mardi 28 avril 2009

les Molières, une telle parodie, et pourtant Anne ALVARO et Roland BERTIN et L'Oral et le Hardi.../STAGE D'ÉTÉ Inscription



les Molières, une telle parodie, et pourtant Anne ALVARO et Roland BERTIN et L'Oral et le Hardi....
Mais je n'en dirais pas plus, tellement la cérémonie "œcuménique " était insipide pour être télévisuelle, chargeant sur l'émotion de chansons intermèdes pas très réussies. Laurent BAFFI prenait sa revanche en ridiculisant l'Institution. Monique Chaumette a été taxée d'un "Plus fort !" exact mais tellement indélicat.
J'ai arrêté de regarder j'avais honte.
-malgré l'hommage à Gérard Philippe, une lettre extraordinaire à Gérard Philippe... Schiaretti donc Coriolan de Shakespeare primé...
-oui, je déteste les chauds et froids, les mélanges insensibles vite-faits qui nivellent tout par le très bas.
STAGE D'ÉTÉ

Stage d'été "Qu'est-ce que jouer ?"
Stage d'été formation de l'acteur
Organisateur :
L'Ecole Auvray-Nauroy
Type :
Musique/Arts - Répétition
Réseau :
Global (POUR TOUS)
Heure de début :
jeudi 27 août 2009, à 14:00
Heure de fin :
mercredi 2 septembre 2009, à 20:00
Lieu :
Théâtre l'Étoile du nord
Adresse :
16 rue georgette agutte

Téléphone :
0146368333
Adresse électronique :
www.lecoleauvraynauroy.fr
Description
Au travers d'exercices sur l'écoute, le geste, l'espace, le rythme, le corps, la parole et en prenant appui sur un travail de scènes classiques et contemporaines, l'objectif du stage est de prendre conscience de tout ce que l'acteur peut mettre en place et en mouvement pour trouver et renouveler l'endroit du jeu.

Sinon je reviendrais pour vous parler d'autres théâtres : pièces que j'aimerai voir... mais je suis un peu décontenancée par cette cérémonie "nulle" comme a dit mon pote du soir qui travaille à la supérette pour payer ses cours de théâtre :
Baby Doll, L'Écornifleur, l'Antichambre, Très chère Mathilde, Le Diable Rouge, L'Amante anglaise etc...
de l'ILE DE RÉ

de CLAUDE PONTI qui écrit des livres pour les enfants à l'école des loisirs
et de ses livres "L'ARBRE SANS FIN" et le "CATALOGUE DES PARENTS"

mardi 21 avril 2009

Des nouvelles de la revue théâtre ATELIER THÉÂTRE de L'AGAPANTE


Nous avons le plaisir de vous annoncer que le numéro 33 de la revue Atelier-Théâtre est en vente (librairies et par correspondance).
Au sommaire de ce numéro :
Un entretien avec Christian Pelissier
Dossier : Les bibliothèques théâtrales en Île de France.
Le thème du trimestre : ABSURDE
Et toujours deux exercices inédits
Montage (choix de scène autour du thème du trimestre)
Seize sujets d’improvisation
Deux scènes inédites sur le thème de trimestre (ruse)


Lien vers le site : http://agapante.free.fr


ATELIER THÉÂTRE est une revue trimestrielle qui s'adresse aux animateurs d'ateliers théâtre, aux instituteurs, aux professeurs, et aux passionnés de l'enseignement théâtral sous toutes ses formes.
Lieu d'échange de pratiques et de réflexions sur la pédagogie théâtrale, espace de création pour les auteurs dramatiques, chaque numéro propose une partie magazine et une partie création.
Dans la partie magazine, nous partons à la rencontre de praticiens de l'animation théâtrale (portraits et entretiens), nous rendons compte de l'actualité éditoriale et de l'actualité évènementielle...
Dans la partie création, des fiches pratiques proposent des exercices, des improvisations et des thèmes de travail recensant des scènes du répertoire classique et contemporain ainsi que des courtes scènes inédites pour adultes, adolescents et enfants.
Nous sommes à votre disposition pour tout renseignement complémentaire
Cordialement
L'équipe d'Atelier-Théâtre




Liste des thèmes et dossiers des numéros parus :
N°1 : thème "l'Amitié"
dossier principal : les termes techniques du régisseur
numéro épuisé

N°2: thème "École(s)"
dossier principal : Les costumes (de la Rome antique à Louis XIV)
numéro épuisé

N°3: thème "À table!"
dossier principal : Les costumes (de la Régence à nos jours)
numéro épuisé

N°4: thème "L'argent"
dossier principal : La commedia dell'arte.
numéro épuisé

N°5: thème "l'adaptation théâtrale"
dossier principal : Le théâtre en ZEP
numéro épuisé

N°6: thème "La famille"
dossier principal : Les stages d'étés.
numéro épuisé

N°7: thème "Le théâtre dans le théâtre"
dossier principal: Les livres sur le théâtre.
numéro épuisé

N°8 thème "Médecins et malades au théâtre"
dossier principal : Les pièces à jouer et à lire (pour enfants et ado).

