance de ce conte moderne à l'humour noir joué sur un ton léger.
et j'ai écrit sur FB pour le comédien que je connais :
La derniere de ah! anabelle...tout a l heure a 15h30...sniffff
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Virginie K, Chris DeParis et 6 autres personnes aiment ça.

Nathalie Feyt ne pas pleurer pas toi, tu es heureux et tu sais le partager avec le public et cela ne te quittera jamais, et puis une de perdues, dix de retrouvées.... Bravo encore pour toi et les 2 comédiennes, j'ai aimé et partagé une de ces séances de spiritisme qu'on appelle une représentation et puis j'ai des espions dans la salle pour cette dernière.
il y a 22 heures via mobile · J’aime · 1
et les espions hier dimanche 9 déc à 15h30 étaient très contents...

Bruno Sermonne est mort : Oraison et dialogue pour lui d'Olivier Py et avec et grâce à Bruno Blairet/ Eclectik : Étienne Daho/ Denis Dailleux : photo expo/ fait divers : jugement / voyage en Inde de trois amis, l'Afrique par deux pigeons... / Heinmat : 1ère partie vue à l'Arlequin / la fin de Dexter et si c'était Debra L'héroïne

-on pourrait écrire une pièce ou un roman sur cette femme là... un film avec Yolande Moreau ?
-mais c'est un monstre ?
-justement....
http://www.leprogres.fr/fr/images/E58437DE-2CCB-48D7-8CF0-D09713E90611/LPR_03/dessin-benoit-peyrucq-afp.jpg
Bruno Sermonne est mort...

Il m'a toujours tenu compagnie,  sa voix pour moi : c'était le lyrisme, il marchait avec ses bras comme certaines statues semblent le faire dès qu'on leur tourne le dos....
son sourire était enjôleur et nous permettait de nous raconter des histoires d'amour à nous les filles. 
Avec Olivier Py avec Michel Fau....
Il avait un cou de minotaure pour donner son à toutes les obscurités les rires autant que les poésies des chants d'oiseau il sautait à cloche pied du Soulier de satin à Britannicus.
C'était un acteur beaucoup plus large et fascinant qu'Alain Cuny même s'il avait comme un  timbre de cette même famille.

Voici l'oraison funèbre à Bruno Sermonne précédée de notre dialogue la veille de sa mort.
Olivier Py grâce à Bruno Blairet, un autre léger...
C'est un dialogue entre les 2 : le Sermonne et le Py, c'est plus qu'une pièce, un dialogue... c'est un au revoir à la vie : à lire et à relire autant de fois qu'on regrette quelque chose ou quelqu'un dans la vie...., de préférence à haute voix s'il traine dans les limbes...

LUI: J'aurais voulu mourir dans ma cabane pimpante mais ça aussi m'a été enlevé. Il faut bien finir, il faut finir bien. Il faut faire avec les vagues.

MOI: Tu as fait du surf ?

LUI: Non je n'aime pas le surf, j'étais trop lourd, je suis allé trop profond. J'aurais voulu être léger comme toi.

MOI: Il faut des légers pour porter les lourds.

LUI: Nous sommes dans un temps où les hommes ne savent plus lutter pour leur gloire.

MOI: Une vie héroïque?

LUI: Il n'y en a pas d'autre. La gloire ce n'est pas juste une plume au chapeau. C'est notre véritable virilité. Rien n'est plus triste qu'un peintre raté...qui attendait une gloire.
MOI: Cette gloire nous l'avons eue comme des acteurs, pendant une heure.

LUI: Elle était vraie
***********************************

Le théâtre comme combat spirituel et non pas comme alibi culturel, nous a conduits à cette extrémité du siècle, dans l’inquiétude, dans une inquiétude voisine de la grâce.
Il était venu donner à notre génération les outils nécessaires de sa dignité, et il y a aujourd'hui deux générations d'orphelins de sa parole, car cette parole était faite d'un martèlement dans l'opacité du temps et pas d'une somme d'idées que l'on pourrait avoir sans en payer le prix. La liberté n'est pas un droit, elle est un devoir. Il frappait à la porte de Dieu avec sa grande voix effrayante, et il avait fait du théâtre une sorte de heurtoir pour frapper encore et toujours.

Et nous avons vécu avec dignité c'est à dire avec un amour passionné de la question et pas seulement de la question, de la réponse aussi. Cette force qui parfois s'empare de l'acteur, cette éloquence et ce lyrisme qui dans une inflexion seule, peut témoigner de l'invisible; elle est une réponse. Nous ne pouvons pas nous contenter d'hypothèses, nous ne pouvons vivre seulement par les questions des livres, nous ne pouvons pas considérer que la vie n'est qu'une énigme dont nous serions exclus, parce que cette énigme est faite de notre chair, et que nous désirons bien plus que la sagesse des livres, une expérience.

