mercredi 22 août 2012

Jeux paralympiques diversité, Alzheimer ne pas les mettre en échec.....

On en entend des informations complexes  pour les JO et les Jeux Paralympiques  : les handicapés qui veulent le même regard sur eux que les autres sportifs. Commentaires aussi sur Oscar Pistorius

 amputé des 2 jambes qui a couru avec ses prothèses dans les JO classiques : est-il avantagé désavantagé....
Les handicapés physiques veulent faire comme si, malgré leurs handicaps : sublimer leurs efforts et on les comprend plus aisément que les dits "normaux" et pourtant on les egarde beaucoup moins à la télé et beaucoup trop dans la rue quand ils passent en chaise roulante.
Les personnes qui ont des blocages psychiques ne peuvent pas faire sans : leurs addictions leurs tocs leurs psychoses comme le trac pour les pros ou les amateurs qui se retrouvent sur scène.
La peur invalidante c'est pas si simple c'est aussi une barrière qui peut propulser comme tous les handicapes psychiques et:ou physiques. 
Rappelons cette citation d'Antoine Blondin : « L'athlète est un homme qui a décidé de reculer les murs de sa prison. »

Entourer les personnes fragiles..... remède constaté chez les personnes alzheimer, ne pas les mettre en échec, tabler sur leurs souvenirs anciens Art du Monde 20 08 12 et non pas leurs échecs : t'as fait les courses ? tu sais où t'as rangé tes photos dernièrement.... et qui est venu te voir cette semaine ? ils ne s'en souviennent pas mais plutôt Mamie comment faites vous l’osso-buco ou vos garçons petits ils étaient intrépides avec leur petite sœur. J'adore quand elle me répète à ma demande ses plus beaux souvenirs  dont l'accouchement de sa petite fille et quand elle l'a entendue pleurer : elle a dit au médecin ne tapez pas ma petite fille en larmes elle même. Elle a eu 3 fausses couches provoquées après ses 3 garçons ses ainés et sa petite fille.

Entourer les personnes fragiles..... et le résultat c'est qu'elles progressent et ou se stabilisent.
Mais attention les entourer ne veut pas dire être sur leur dos les coacher matin midi et soir car alors cela a un effet immédiat mais dans la durée cela risque de s'inverser... premièrement égoïstement vous ne pourrez pas tenir ce rythme et ce ne sont plus des bébés...
Car le coach l'ami  la famille doivent apprendre eux aussi à faire sans et ne pas devenir dépendant  : se servir de lui : Pygmalion à croc de l'affecté,  du dépressif, car c'est lui refuser tout regard extérieur, toute autonomie et donc à ce moment l'aidant se considère comme indispensable. Cela prend pourtant quelquefois tout son sens pour l'aidant : isolé et sans plus trop de reconnaissance dans le milieu professionnel. Diversifier ses activités soit mais attention de ne pas se raconter de bobards et le punir lui retirer l’affection aux  échecs répétés, manques, retours en arrière. Éviter toujours les avis et les attitudes contradictoires : c'est cela un regard extérieur mais c'est pas sans atermoiements.



"Miley Cyrus affiche un corps métamorphosé. À force d'enchaîner les cours de Pilates, la jeune femme a perdu plusieurs kilos et gagné en muscles. Elle montre fièrement sa silhouette dans un maillot de bain gris avec culotte ajustée et haut à balconnet."

Alessandra Ambrosio
"Alors qu'elle a accouché en mai 2012 de son deuxième enfant, Alessandra Ambrosio arbore une ligne parfaite sur la plage. Même si elle arbore un short taille haute, elle est sexy en maillot triangle. Ce que font les top models de leurs kilos de grossesse, cela reste un mystère..."


J'ai mis en miroir ces 2 commentaires car ils son révélateurs des avis contradictoires sur la même page et de perpétuer un pseudo mystère alors que l'évidence c'est que les top modèles sont des sportifs (un mélange d'art et de sport comme tous les interprètes)....qui font bien évidemment très attention à ce qu'elles mangent et boivent.

lundi 20 août 2012

Batman merci !







http://www.bakchich.info/medias/2012/08/17/the-dark-knight-rises-super-zero-61596
une critique assassine 