N°9 thème "Les personnages historiques"
dossier principal: Les droits d'auteurs

N°10 thème "Maîtres et Valets"
dossier principal : Les match d'impro, règles et déroulement
numéro épuisé

N°11 thème "Femmes en scène"
dossier principal : Les ressources théâtre sur internet
numéro épuisé

N°12 thème "Monologues"
dossier principal : Avignon 2003
numéro épuisé

N°13 thème "Marchands & marchandages"
dossier principal : Les festivals de théâtre scolaire

N°14 thème "Voyages"
dossier principal : Spécial Québec

N°15 thème "Déclaration d'Amour"
dossier principal: Les éditeurs de Théâtre

N°16 thème "Le travail"
dossier principal: Avignon 2004

N°17 thème "Étrangers"
dossier principal : Les pièces à faire jouer aux enfants.

N°18 thème "La télévision"
dossier principal : Les pièces à faire jouer aux adolescents.

N°19 thème "Les vacances"
dossier principal : Spécial Russie

N°20 thème "Animaux"
dossier principal : Comment mettre en place un atelier théâtre dans son établissement

N°21 thème "Tribunal"
dossier principal : Le théâtre de l'opprimé - Augusto Boal

N°22 thème "Fantastique & Science-Fiction"
dossier principal : Les DVD de théâtre

N°23 thème "Mythes et légendes"
dossier principal : La Comédie Française

N°24 thème "Jeux de mots, jeux de langage"
dossier principal : Avignon off 2006

N°25 thème "Fête"
dossier principal : Le théâtre en prison

N°26 thème "Guerres"
dossier principal : Le theatrotour en Inde

N°27 thème "Politiques et élections"
dossier principal : Le conte

N°28 thème "Aveux"
dossier principal : Avignon 2007

N°29 thème "Ruse"
Dossier principal : Le répertoire d’idées

N°30 thème "Science en scène"
Dossier principal : Les librairies théâtrales

N°31 thème "disputes et querelles"
Dossier principal : Les bibliothèques théâtrales en régions

N°32 thème "Crimes et Délits"
Dossier principal : Avignon 2008

Le lien avec les nouveaux chemins de la connaissance : MOLIERE/ et un livre de Docteur




Invités (pour la dernière émission)


Patrick Dandrey (avec Raphaël Enthoven). Docteur ès-Lettres et professeur à la Sorbonne, spécialiste de la littérature du XVIIème siècle, de Molière et de ses rapports avec la pensée médicale de son temps. Il est l'auteur de Le cas Argan : Molière et la maladie imaginaire (Klincksieck, 2006)


* Les nouveaux chemins de la connaissance
par Raphaël Enthoven
du lundi au vendredi de 17h à 17h50

"Vous trouverez sur ce lien 5 très intéressantes émissions sur Molière. Il vous faudra oublier la pédanterie des 4 consonnes et ses 3 voyelles. Vous pénètrerez alors avec douceur sous les draps avec les invités et l'auteur omniprésent."

Bien à vous tous


http://www.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/chemins/archives.php


POUR FAIRE LE LIEN
un message de Jonathan tellement à propos... avec Molière et France Culture : les nouveaux chemins de la Connaissance :
vendredi 10 avril 2009 Molière 5/5: Le malade imaginaire
jeudi 9 avril 2009 Molière 4/5: Tartuffe
mercredi 8 avril 2009 Molière 3/5: Le cocu imaginaire et Les fourberies de Scapin
mardi 7 avril 2009 Molière 2/5: Les femmes savantes
lundi 6 avril 2009 Molière 1/5: Le Misanthrope

Vous avez 15 jours pour les écouter ou "pod-caster"
Les extraits vous montreront avec entre autres Michel Galabru, Henri Virlogeux, vers quelle folie burlesque, il faut aller avec joie plaisir gourmandise pour combattre "l'humeur noire".
À propos du Malade Imaginaire, ils vous diront que ce fut la dernière pièce qu'il ne joua que 3 fois avant de mourir...
il utilisa sa propre maladie...
Tout s'utilise, voyez-vous, comme je vous le disais, pour charger la mule et pour faire mine de mourir sur scène en respirant sous des tonnes d'éclats de rires si précieux.
Je connais une amie maquilleuse de génie de théâtre qui a appelé son chat : Trissotin.
Molière (je vais vous sortir quelqu'ânerie)
fut tellement contrarié de ne pouvoir écrire et jouer de la tragédie, son physique y était ingrat, qu'il les supplanta tous en faisant rire les puissants et le roi... jusqu'à en mourir de rire.
Grande place au délire, nous y sommes pile dedans. Votre metteur en scène, Philippe Person vous a donné le grand jeu, le grand cirque, le décor, pour y arriver avec en contraste bien-sûr de votre part le plus de sincérité possible.Donnez-y vous à cœur corps joie
Toutes les époques croulent sous la bêtise des parodies que sont la vie...
Comme par ex un médecin qui écrit de la psychologie, livre intitulé : les petites hontes... il veut guérir les stress... j'ai entendu cela à la radio aussi, là sur France-Inter.


Revenons au jeu, l'IMMOBILITÉ SUR SCÈNE N'EXISTE PAS puisque c'est toute écoute intérieure, vos sens sont extrapolés vers la captation de tout ce qui se dit et tout ce qui ne se dit pas.
Écoutez avec vos yeux... Sentez avec vos oreilles et touchez de loin avec tous les pores de votre peau, voyez-vous la volupté ici annoncée.
Je rêve je vous l'ai dit d'un rôle muet qui se tient sur scène tout au long de la pièce... comme dans "Les larmes amères de Petra von Kant" de Rainer Maria Fassbinder.