Et il humiliait les tourments du siècle en imposant un tourment plus grand. Hamlet dit: « des mots, des mots, des mots » parce qu'il voit dans les livres toutes les questions et toutes les inquiétudes, mais pas l'Ethique qui est la réponse personnelle au silence de dieu. Nous savons que l'acteur, en entrant en scène, en prenant la parole répond à cet au-delà des mots à cet au-delà de l'énigme et apporte une réponse de joie dans le sacrifice de son art. Mais notre réponse a lieu sous les lustres, pour un temps donné, elle est mortelle, et possible seulement par l'allégeance de la salle, de son silence assoiffé. L'acteur se tient droit avec à ses côtés un ange obscur et un ange lumineux et il les regarde tour à tour avec la même soif d'absolu. Il cesse d'avoir un corps, il est un corps; et ce corps trouve une liberté prodigieuse dans l'obéissance. C'est par amour de la Vérité que la liberté devient un devoir, un devoir dévorant.

Pour entrer en scène comme on entre dans la grâce, il ne faut pas se contenter d'interprétation, il faut plonger dans le vide, se perdre tout à fait, abandonner sa dignité, traverser la folie, accepter sa mort, ne plus appartenir qu'à l'écoute de la foule qui espère dans l'ombre, ne plus appartenir qu'à l'attente de la communauté qui s'interroge dans l'ombre. Il faut pécher en eau profonde, toujours plus loin et toujours plus profond, loin des définitions et des certitudes, dans la grande mer des paradoxes, au large des discours, dans les tourbillons de la vérité vivante, dans la profondeur de la liberté de Dieu.
Le public parfois entend, et parfois refuse d'entendre. Ainsi sont les hommes, mais il faut leur pardonner parce qu'ils ne savent pas ce qu'ils veulent. C’est l'acteur qui leur montre que leur plus grand désir n'est pas de se construire une identité avec des objets de consolation, mais au contraire d'être dépossédé de tout ce qui est superflu. Et nos tristesses sont superflues. Tout ce qui n'appartient pas à la douleur commune est superflu. Tout ce qui est pour soi est mortel. Et la parole n'est parole que lorsque qu'elle surgit de la bouche commune des morts et des vivants.

Quand il entrait en scène, avec cette intime lourdeur, ce poids de chaque pas et aussi cette façon de marcher dans l'obscurité comme poussant des montagnes invisibles, il semblait proche des gouffres. Et il fondait la vie de l'acteur comme danger spirituel. Et il inventait une vie nouvelle faite de combat et de gloire. Il rendait possible encore ce combat spirituel dont aujourd'hui l'adversaire est introuvable. Car l'adversaire, c'est le mal, et c'est pour cela qu'il est nécessaire, mais il a déserté le monde quand il est devenu une faute morale. Et comme nous ne savons plus ce qu'est le mal, nous avons perdu aussi le sel du combat spirituel, et nous nous ennuyons.
Il est aussi mesquin et sordide de se battre contre soi-même que de ne vivre que pour soi-même. Alors qu'il faut se battre pour que les générations futures aient encore un espace d'idéal, et encore le droit d'aller furieux dans les mystères de la vie intérieure. Le mal c'est de ne plus voir la matière que comme une misère inerte alors qu'elle est le cri de l'être pétrifié.

Quand il entrait en scène on n'apprenait pas à jouer la comédie, on apprenait à vivre. Le son des mots dans son corps, changeait notre destin, agrandissait notre devenir, nous frappait d'une responsabilité sans bord. L'aventure de la parole reprenait, et les vocables encore comme des armes claires, brillaient dans la nuit fermée.

Il était trop lourd pour certaines danses mondaines. Il était trop raide pour des compromis avec les idéologies. Il était trop aveugle pour regarder autre chose que l'indécente lumière. Il était trop grand pour un monde où l'honneur et la gloire on été remplacés par l'argent et le pouvoir. Il nous a appris que cette inquiétude, si peu répandue dans notre génération, était une force, et que nous pouvions la tourner vers l'avenir et en faire en quelque sorte une impatience. Qu'il ne fallait pas désespérer de la réponse, car la réponse vient au moment où l'on accepte de ne plus avoir de visage, de ne plus avoir de masque, de ne plus rien avoir que cette impatience. Comme lui nous marchons dans les ténèbres en comptant nos pas, mais nous ne savons pas toujours comme lui, enflammer le présent et en faire une aventure sacrée.