Il"backchich"  ne laisse rien au hasard et pourtant j'ai aimé et ne suis pas d'accord du tout sur l'éclairage qui serait mauvais et par contre je n'ai pas aimé du tout Marion Cottillard, mais ô combien ! L'autre rôle féminin, Cat Woman Anne Hathaway et le futur Robin sont très très bien. Le réalisateur je ne sais pas s'il a voulu dénoncer la récupération du peuple par les dictatures populistes mais j'y ai cru et j'ai bien aimé le déroulement brutal et lent des bagarres. Et je ne me lasse pas de Morgan Freeman présentant la nouvelle Batmobile. Et puis l'enfant....le monde souterrain l'incrédulité de ce qui s'y passe dans la misère,  des nantis et l'appart de Catwoman, sa cop's l'actrice de Heroes, la ponpon's girl. Le coup de théâtre, j'ai bien marché. Ah je suis bon public et je le reverrais bien seule. Ou alors les trois un week-end et tout oublier.... La fin avec son vieux majordome, c'était pas trop. Et les vieux acteurs y sont tous très bien. Batman boitant dépressif qui n'a plus le goût à rien et qui se retrouve à tout réapprendre : c'est beau, non ! Il m'a touché qui sait autant que mon père à la sortie de 3 mois d'hôpital. Je le répète le cinéma comme les chansons, populaires, nous font chanter sous la pluie ou nous rafraichir par soir de canicule.

Alors le budget ? eh bien moi je dis si on pouvait remplacer le budget de toutes les armées par celui virtuel des jeux et des films, perso ça ne me gênerait pas, les petits films à petits budgets n'ont jamais empêché les grands cinéastes. Et d'ailleurs ces derniers refusent les gros budgets pourquoi car c'est souvent très casse gueule.
très contente de la Rentrée du Cercle avec 2 bloguers et de leurs avis sur Batman, ils ont tous excepté la prestation de Marion Cotillard mais ils ont bien disséqué le non manichéen du film, le côte Indigné qui se font récupérer, la force des looser la mise en lumière des anti-héros ou héros très fatigués..... le jeu époustouflant dans Cat Woman d'Anne Hathaway.
le 3/09 j'ai écris s/FB à ma nièce
à propos de rentrée, très contente de la Rentrée du Cercle, avec 2 blogueurs et de leurs avis sur Batman, ils ont tous excepté la prestation de Marion Cotillard ;-) mais ils ont beaucoup aimé, bien disséqué le non manichéen du film, le côté Indignés qui se font récupérer, la force aveugle des looser, la mise en lumière des anti-héros ou héros très fatigués..... le jeu époustouflant dans Cat Woman d'Anne Hathaway. J'étais rassérénée. 

Le retour au bureau


 Ce qui change la vie et des collègues aussi.
La radio, un livre, un film, une pièce de théâtre (cette dernière allie tous les sens puisque l'alter ego est sur la scène en simultané avec votre présence à le regarder en costume un peu de héros)  ces média tant décriés, peuvent quelquefois plus changer votre vie que tous les enseignements de vos professeurs....
J’ai entendu qu’on a trouvé l’algorithme qui permet de déterminer  avec une marge d’erreur de quelques centaines de mètres grâce aux infos collectées sur FB etc., de seulement 400 mètres, où vous serez le lendemain.
Je dis bien l’enseignement des professeurs,  car il faut aller au moins jusqu'au collège pour la base. Sinon après,  on peut avoir eu la haine de l'école parce qu'ion n’a senti y avoir aucun plaisir ou parce qu’on est mis en échec,  et qu’on n’était vraiment pas apte à capter le rythme ambiant, à se faire des amis....
Et rien ne remplace la fréquentation d'autrui amicale amoureuse...
Des collègues ! aussi ?
Par ex : dans ce dernier cadre, vous partez en vacances, vous avez plus de temps, vous pensez à des tas de choses que vous pourriez faire à la rentrée, vous revenez et avec décalage, vous retrouvez vos collègues de retour depuis une semaine et c'est eux qui ont déjà amorcé votre mutation, ils vont régulièrement à la piscine, ont modifié un je ne sais quoi, qui les rend plus beaux, parlent un peu plus, en vous regardant un peu plus longtemps et surtout ne vous coupent pas la parole en haussant le ton. C’est vrai que le collègue qui dit, à peine vous vouliez finir, et reprendre le fil de votre exposé : « j’ai pas fini, pourquoi tu me coupes toujours la parole ! » est plutôt du genre taiseux, vie publique, vie privée séparées : à se demander ce qu’il fait de ses loisirs quand il retourne chez lui, voir s’il a même une femme……  Timide, en un mot mais souriant.
Voilà ! Vous rentrez et ce collègue là non seulement, il va à la piscine, il a mis  un short long et un polo de couleur plus vive,  son bronzage doux  fait ressortir son sourire et il vous montre une photo, car vous ça fait 2 ans au moins que vous lui montrez les vôtres. Et il raconte toute une ballade.
Surtout ne pas faire la réflexion qui casserait ce fil d’ange appelé la confiance en lui sortant : « dis donc ! Tu ne deviendrais pas un peu pipelette comme certaines. » Même si c’est très tentant.
Et on vous serine qu’il faut tisser des liens de confiance avec le client, mais une chose qu’ils oublient, c’est pas une maladie virale : la confiance, il faut beaucoup de temps avec les plus touchés, les méfiants. 
Et messieurs les audits et/ou les faiseurs d’open-space : l’esprit d’équipe ça ne se construit pas sans la confiance.