A bientôt je pars à la mer, puisse t'elle par la pensée m'aider à rejoindre les êtres auxquels je pense...

lundi 20 avril 2009

FEYDEAU "au Théâtre ce soir" Et si je vous annonçais mon dernier disque...

SÉLECTION READER'S DIGEST
propose à des prix défiants toutes les concurrences, des petits bijoux...
pour se poser se détendre s'entendre ensemble avec un beau brin de tout...
culture éclectisme popularité art de vivre et bluette...
musique classique théâtre contes ex : COFFRET FEYDEAU AU THÉÂTRE CE SOIR
(pour avoir accès à toutes les sélections il faut mieux que visiter le site s'abonner, je crois....)



Je dis cela parce que... (C’est la 2ème fois que j’enregistre pour leur Sélections, le 1er disque était intitulé RÉSERVÉ AUX ADULTES : chansons paillardes et poèmes libertins )
J'ai participé en tant que diseuse comédienne avec par ex Monsieur Jacques Bonnaffé qui dit entre autres des poèmes de Charles Cros, merveilleusement, je suis pas peu fière, à l'édition d'une sélection : programme souvenir Au Cabaret du Chat Noir
À l'origine voir l'histoire littéraire sur ce blog consacré aux « chats noirs »
Je vous l'annonce en avant-première...

Ce 2ème disque AU CABARET DU CHAT NOIR n'est et ne sera pas disponible au grand public, dans les bacs...
Sont enregistrées les Gymnopédies d'Érik Satie,
musiques, qui font se retirer à marée basse en moi toute la colère continue et la tristesse contenue.

"Le rythme fait sens" Henri Meschonnic, un monsieur que je ne connaissais PAS


13/04/2009 sur le journal LA CROIX

"Le rhytme fait sens" Henri Meschonnic, un monsieur que je ne connaissais PAS, mais voilà sur Face Book
- encore, tu y es encore ?
- oui car j'aime et je déteste j'apprends je trie je survole je manifeste
c'est vain mais je suis comme "Le Prisonnier" je me dis qu'un jour je trouverais la sortie de cette cité virtuelle, de cette vie...
-tu y perds beaucoup de temps ?
-j'y lance mes "bottles" à la mer par les "Sad days"
et dis-moi, sale petit bonhomme, sale petite bonne femme, sale cricket de la conscience, "perdre son temps" mais il ne m'est pas compté et mon chéri et moi on adore ça...

"Henri Meschonnic, un linguiste au risque de la Bible

Le linguiste, poète et traducteur de la Bible Henri Meschonnic est décédé à 76 ans, laissant une oeuvre immense


Henri Meschonnic chez lui, à Chelles (Seine-et-Marne) en janvier 2005 (Photo Pinoges/Ciric).

Le linguiste Henri Meschonnic est mort à 76 ans, le 8 avril, d’une leucémie, à Villejuif (Val-de-Marne). Peu connu du grand public, il laisse une œuvre saluée pour sa vivacité, au ton parfois très critique, son érudition et l’étendue des domaines qu’il a choisi d’investir, en polygraphe passionné.

Agrégé de lettres, professeur à l’université de Lille puis à Paris VIII Vincennes (de 1969 à 1997), Henri Meschonnic s’est illustré sur trois chantiers principaux. Le professeur a consacré, à compter des années soixante-dix, hors des modes de l’époque, des ouvrages de référence, à la poétique et la conception du langage.

Avec la conviction que le rythme fait sens pour une langue et lui ouvre un espace. Le linguiste universitaire articula sa théorie avec l’art pratique du poète. « Cela me fait réfléchir sur le langage. En poète, pas en linguiste. Ce que je sais et ce que je cherche se mêlent », rappelait-il.
Une Bible rythmique

Ses premiers textes avaient été publiés dans la revue Europe, après un passage en Algérie, en 1962. Son recueil « dédicaces proverbes » a reçu le prix Max Jacob, en 1972, suivi de nombreuses autres distinctions dont le prix Mallarmé en 1986. À partir de 2001, il a été publié par les éditions Arfuyen (Et la terre coule a reçu le prix de littérature francophone Jean Arp en 2006).

C’est encore au nom de la poétique que ce fils de parents juifs, venus de Bessarabie jusqu’en France, s’engagea dans une nouvelle traduction de la Bible. « Là où il n’y a ni vers ni prose – ce qui est inconciliable avec nos habitudes intellectuelles, mais un primat généralisé du rythme, à mon écoute. » Un sujet à risque reconnaissait-il pour l’un de ses éditeurs, Benoît Chantre (en 2001, dans la revue L’infini, chez Gallimard).

« J’ai découvert, en amateur et très tardivement, et sur un plan qui n’est pas celui du religieux – sans porter aucun jugement de quelque ordre que ce soit sur le religieux –, que ce que je lisais en hébreu n’avait rien à voir avec ce que je lisais en français ». Cette Bible rythmique, prenant en compte les accents, selon la tradition massorétique juive, se proposait de « débondieuser » la traduction de l’Ancien Testament.
Traduction à « rebrousse-poil »

Traduction à « rebrousse-poil », selon le philosophe Guy Petitdemange. Cette œuvre était en cours au moment du décès d’Henri Meschonnic. L’entreprise avait commencé avec Les Cinq Rouleaux, suivis de Jona (Gallimard) pour se poursuivre chez Desclée de Brouwer avec une traduction des psaumes, Gloires.