Je veux voir encore la hideur ensoleillée des pirates, les armures balancées sur les chevaux écumants, les duels plein d'amour et de larmes, toute les histoires saintes écrites le soir même dans la fébrilité des flammes, tous les combats contre tous les dragons, toutes la batailles navales et les naufrages des vaisseaux armoriés, toutes les flammes et les embrassements des guerriers épuisés, les étendards qui claquent dans l'azur exagéré des chapelles, les cérémonies et l'arroi des moments historiques et le héros immolé qui brûle sur sa barque funèbre au large de tous les accomplissements, tous les heaumes et toutes les parures, toutes les médailles et tous les caparaçons d'or, tous les habits de parades et toutes les trompettes, tous les triomphes de l'enfance et toutes les enfances de la gloire...mais en rêve car je n'aime pas la mort. Dans le merveilleux champ de bataille de la vie intérieure, là où se battre veut toujours dire s'offrir, là où l'argent et l'or ne sont que décoration pour mourir en gloire et symboliquement, là où la réalité rugueuse est transformée en réel rugissant.

Voilà ce qu'il nous a appris de plus fondamental : ce que nous vivons vaut la peine d'être vécu, rien n'est vanité, à la condition, que nous ayons pour nous-même une exigence de lumière. A la condition que nous ayons pour nous-même un plus grand rêve abouché à un plus grand silence. A la condition que notre balance soit plus subtile que celle qui mesure les objets du temps, et notre horloge plus exacte que la ponctualité des carrières. Quand on dit que plus rien ne peut être atteint c'est mensonge. Quand on dit que les sentiers sont effacés, que les temples sont effondrés, que les splendeurs sont humiliées, que les destins sont défigurés, c'est mensonge.

Il faut en finir avec cet art qui est un aveu d'échec, avec cette esthétique qui est l'ornementation du découragement, avec le relativisme qui annule la vérité, avec la tiédeur au nom de la neutralité, avec le sérieux qui fait office de gravité, le manque d'espoir comme élégance supérieure, le doute comme excuse à toutes les lâchetés, en finir avec l'ironie comme intelligence indépassable.

Quand on le voyait entrer en scène et oser jusqu'à la grandiloquence les arpèges du lyrisme, on comprenait que aucune route n'est fermée, aucun combat spirituel démodé, qu'aucun héroïsme n'est inaccessible. C'est nous qui collaborons toujours avec notre détresse, c'est nous qui mettons un collier de chien à notre destinée. C'est nous qui sommes passionnés de vide et d'ennuis, c'est nous qui bâillonnons notre amour de la gloire.

Ce n'est pas par sa force qu'il nous a appris l'essentiel mais par ses faiblesses. Par sa mauvaise vue, ce danger qu'il a toujours connu d'être définitivement dans l'ombre, il ne cessait de témoigner pour la vérité de la vie intérieure. Il nous ramenait à notre devoir de témoigner de l'invisible. Par ce grand corps, cette lourdeur, cette lenteur, il donnait au temps une scansion plus lourde, il charruait le ciel, il ralentissait la course effrénée vers le vide. Par son incapacité à pactiser avec les idées reçues et la bêtise, il nous apprenait que vivre dans la vérité n'est pas plus difficile que vivre dans l'imposture. Par ses colères aussi, il nous rappelait que l'on ne peut pas tout accepter et certainement pas de vivre dans l'oubli de son destin.
Il disait parfois qu'il entendait son nom, son véritable nom, qu'il entendait ce nom dit par un père, un père présent dans son absence, un père qui ne juge pas, un père qui sait aussi être un fils. Un nom murmuré, dans le brouhaha du siècle, dans le désordre de ses désirs, dans le tintamarre des idées, un nom que l'on entend clairement qu’à la fin. Se sentir appelé, et pourtant ne pouvoir répondre à cet appel qu'imparfaitement. Être plein d'impatience d'amour, et pourtant ne se donner à cet amour impatient que trop lentement. Désirer la joie et pourtant tout mettre en œuvre pour l'empêcher. Nous sommes une forêt, nous sommes un labyrinthe, nous sommes une nuit turbulente, nous ne sommes plus des enfants. Pour trouver en nous ce point de silence d'où peut encore naitre la Joie, il n'y a peut-être pas d'autre solution que d'être aveugle et lourd et solitaire et d'entrer comme un acteur lourd, solitaire et aveugle, sur une scène que l'on sait être au cœur du monde, au cœur du monde et pourtant dont les bords touchent les rêves enfuis, dont le lointain est peint de noirs soleils et le ciel d'étoiles effacées.