Je raconte cela car l’été dans les bureaux, il y a le ravissement de la venue des étudiants ; en général , ceux à qui on donne le boulot accumulé en retard de toute l’année et le plus chiant possible : classement.  Eh bien notre dernier venu : Clément, veut devenir journaliste. Et peu respectueux de ses envies et de ses connaissances, mes collègues toutes contentes disent comme il travaille très efficacement et avec le sourire : « Nous on veut Clément l’année prochaine ! » et moi de préciser qu’il serait peut-être plus content de faire un stage à Radio-France. Et mes collègues de répondre : « oui, mais il n’aurait pas d’aussi bons collègues ! » et là je me retourne (on m’a placé de dos à presque tout le monde, vue l’implantation générale : il y en a 3 de dos sur 9 les 2 seniors restructurés et la noire) je la regarde bien droit dans les yeux et doucement je lui dis : « ô que oui, il aurait d’aussi bons collègues et j’en connais quelques uns ».

Olivier Steiner : Bohème et une critique assassine, mon droit de réponse



le site de ce Monsieur Christophe Bys
 Et comme cela vous y lirez son papier....
Mon droit de réponse : Vous abimez un 1er roman.
Cette critique cache ça : il a lu ce roman sans pouvoir s'y abandonner et cela dérange à partir d'un certain point dans le temps de dé-saimer, de ne plus s'impliquer a corps perdu, on s'adonne alors en général à la cuisine et au sport... au vélo à la randonnée à haute dose, parce qu'on tient à garder tout son pouvoir dans ses activités professionnelles. 
Et qui peut oser écrire que l'amour n'est pas un cliché. La construction de Bohème : une mise en abîme, pas seulement, est-il allé jusqu'à la dernière ligne ? Pourquoi, comment le fil du roman nous tient-il alors en haleine ? On sent tous les inévitables écueils comme nôtres on s’approprie enfin les clichés. La candeur d'Olivier Steiner nous rend ivre d'aimer et non pas ivre de soi, comme ce monsieur qui lui enfonce toutes les portes ouvertes.
La plume : connotée  comme un sexe qui pleure... mais ses larmes sont fielleuses car qui n'a pas rêvé écrire un 1er roman d'amour actuel, et en plus passer la haie, les haies, les barrières de toutes les identités sexuelles et raconter une histoire aussi claire qu'un roman de Zweig et passer par la figure classique du roman épistolaire. Oui mais avec les moyens de communication actuels en exceptant justement de rapporter, relater, nous confier : les lettres ancienne formule et les conversations longues de fond en comble et nous y faire rêver et nous tenir hors d'haleine en attendant le vibrato du téléphone.
Et rendre accessible cette "confusion des sentiments" et aller jusqu’à presque toucher l’équilibre entre les êtres de passion qui culmine lorsqu'on découvre un spectacle, un livre de quelqu'un qu'on connaît. On a pour faire court 2 fois plus envie, 2 fois plus peur, et on est quelquefois 100 fois plus contents, ravis comme si on communiait complètement avec quelqu'un. Il faut l'éprouver ce vertige là, car il change définitivement la vie et il empêche ensuite aux aigreurs, aux moisissures, aux rancœurs, de s'accrocher à nos parois.
C’est l'amour fol, c'est l'instant de grâce et après on fait comment quand le rideau retombe, les applaudissements ne sont plus qu’un souvenir et qu’on rentre seul chez soi  car l’Autre est occupé et bien Monsieur Machin on pleure à gros bouillons pour certains ça fait un bien fou et on repart comme un chien fou à  sourire  aux inconnus et à re-faire commerce de soi...
Je n'aime pas parler des êtres à la 3ème personne mais je fais comme vous Christophe Bys. Vous êtes drôle ? Pas plus que Philippe Djan quand il déclare qu'il ne se passe rien quand on lit Proust ou quand Céline délire antisémite.... On se dit qu'au XIXème c'aurait été l'occasion d'un duel.... et donc heureusement aujourd'hui,  grâce à la toile Internet O.S a pu vous répondre en littéraire par un texte de Du Bellay. Ce qui me gène c'est pas votre verve mais c'est votre chronique manque d'élégance.
Et où je vous en veux personnellement c'est que vous attisez la haine contre les littéraires, les théâtreux alors que vos loisirs sont ceux d'écrire visiblement sur la littérature. Le théâtre qui sait pourrait vous tenter un jour, il dessille les yeux de bien des préjugés. Mais qui sait vous vous attaquerez encore à un leurre, car vous êtes un tantinet homophobe ?