Chaque ouvrage, rappelle un autre de ses éditeurs, Marc Leboucher, donnait lieu à de scrupuleuses relectures pour respecter les blancs et les espaces dans le texte publié. En 2008, il venait de publier le livre des Nombres, Dans le désert (292 p., 22 €). L’influence de cette œuvre impressionnante s’est étendue jusqu’au théâtre. Claude Régy a mis en scène, à sa façon minimale, Comme un chant de David, d’après les psaumes traduits par Meschonnic. Il fut aussi président du centre national des Lettres."

Robert MIGLIORINI

le phénomène VIDÉO Suzan BOYLE/Ponyo sur la falaise, de Miyasaki





le phénomène VIDÉO Suzan BOYLE, depuis plus d'une semaine bat tous les records de visites...
Il faut la regarder cette vidéo, car comme me dit l'ami qui me l'a envoyée s/Face Book
la tête des jurés qui passent par le grand éventail d'émotions est remarquable... du grossier à la tendresse pour toute l'humanité.
Ce n'est pas un canular, le moule et la norme sont étriqués, les gens de moins en moins curieux, les distributeurs moins subventionnés, les critiques encensent le déjà vu quand ce n'est pas le déjà mort... moi itou...
Et puis il en faut tant et tant de courbettes, d'amis s/Face Book
Et puis Zut aussi avec cette vidéo, ces Crochets prétextes Star'ac et autres : alibis. Comme si la voix était tout le talent...
Je crois que plus ça ira, je ne regarderai que les matchs de foot avec mon Chéri, car là au moins, il y en a quelques uns d'étonnants... et le fric se dit, là au moins, se voit, se joue.


À part cela, ça sent la mer les algues l'embrun sous le soleil... même à Paris, non !
Et puis, il y en aura toujours qui passeront entre les mailles du filet...
A ce propos vous avez vu "Ponyo sur la falaise" le dessin animé japonais de Miyasaki : il y a une petite fille rousse à bedon, qui court sur les vagues pour embrasser son Chéri et manger du jambon. On n'est rien d'autre, tous, qu'un peu d'écume.

dimanche 19 avril 2009

Je devais me taire eh bien je reparle

C'était en 2005, je jouais une grand-mère Alzheimer, comme quoi être belle sur scène n'est pas primordial ? "Je suis ta mémoire"

entre amis comédiens, on se disait, choisissant entre des photos : "celle là, elle est bien folle !"
le critère n'est pas le même que pour les mannequins...


Mes comédiennes préférées : Pauline Carton, Bette Davis, Kate Bates, Anne Alvaro, Claude Degliame, Christine Murillo, Glenn Close, Madeleine Marion, Christine Fersen, Catherine Hiegel, Dominique Valadié, Evelyne Didi, Myriam Boyer, Hélène Surgères, Delphine Seyrig, Florence Giorgetti, Édith Scob, Hélène Vincent, Judith Magre...


Et là j'ai trouvé en passant une interview de Minyana de 1993 qui parle de "sa famille de travail"

Un bon comédien, c’est quoi ?

"Philippe Minyana : C’est quelqu’un qui travaille. C’est un bon artisan. Une des vertus du théâtre, justement, c’est l’artisanat, c’est-à-dire de ne jamais oublier les premiers éléments du théâtre, que tout le monde puisse comprendre, qu’on puisse le faire partout et que ça ne coute pas des milliards. Je suis pour un théâtre non pas pauvre mais immédiat, lancé, jeté, un théâtre où la parole est importante, justement. Alors, un bon comédien, c’est quelqu’un qui travaille beaucoup, qui est à l’écoute du monde, à l’écoute de comment parlent les gens… Idéalement, évidemment, c’est la fameuse « innocence » de l’acteur, être dans l’innocence comme si on ne savait rien à chaque fois, partir de zéro… Mais ce sont des paroles, ça ! En France, on a plein de bons comédiens, on est très gâté."


L'ANTICHAMBRE, L'HABILLEUR... tous ces spectacles à voir ! TRANS[E] sur Webthea


Allez-voir sur cet excellent inspirateur de sorties théâtrales :
WEBTHEA, il y a des offres de casting pour des courts-métrages, lancez-vous nos chers élèves trouvez créez les occasions...
Je vous invite à choisir ce site de critiques théâtrales, pour le mettre dans vos favoris, je n'ai pas le temps ni l'envie de continuer plus avant de vous parler, ça va passer mais il faut me laisser un peu loin, inutile, résorber mes fatigues, mes désespérances, mes déceptions, la vie quoi ? !
Je sais le blog : il faut l'alimenter... et la vie est belle... comme dans un film de Capra

mais le blog, il est comme moi, il est en colère quand
les amis ont du chagrin et quand leurs parents qui les ont fait ce qu'ils sont, meurent
mon blog est en berne, il a besoin de replis, de silence, de vacances, de manque aussi quelquefois,
et là c'est le cas.
la douleur se tait face à l'indicible mais ne s'arrête pas...