Il disait chercher l'amande du monde, et parfois, pour une heure, il atteignait ce cœur d'un bond, d'une joie effarée, mais lui-même avait trop d'humilité pour y croire. Alors il se présentait comme un homme qui essaie d'apprendre à voler en attendant que lui poussent des ailes, il prétendait être lourd et aveugle, et il nous laissait lui faire la courte échelle mais en réalité, c'est lui qui nous portait. Il nous portait sur ses épaules puissantes et nous goûtions un air un peu plus rare, une lumière un peu plus éloquente.

Il disait que le mot de la langue française qu'il préférait c'était le mot Miséricorde, je pense qu'il a rencontré la Miséricorde, et qu'il a su l'assoir à notre table, et qu'il a su nous inviter à la rencontrer, par ce que la Miséricorde n'est pas extravagante comme la grâce, elle est simple et présente, elle est humble et souriante.

Nous ne cheminons pas vers la Miséricorde, nous cheminons avec la Miséricorde.
Et nous ne savons pas où nous allons. Mais l'acteur qui va entrer en scène ne peut pas entrer en scène sans lui tenir la main.


Olivier Py


Y a quelqu'un qui a dit de mon écriture ici,  y a quelqu'une qui m'a dit que mes critiques étaient dithyrambiques et mes hommages alors ! mais ce que je lui réponds à cette personne que je ne nommerais pas, c'est que j'écris que par devoir d'admiration, et c'est que c'est plutôt sexy l'admiration.
(Etienne Daho avec Rebecca Manzoni) mes dimanches matin éclectiks seule avec la radio, Pascal dort encore et le chat toujours à cette heure là. La semaine prochaine c'est ma not'Yolande.(rectification ce sera le 15/12 et à propos d'hommage, ce dimanche 24/11 c'était la rediffusion de Bernadette Lafont
http://www.franceinter.fr/emission-eclectik-bernadette-lafont-1

 



EXPO PHOTO
Informations pratiques
Mère et Fils de Denis Dailleux
Du 6 novembre au 11 décembre 2013
Du mardi au samedi de 11h à 19h

Galerie du Passage
22-26 galerie Véro-Dodat
75001 Paris

Lien : www.galeriedupassage.com







ce sont trois jeunes gens qui partent au travers de l'Inde, d'Ouest en Est, 6 mois, quel beau projet, je les aime bien... 
lhimalayaadosdepanda.wordpress. com

et voilà bien d'autres nouvelles de nos autres pigeons voyageurs, en Afrique, mais ces deux là s'aiment d'amour tendre. Ça y est ils sont en Mauritanie ! c'est quoi la différence entre la Mauritanie et le Maroc ?

Mauritanie

« Mauritanie » défini et expliqué aux enfants par les enfants.
La Mauritanie (nom officiel : République islamique de Mauritanie) est unpays d'Afrique de l'Ouest, entouré au nord par l'Algérie, à l'est et au sud-est par le Mali, au sud-ouest par le Sénégal, et au nord-ouest par le Sahara occidental. Sa côte ouest donne sur l'océan Atlantique.
Fiche d'identité de la Mauritanie
Superficie :1 080 000 km²
Drapeau de la Mauritanie

Drapeau de la Mauritanie
Population :3 291 000 (2009)
Gentilé :Mauritaniens
Capitale :Nouakchott
Langue :arabe
Monnaie :ouguiya

Maroc

« Maroc » défini et expliqué aux enfants par les enfants.
Le Maroc (nom officiel : Royaume du Maroc) est un pays d'Afrique du Nordfaisant partie du Maghreb. Sa capitale politique est Rabat et sa capitale économique Casablanca.
Fiche d'identité du Maroc
Superficie :710 000 km²
Drapeau du Maroc

Drapeau du Maroc
Population :31 993 000 (2009)
Gentilé :Marocains
Capitale :Rabat
Langue :arabe, tamazight (berbère)
Monnaie :dirham marocain
ces voyages les voyages de mes amis sont un peu mes voyages.... comme dans un film... d'ailleurs tous ces jeunes gens y vont pour faire un film

Je ne sais pour quelle raison mais mon blog lui aussi chute dans les sondages, même si je ne m'en fous pas qu'y puis-je ? forcément si tous mes fidèles lecteurs partent en voyage.... Ah ces deux là vous pouvez les aider, financièrement. Ils sont partis mais avec pas assez...
https://www.lepotcommun.fr/pot/ZehtIfzQ
https://www.facebook.com/pages/un-film-en-Afrique-des-films-en-Afrique/519390264800183

Heimat : je ne sais pas si j'ai pas préféré la salle au film mais à un moment je suis restée tenue par le personnage de Jakob quand il arrive chez sa sœur, on dirait du Dreyer(ça fait drôle) mais je préfère Haneke : Ruban blanc...