samedi 18 août 2012

L'importance d'être Wilde à la Maline sur l'ïle de Ré, et une expo d'Ousmane FALL

Mercredi 22 août
21h, si vous allez ou si vous avez la chance d'être sur cette Ile de ce temps-là.... et en plus le soir vous pourrez aller voir le meilleur spectacle du Off déjà là, à La MALINE. Je ne vous envie pas j'aime.
 L'IMPORTANCE D'ÊTRE WILDE
De Philippe Honoré, par la Compagnie Philippe Person 
Auteur : Philippe Honoré d’après l’œuvre et la vie d’Oscar Wilde
Mise en scène : Philippe Person.
Avec Anne Priol, Emmanuel Barrouyer, Pascal Thoreau.
Lumières : Alexandre Dujardin
Durée : 1h20
"Succès au festival off d'Avignon
L’image d’Oscar Wilde est accrochée à notre inconscient : un homme brillant et insolent dont la déchéance fut à la mesure de la célébrité. La compagnie Philippe Person a désiré mettre en lumière l’intelligence suraiguë de l’écrivain mais aussi son humour aussi brillant que ravageur. Comme cela a été fait avec certains de leurs spectacles précédents (L’Euphorie perpétuelle, Délivrez Proust ou Misérables), la compagnie a le désir de proposer un spectacle multiforme, où les jubilatoires aphorismes de Wilde, alterneront avec des extraits de ses pièces et de ses contes, des minutes du procès qui ruina sa vie ainsi que des témoignages des artistes qui l’ont rencontré.

Avec ce joyeux et savoureux bric-à-brac, la compagnie Philippe Person a choisi le parti pris de l’insolence pour nous faire redécouvrir ce dandy magistral.

“La mise en scène de Philippe Person, ludique et cocasse, multiplie les clins d'oeil et les décalages. C'est brillant, à l'image de la personnalité du poète dandy.” Télérama TT
“Ce spectacle se voit avec infiniment de plaisir”. Pariscope"




L'exposition
à La Maline

présente

OUSMANE FALL
La Terre vue du Sel
photographies

Vernissage Jeudi 2 août à partir de midi
entrée libre

“Originaire du Sénégal, saunier à Ars en Ré depuis mars 2004, je découvre en construisant et en exploitant mes marais salants, de véritables oeuvres graphiques, naturelles et éphémères. Symbiose des vents, de l'eau, du soleil et du bri, ces tableaux m’offrent une escapade imaginative riche de formes, de couleurs et de créativité. Photographe, je souhaite faire partager à travers ces tableaux un autre aspect de mon activité de saunier, un voyage à la découverte d'un univers riche et unique.
En effet, outre son caractère de Faiseurs de Sel, les marais salants recèlent d'autres trésors qui nourrissent l'âme et l'esprit, d'une harmonie génératrice de bien-être. Puissent ces photographies vous apporter un regard artistique sur l'intimité vivante de mes marais salants...”
Ousmane Fall, saunier et photographe sur l'ile de Ré

Exposition du 02 au 02 septembre 2012
Entrée libre aux horaires d’ouverture de La Maline

vendredi 17 août 2012

Cornouaille et SOUS MA PEAU c'est à voir et à Paris en ce moment.....