Juste avant,

-mais c'est plus fort que toi, tu as toujours eu besoin d'animaux de compagnies...
-j'aime... les chats les chiens les pigeons les chevaux les daines les vaches les papillons les fleurs....
-et d'outils objets de compagnies : BLOGS FACE BOOK8 !!! avant c'était les lettres les cadeaux...
les petites annonces, journal...
-Basta, vas-t'en, tu connais la Vie en Rose, ce n'est pas une chanson toujours rose....


un film à ne pas rater à voir et à revoir en DVD :
SOYEZ SYMPAS REMBOBINEZ de Michel Gondry, un français aux États-Unis...
j'ai cru en le voyant tard le soir et en restant éveillée que c'était un film américain d'un réalisateur américain, dans la lignée des films de Capra...
en tous les cas, c'est un film qui fait le plus grand bien...

comme les photos d'un ami lointain(par les KMS) qui nous font penser que la vie c'est aussi... sublime


et que la terre est si jolie... et que le théâtre nous délivre de tous les présupposés...



L’Antichambre de Jean-Claude Brisville
Le dernier salon où l’on cause
Paris-Théâtre de l’Oeuvre avec Danièle LEBRUN (une très grande actrice pour moi à voir et à revoir, muse et source d'inspiration pour l'imagination et la grace dans le jeu, le rapport à d'autres comédiens rôles personnages...)

A partir de quelques ingrédients - une période historique, un thème, deux ou trois personnages marquants - Jean-Claude Brisville plante un décor et brode ses propres motifs, en restant toujours fidèles à l’Histoire. Ainsi, il a imaginé un Souper décisif entre Talleyrand et Foucher en 1850 (avec Claude Brasseur et Claude Rich), un Entretien entre Descartes et Pascal le jeune (récemment au théâtre de l’œuvre avec Mesguish père et fils). Dans L’Antichambre, il restitue l’époque des Lumières, ses philosophes et leur Encyclopédie, ses salons tenus par des femmes influentes. On y apprend l’histoire de la rivalité entre Mme du Deffand et de Julie de Lespinasse dont les correspondances respectives ont pu fournir de sérieux matériaux de base. Mme du Deffand était une femme qui entendait user de son pouvoir ; elle travaillait habilement à la réputation de son salon en faisant et défaisant la réputation de ses hôtes à son gré. Elle se plaisait à l’idée que celui qu’elle exclurait ne serait plus reçu nulle part. Si elle était très liée avec d’Alembert, elle ne partageait pas pour autant ses idées progressistes ; elle jugeait le projet de l’Encyclopédie ridicule et vaniteux, et Diderot sale et grossier. Femme de tête, elle ne s’encombrait pas de bons sentiments. Et si elle engage sa nièce, Julie de Lespinasse, comme lectrice ce n’est pas par bonté d’âme pour sauver cette pauvre bâtarde du couvent c’est, certes, pour qu’elle lui serve de dame de compagnie, maintenant que sa vue baisse méchamment, mais aussi parce, en utilisant la jeune fille comme faire-valoir, elle voit une occasion de gagner un peu plus l’admiration de tous pour sa grandeur d’âme. Malheureusement Julie n’est pas tout à fait l’oie blanche qu’elle croyait ; elle a une revanche à prendre sur la vie et sur sa tante mal aimante qui l’a beaucoup humiliée. Elle trouvera en la personne du président Hénault, ancien conseiller au Parlement de Paris, écrivain, historien et surtout mondain, la bienveillance et la compréhension plus qu’affectueuse dont elle avait besoin. Non seulement Julie, par sa jeunesse et son intelligence, a supplanté sa tante sous son toit mais elle détournera ses amis et abandonnera une femme vieillissante, déchue et presque aveugle pour aller exercer ses talents dans son propre salon.
Un beau trio d’acteurs
La pièce habilement tournée de Brisville a été créée en 1991 avec Suzanne Flon et Henri Virlojeux dans une mise en scène sobre de Jean-Pierre Miquel. Avec Christophe Lidon, le décor et les costumes sont très XVIIIe siècle. Mme du Deffand livre un combat sans merci pour maintenir ses prérogatives avec une opiniâtreté acharnée, une volonté de pouvoir inaltérable malgré ses forces déclinantes. Elle a mené sa vie comme on conduit une bataille et tombe au champ d’honneur. Ce rôle va comme un gant à Danièle Lebrun qui sait comme personne donner de l’altitude à son personnage, manier la main de fer dans le gant de velours pour finalement tomber le masque à son corps défendant. Sa douleur est une blessure d’orgueil. A ses côtés le président Hénault (Jean-CLaude Bouillon), très vert pour son âge, est bonhommie et joie de vivre. Enveloppante et délicieuse, la marquise, sur un ton doucereux et gracieux, décoche brutalement de ces flèches qui laissent sans souffle celui, ou celle, qui les reçoit. Julie (Sarah Biasini) tiendra tête. Tout entière acquise à la cause des philosophes, elle prend fait et cause pour Voltaire dans l’affaire Calas et saura toucher le président Hénault par son idéalisme et sa fougue. Ecrite dans une langue marquée au sceau de la rigueur et de l’élégance dix-huitièmistes, portée par un trio d’acteurs impeccables, l’évocation de cette époque de bouillonnements intellectuels et politique ne réclame pas d’effets spéciaux. Rien de révolutionnaire dans la mise en scène, mais on n’est qu’en 1750… Du théâtre de chambre ouvert sur le monde.
L’Antichambre de Jean-Claude Brisville, mise en scène Christophe Lidon, avec Sarah Biasini,Jean-Claude Bouillon, Danièle Lebrun. Au théâtre de l’OEuvre du mardi au samedi à 21H, matinées samedi à 18h30 et dimanche à 15h30. Durée : 1h35. Tél : 01 44 53 88 88.
crédit photo : Eric Devert