Dexter : J'ai aimé la fin , car j'ai aimé comme une fille unique leur histoire d'amour frère sœur qui se termine mal et les acteurs sont excellentissimes... c'est une relation mythologique, il préfère sa sœur à son enfant, la toute fin m'a fait penser à Breaking the Waves. Qu'y a t-il d'autre à voir en film et en série : "que les rêves qu'on a fait mais dont on ne se souvient pas". Pasolini.

vendredi 15 novembre 2013

cinema illustration humour théâtre : mes désirs pour garder courage, petite fille le monde change...Mon âme par toi guérie... suite

Sylvie Serprix à tout prix chez ma libraire préférée
1ere projection théâtre cinéma poésie : Guantanamo
radio : j'ai cru que j'allais fermer ma radio jeudi matin avec Borloo, 7/9 France-Inter, le bowling anti Hollande, comme ce jeu à la Foire des Casse têtes ; on est dans une époque transitoire avec toute la kyrielle de la recherche, à corps perdu, du bouc émissaire, que faire résister(ce n'est pas encore si terrible) ou passer sur france-culture, mais je ne veux pas m'isoler davantage.... j'ai bien fait car ce matin c'était mieux, beaucoup mieux, en podcast à petite dose les gardiens du temple de la culture.... qui évoluent
aussi oui car comme le dit le grand Stephen King à la frontière entre la littérature populaire et la littérature tout court, les murs tombent un peu...
ex : prix Goncourt....
Un écrivain auteur de polars : Pierre Lemaitre pour "Au revoir la-haut" 
Hier ce film avec débat là, au Lucernaire  nous ont tellement fait du bien que tous les 2 en sortant on a dit : comme j'ai aimé
et plus tard dans la soirée j'ai entendu Jugnot, dire à la télé ciné, cette si modeste phrase :le cinéma, ça n'a jamais changé le monde mais ça peut donner du courage à ceux qui le feront.
C'est exactement cela le film de Dupeyron(ne pas confondre avec Depardon), quels acteurs incroyables et sentir que tout seul dans la plus belle maison du monde : maison musée on étouffe... on se suicide à petit feu... on est plus vain malheureux qu'avec une famille recomposée dans un mobil-home... Ce film écoute nos petites misères.... avec une beauté d'images et de jeu d'acteurs, quels talents conjugués
http://www.lescinemaschaplin.fr/?p=1171



       
© La Compagnie des Indes

 Guantanamo est un film de Stéphane Pinot réalisé à partir de la mise en scène par Éric Vigner du texte de Frank Smith avec les acteurs de l’Académie internationale du Théâtre de Lorient.

Ce film produit par la Compagnie des Indes a été tourné dans la base de sous-marins de Lorient en mai 2013. Après avoir filmé La Place Royale de Corneille en salle puis La Faculté de Christophe Honoré dans la cour du lycée Mistral à Avignon, la Compagnie des Indes a saisi le dernier opus de la trilogie de l'Académie autour de la jeunesse et de la liberté, Guantanamo, pour le filmer dans ce haut lieu de mémoire.

Guantanamo sera projeté le lundi 18 novembre 2013 à 21h au Club de l'Étoile à Paris (14 rue Troyon - 75017).

> En savoir plus sur Guantanémo
> Voir le site de la Compagnie des Indes

letheatredelorient.fr


Bonjour les amis,

Avant d'entrer dans l'hiver venez vous réchauffer à la librairie autour du nouvel album aux couleurs chaudes de Sylvie Serprix:

"Tout blanc"

un livre poétiquement écrit par Marie-sabine Roger
et illustré de façon chatoyante et rêveuse par Sylvie Serprix. j'adore ces dessins-là leurs douceur poésie et couleurs

Vos enfants seront ravis de recevoir ce bel album dédicacé pour Noël

un Noël avant Noël le samedi 23 novembre à partir de 15h30.

Un gouter sera servi.

à la librairie "Au plaisir des yeux"
120 rue Raymond Losserand
75014

métro Plaisance.

merci de parler de cette séance de dédicaces à vos amis

en construction l'article si j'ai le courage je re modifierai...