Au Lucernaire : Sous ma peau, le Manège du Désir
AIMER LA MORT, LE DÉSIR n'est pas non plus AIMER l'autre, en existant pour s'exprimer de tous ses frissons, ses ambigus, se régénérer ; comment se fait-il que je sois allée au bout du Monde,  du petit Monde du théâtre, aux festivals pour aller voir plein de spectacles et qu'à Paris au Lucernaire, j'ai failli, louper  SOUS MA PEAU, c'est tout ce que j'aime  : ni vulgaire ni convenu pas convenu du tout, et c'est sur l'Aimer, avec Sexe, car comment faire sans....
L'actrice est seule, comment dirais-je la funambule la marionnettiste la clown la trapéziste la grande actrice, elle s'appelle, elle joue avec tout, le public, elle est belle vieille une enfant un homme : elle est trans-formiste, elle vous cueille et vous enchante et ça décoiffe enfin dans cette société conservatrice et qui fait un retour aux valeurs intégristes pudibondes et à l'aliénation des désirs de la chair. Enfin, un souffle de vent et le texte ces quelques interviews de diverses personnes de sexe différents est détonnant, subtil et large.... courez-vite sur cet Internet pour savoir que c'est mon NUMBER ONE de tous les OFF, c'est à Paris, prenez votre bouteille d'eau ce weekend et allez au Paradis car malgré la clim. sous votre peau, il risque de faire chaud...
Ah je vais lâcher le mot c'est de la poésie intime, allez-y je vous en prie....

ce que j'ai glané sur Internet et qui s'est déjà effacé mais je recommence car j'ai la joie au ventre.... aujourd'hui, le lendemain, après ce spectacle.
une esperluette c'est un autre nom pour....?- &


& = c'est cela une esperluette ou éperluette.

http://www.lesperluette-en-scene.com/
L'Esperlu&te présente la pièce "Sous ma peau" écrite et mise en scène par Geneviève de Kermabon :

Du 11 juillet au 15 septembre 2012 au Théâtre Lucernaire (Réservation au 01 45 44 57 34)

- du mardi au samedi à 19h





Micaëla Etcheverry 16-05-2012 11:19

La force du texte brut de Grisélidis Réal est ici exaltée par la présence charnelle,légèr e, drôle de Geneviève de Kermabon. Femme, bien au delà de tous les clichés. C'est nous tous qu'elle parle, humains grandioses et dérisoires.

A voir absolument

Valérie 15-05-2012 11:08

Une actrice à la grâce et au talent extraordinaire, qui jongle adroitement entre théâtre, danse et cirque...et qui nous laisse pendu à ses mouvements et à son corps élastique. On voudrait que ça dure des heures!

Geneviève de Kermabon



Formée à l‘école de la rue Blanche (ENSATT) en 1978, elle intègre la même année l‘école de cirque GRUSS, après quoi elle travaille en tant qu‘assistante de Georges Wilson sur Les Aiguilleurs et décide de monter La Strada. Elle fait alors la rencontre de Fellini, qui suit attentivement son projet, et le spectacle se joue en 1980-1981 à Paris, à Lyon, et part en tournée en France et en Italie.

Repérée par Jérome Savary, elle joue dans trois de ses spectacles : Histoire du soldat, Super Dupont et Le cochon qui voulait maigrir. A partir de 2001, elle entame une longue collaboration avec Philippe Adrien qui la met en scène dans Le Malade imaginaire (2001-2003), Le Procès de Kafka (2003-2004), Cadavres exquis (2005-2006 ; spectacle créé à partir du répertoire du Grand-Guignol, dont elle co-signe la mise-en-scène), Don Quichotte (2007-2008) et Oedipe (2009-2011). Elle joue également sous la direction de Jean-Pierre Vincent dans Woyzeck, de Muriel Mayette dans Désirs amoureux (2006-2007), de Véronique Widock dans Barbe bleue, dans Espoir des femmes de Déa Loher (2007) et dans Gengis parmi les Pygmées de Grégory Motton (2008-2009), et dernièrement sous la direction de Stéphane Druet dans Les Divas de l‘Obscur, fresque délirante chantée et dansée (2011).

En tant qu‘acrobate (sol, voltige à cheval et voltige aérienne), elle a travaillé au Cirque International Bellevue (Manchester, 1975), aux cirques Busch-Roland et Krone, au Magic Circus (1984-1984), au Cirque Archaos, et à Chaillot (Grand Foyer).