Le mercredi 8 avril 2009

Dans la même rubrique
  • A voir absolument de Frédéric Tokarz
Par Jean Chollet, le jeudi 16 avril 2009
  • Le Canard sauvage d’Ibsen
Par Gilles Costaz, le lundi 13 avril 2009
  • Jules Renard est en voyage de Xavier Jailliard
Par Gilles Costaz, le lundi 13 avril 2009
  • John Gabriel Borkman d’Henrik Ibsen
Par Corinne Denailles, le mardi 7 avril 2009
  • "Reve général" de J.F Maurier et la Cie " Le Crik"
Par Jacky Viallon, le lundi 6 avril 2009
  • La cerisaie d’Anton Tchekhov
Le lundi 30 mars 2009
  • L’Habilleur de Ronald Harwood
Le samedi 21 mars 2009
  • Festival TRANS[E]
Le lundi 16 mars 2009
  • Vers toi Terre promise, tragédie dentaire de Jean-Claude Grumberg
Le lundi 16 mars 2009

samedi 18 avril 2009

Chéreau lit Guyotat les 28 et 29 avril, au Théâtre de l'Odéon (à 20 heures)


Téléphone rouge
Chéreau lit Guyotat
PAR NOUVEL OBS


Pierre Guyotat
♦ Patrice Chéreau a beaucoup aimé «Coma», de Pierre Guyotat. Il en fera une lecture exceptionnelle les 28 et 29 avril, au Théâtre de l'Odéon (à 20 heures)."

S'il y a des lectures à voir... ce sont bien celles de Patrice Chéreau

Mes pensées délivrées exprimées ICI
"Trop triste", je pense à un ami.
inutile aussi.
la mort n'est pas un tabou
EDMOND chanson de Léo Ferré que je dédie à mon meilleur ami, car il me l'a faite découvrir cette chanson, le poète Léo Ferré, il me soutient depuis si longtemps...
Les chats ronronnent quand ils éprouvent de la douleur après avoir hurlé griffé mordu les docteurs
à partir d'un certain âge la vie vous laisse en suspends entre deux abandons...
se replier sur les souvenirs fait trop mal quelquefois et c'est l'exil au passage de "nouveaux amis".

jeudi 16 avril 2009

Quelques réflexes réflexions en revenant de Dordogne... Un footballeur, évènement le dernier film de Tavernier...

Dans la série
Je repasserai je complèterai je suis en retard.....


Comment repasser par sa jeunesse, le cadre immobile de ce qui est devenu nos meilleurs souvenirs, comment ne pas trembler quand on présente quelques vétérans de son époque, à l'homme ou à la femme qui partage sa vie depuis si peu de temps....
J'ai 54 ans et je ne veux pas venir voir le temps où je serais orpheline...

"Un footballeur se construit sur ses failles", j'aime bien grâce à mon ami les journalistes et les anciens joueurs devenus consultants de Canal Plus. On apprend là plus de choses que l'on croit.
Un acteur comédien aussi...
A la recherche de sa singularité, dès l'enfance, il allait voir jouer des heures et des heures sur les stades, puis il dribble pour se battre malgré sa petite taille contre son destin ; être argentin, aller en Espagne pour la prise en charge d'un traitement médical couteux : LIONEL MESSI
Il avait une grand-mère en qui il croyait beaucoup...
C'est elle donc aussi qui croyait en lui...




évènement le dernier film de Tavernier... Dans la brume électrique


INFORMATION PRESSE
Paris, le 15 avril 2009

Bertrand Tavernier
Claude Chabrol
William Friedkin
3 réalisateurs nous parlent du polar

à partir du 15 avril sur EVENE.fr


Evene crée l'événement et vous propose un nouveau rendez-vous exceptionnel. Retrouvez, pendant 3 semaines, 3 grands réalisateurs au cours de 3 interviews autour d'un thème commun : le polar !
Bertrand Tavernier dès mercredi 15 avril :
Héritier de la Nouvelle Vague et plusieurs fois récompensé lors des Césars, notamment pour 'Que la fête commence !' en 1976, puis pour 'Le Juge et l'assassin', il a récemment porté à l'écran un polar de James Lee Burke 'Dans la brume électrique'.
Claude Chabrol le 22 avril :
Ses thèmes de prédilection : la Provence, l'étude des moeurs bourgeoises et l'hypocrisie qui en découle. Deux fois nominé aux Césars, Chabrol dépeint au travers de films noirs la société dans laquelle il évolue. Il présidait ce mois-ci le Festival international du film policier à Beaune.
William Friedkin le 29 avril :
Propulsé en 1971 par le succès du film noir 'French Connection', le réalisateur américain, récompensé par cinq oscars s'attaquait deux ans plus tard à un nouveau genre, avec son film d'horreur fantastique 'L'Exorciste'. Ce maître du film choc nous livre ici son regard sur le polar.

A découvrir dès maintenant sur
www.evene.fr

mercredi 15 avril 2009

STAGE PHILIPPE HONORE : FAMILLE JE VOUS HAIME ! 25/26 avril et 1er MAI !