Attirée par l‘écriture, elle adapte et met en scène La Strada (1980), Freaks (1988-1990 : Printemps des Comédiens ; Festival d‘Avignon In, Bouffes du Nord, et deux ans de tournée) et Richard III. Elle écrit plusieurs pièces qu‘elle met en scène : Morituri ou les marins dans l’arène (1991 ; Printemps des Comédiens et Théâtre National de Chaillot - salle Gémier), Le Grand Cabaret de la Peur (1999 ; joué en alternance avec Richard III à la Grande Halle de la Villette, puis au festival In d‘Avignon), Le Cirque Cruel (à l‘occasion de l‘Ouverture du Zèbre de Belleville en 2002), Cadavres exquis (2003-2004 ; au Théâtre de la Tempête et en tournée), et Sous ma peau, le Manège du Désir, sa nouvelle création (Mai-juin 2012 ; Théâtre du Lucernaire). Elle met également en scène Cosi fan tutte de Mozart (pour le festival d‘Opéra de Grattières), et plusieurs spectacles de cirque, dont un spectacle pour le C.N.A.C - promotion Les Arts du Soleil (1990 ; à Châlon-sur-Marne).


Giulietta*, ce n'est pas Geneviève en italien ?
* Giulietta Masina : femme et actrice du réalisateur Fellini, interprète la candide Gelsomina dans la Strada(1954) année de ma naissance
.
 
Au cinéma : CORNOUAILLE et non pas Cornouailles car celui-ci est en Angleterre.
SUR FB

Cornouaille d'Anne le Ny. À voir absolument, j'attends avec envie et non besoin vos critiques éventuelles.
Ce que j'aime, c'est la qualité l'exigence et ce film est accessible à tous les ceux qui me diront le contraire je les écouterais. L'humour le jeu la délicatesse comment utiliser les enfants au cinéma, Ce film est cousu de fil de dentelle et l'image.... la Bretagne les Maisons la mer, c'est un film d'ange et pas du tout larmoyant. Quels acteurs Aurore, Catherine, Anne... et Vanessa ? voilà c'est le seul bémol, comme c'est une "star" on met un moment avant que de nous la rendre proche, mais elle est très bien elle aussi. Notre nouveau Claude Sautet féminin.

 à INTER J'AI ENTENDU CE MATIN la voix de Claude Ponti et je me suis crue à l'école des loisirs c'est à dire pour moi en retraite. Claude Ponti, le plus grand illustrateur de Littérature dite pour enfants qui a changé ma vie, avec lui aussi non pas un film mais un livre sur la Mort qui s'appelle l'Arbre sans fin. Il a raconté que la nuits dernière, il avait rêvé que la gauche avait gagné aux élections présidentielles et qu'elle avait pris le pouvoir, et il s'est réveillé brutalement, en sueur, parce que ça n'avait rien changé...

jeudi 16 août 2012

Figeac : Demain il fera jour Montherlant Michel Fau avec Léa Drucker

Je ne vais pas bien pouvoir vous informer cette semaine pour plusieurs raisons je suis entre deux eaux...(je reviens de VACANCES) et l'ordinateur matrice mémoire disque dur mère est malade....

Alors je procéderai par flash absolu de réveil entre deux eaux et avec un portable, vachtement plus lent que "l'autre", je ne voulais pas l'admettre mais c'est moi qui passe le plus de temps sur ces engins périphériques.
Mon plus beau spectacle cela ne va pas vous étonner si je vous dis que je me suis projetée totalement dans le rôle de Lea Drucker. J'ai perdu le texte que je viens d'écrire et sur FB je ne retrouve rien.... Ma mémoire alors ne croyez-rien sur ce qu'on dit des mémoires.... on oublie tout on oublie rien. Sur la fiabilité.... Revenons à nos moutons c'est un spectacle qui remue tout sur un texte oublié mais qui à l'époque a été interdit un texte juste d'après guerre sur la Différence entre collaborateurs et résistants et sur le déni : une forme de folie. Comment survivre à ces périodes troublées en perte sèche de sens. Et comment résonne la mise en scène le décor le jeu de ce texte à notre époque où l'on chérit trop les enfants. Cet enfant est unique, dans la pièce et si nous étions tous dans la nuit noire le plus souvent.... C'est joué enfin pour les un peu sourds on entend le texte il est joué haut et fort et avec toutes les méandres imprévisibles du jeu de chaque acteur utilisées et maîtrisées. C'est sûr vous n'aurez-jamais vu un acteur comme celui là avant Michel Fau moi depuis le temps que je le connais, il me sidère me fait froid dans le dos et me fait tellement rire, même là oui mais moins fréquemment que dans le Récital. Et Léa Drucker ? c'est comme Julie Depardieu ou Audrey Tautou enfin reconnaissables de tout leur talent d'actrice et avec de si jolies robes.