Comme tous les ans voilà venu le temps de l'été annoncé, du printemps propulsé, des stages... les éclosions, les maturations, dans ce domaine aussi : le théâtre, peuvent se révéler à cet éveil réveil...
Les stages sont une période privilégiée plus attentive presqu'intime et intensive.
Philippe Honoré, je ne vous le présente plus, c'est un auteur de très beaux romans, un adaptateur créateur de pièces, un metteur en scène, un directeur de scènes, un homme de théâtre qui m'a fait sortir de mes habitudes d'école...
il y a quelques années
avec, à l'aide, grâce à un stage sur Victor Hugo.
Prendre confiance en soi, est très important.
De grands acteurs de théâtre sont passés par ses mains...
Pour les noms, le mieux c'est de lui demander, certains vous les connaissez forcément...


Philippe Honoré
propose

Un Stage de Théâtre

THEME : FAMILLE JE VOUS HAIME !
La famille, là où l’amour s’apprend : des parents, une fratrie, l’harmonie mais aussi la famille comme premiers champs de bataille : dispute, jalousie, rivalité, prise de pouvoir…
Les déclinaisons théâtrales sont nombreuses, les auteurs ayant écrits sur ce sujet sont foisons.
A la fois cocasses et graves, romantiques et absurdes, tous les styles de théâtralités seront effleurés avec comme unique but :

LE PLAISIR AU CŒUR DU JEU !


Dates : le samedi 25
de 14h à 19h
le dimanche 26
14h30 à 18h30
et le vendredi 1er mai
de 13h30 à 19h30
présentation festive du travail à partir de 18h00

Tarif : 80€

Lieu : Studio Alambic.
1 bis Rue Raffet
75016. Métro Jasmin
(ligne 9)

Contact pour renseignements et inscriptions
Philippe Honoré
alphone@orange.fr
06 07 27 51 63

lundi 6 avril 2009

TRANS...09 CIE JEAN-MICHEL RABEUX


J'y serais, j'irais, faites Théâtre ! que la vie puisse me suivre jusque là, la vie les aléas d'emploi du temps, la santé ! comme ils disent... avec le respect du aux vieux aux petits et à leurs doudous dont nous...
faites que j'y sois pour voir et ou revoir la quasi totalité des spectacles, seule ou accompagnée, j'irais joyeuse et non comme un pèlerin...
pour si peu de sous... 25 €
TRANS 09 AU THÉÂTRE DE LA BASTILLE

Du 15 au 28 juin 2009


TRANS…09 est l’alliance de la nécessité et du désir de présenter des spectacles qui ont du mal à se faire voir ailleurs !… Que rêver mieux que le Théâtre de La Bastille, à qui le Temps nous lie, pour réaliser ces délicates opérations ?
TRANS...09 ce sera donc une centaine de personnes pour une dizaine de spectacles furieux et amoureux du monde, avec, en prime, ce que nous nommons une NuitTransErotic, où la transgression battra son plein, nuit d’errance labyrinthique durant laquelle chaque artiste se proposera, vous proposera, de « donner au désir une place politique » (Jean-Marie Hordé), de donner aux désirs une place poétique.
TRANS…09 sera doux parce que tous ceux qui le composent le sont, ce qui ne veut pas dire qu'ils ne sont pas tranchants. Mais ils ont songé à la violence, à l'abus de pouvoir, et ainsi ne l'exercent-ils pas les uns contre les autres. Ils sont aventuriers, très, très singuliers, mais ils sont solidaires, ce qui se fait rare au théâtre.
TRANS…09 ne sera pas un festival, mais un festin nous TRANSportant des plaisirs du théâtre à ceux de la réflexion, de ceux de la langue à ceux du ventre. On aime manger, on mangera. Avec des surprises, des cabarets, des lectures, des interventions de toutes sortes, des débats, sérieux, très sérieux, pas sérieux. Et vous aurez même droit, mesdames et messieurs, même droit aux plaisirs interdits.
TRANS…09 ça va chauffer.
Jean-Michel Rabeux et Clara Rousseau


©photo : Huma Rosentalski, réalisation graphique : maximelemoyne.net

CRAVE (Manque)
L'Arche est éditeur et agent théâtral du texte représenté.
De Sarah Kane
Mise en scène Sophie Lagier
Avec Vincent Bouyé, Corinne Cicolari, Nathalie Kousnetzoff, Magdalena Mathieu, Christophe Sauger
Les 15, 16, 17 et 18 juin à 19h


Blanche-Neige
De Robert Walser
Mise en scène Sylvie Reteuna
Avec Aurélia Arto, Olav Benestvedt, Claude Degliame, Eram Sobhani
Les 15, 16, 17 et 18 juin à 20h45


Striptease
Création et jeu Céline Milliat-Baumgartner
Texte et mise en scène Cédric Orain
Les 15, 16, 17 et 18 juin à 22h30


Influences / Chantier de travail
De et par Thierry Collet
Les 19 et 20 juin à 17h ; le 21 juin à 15h
Quel chemin reste-t-il que celui du sang ? laboratoire
D'après le texte Moi, Ulrike, je crie de Franca Rame et des paroles de Ulrike Meinhof
Conception et mise en scène Sophie Rousseau
Avec Juliette Flipo, Eline HolbØ-Wendelbo, Magdalena Mathieu
Thierry Collet
Les 19 et 20 juin à 18h30 ; le 21 juin à 16h30
>>en savoir plus sur le spectacle

Hamlet (fragments)
Librement inspiré de la tragédie de Shakespeare
Mise scène et adaptation Vincent Brunol
Avec Nicolas Fustier, Elise Lahouassa et Mathias Robinet
Les 19 et 20 juin à 18h30 ; le 21 juin à 16h30

Un presque rien
Création à partir de textes d’Ovide
Mise en scène Elise Lahouassa
Avec Vincent Brunol, Coraline Chambet, Tristan Gonzalez, Sophie Mourousi
Les 19 et 20 juin à 18h30 ; le 21 juin à 16h30

Phèdre, pauvre folle
D’après Phèdre de Racine et Pauvre folle, Phèdre d’Eugène Durif
Mise en scène Sylvie Reteuna
Avec Stéphane Auvray-Nauroy et Eram Sobhani
Les 19 et 20 juin à 18h30 ; le 21 juin à 16h30
toujours le même fantasme
De Frédéric Aspisi
Dramaturgie, mise en scène, interprétation Frédéric Aspisi et Lise Bellynck
Les 19 et 20 juin à 21h30 ; le 21 juin à 19h30

Les Charmilles
D’après Les Charmilles de Jean-Michel Rabeux
Adaptation et mise en scène Cédric Orain
Avec Eline Holbø Wendelbo
Les 25, 26, 27 et 28 juin à 19h30

Le Corps furieux
Conception et mise en scène Jean-Michel Rabeux
Avec Eléna Antsiferova, Corinne Cicolari, Georges Edmont, Juliette Flipo, Kate France, Marc Mérigot, Laurent Nennig, Franco Senica
Les 25, 26, 27 et 28 juin à 21h30


NuitTransErotic 2e/1001
« Une nuit pour donner au plaisir une place politique, aux désirs une place poétique… »

Equipe de conception Jean-Michel Rabeux, Sophie Lagier, Cédric Orain, Kate France, Eric Sterenfeld, Netty Radvanyi, Karelle Prugnaud

Avec Arto le cheval, Béatrice Boulanger, Corinne Cicolari, Mélanie Derouetteau, Georges Edmont, Kate France, Sophie Lagier, Marc Mérigot, Laurent Nennig, Karelle Prugnaud, Netty Radvanyi, Franco Senica, Eram Sobhani, Eric Sterenfeld,…
Le 23 juin de 22h à 2h / jauge très réduite : réservation indispensable

Les clubs de rencontres de TRANS…

Les Transmatinales
1) Directeurs de compagnies et de théâtre : une histoire d’amour et de curiosités ou des égos au bord de la crise de nerfs ?
Le mercredi 17 juin, de 11h à 18h30
2) Vieillir ou mourir ? Comment évolue-t-on, ou pas, dans nos arts et nos métiers ?
Le jeudi 18 juin, de 11h à 18h30
3) S’organiser à plusieurs pour poursuivre ?
Le jeudi 25 juin, de 11h à 18h30
4) Y a t il un administrateur et un directeur technique dans l’avion des compagnies ?
Le samedi 27 juin, de 10h à 15h30
Renseignements complémentaires au 01 42 46 12 88 ou production@rabeux.fr

Les collations Transzénithales en partenariat avec l'ONDA

Le débat : Nu sur un plateau, ou, Cachez ce sein que je ne saurais voir, ou, Strip-tease, ou, A oilpé, ou, Vous avez dit voyeurs, les spectateurs ? mais non, je ne l’ai pas dit ! ou, La nuit sexuelle…

Programmes détaillés et intervenants des Clubs de rencontres en ligne très prochainement.

Les sensibles contacts avec le public
Programme détaillé en ligne très prochainement.
Pour toute information sur les activités proposées aux groupes, vous pouvez contacter Margot au 01 40 21 36 23 ou relationspubliques@rabeux.fr


Tarifs

Pour voir 1 spectacle :
- « Avec sous » : 20 euros/spectacle
- « Sans le sou» : 12 euros/spectacle
Pour voir 3 spectacles et plus : 10 euros/spectacle
« Pour tout voir ou presque » le pass TRANS 09 (hors NTE) : 50€

NuitTransErotic 2e/1001 :
- « Avec sous » : 25 euros
- « Sans le sou » : 20 euros

Tarif groupes : 8€/personne
Nous consulter au 01 40 21 36 23 ou relationspubliques@rabeux.fr

Evènements gratuits sur présentation d’un billet TRANS 09 :
- Influences / Chantier de travail
- Les clubs de rencontres de TRANS...

Vous pouvez réserver vos places pour les spectacles dès maintenant :
01 43 57 42 14 www.theatre-bastille.com

dimanche 5 avril 2009

The Watchmen - Les Gardiens



Alors, voyez-vous nous avons été déçus...
L'image des États Unis qui ont même gagné la guerre du Vietnam,
avec les asiatiques aux pieds du nouveau super grand héros, ce n'est pas possible, il faudrait quand même pas que le phénomène Obama, nous fasse tout oublier...
Et si l'image au cinéma est comme celle de la BD, à quoi bon aller voir un film.
Pourquoi pas mettre les mots d'un roman à l'écran.
Les effets spéciaux, ils ne volent même pas bien.
A propos des comédiens, le couple de super-héros est mineur, la scène d'amour est lourde à tomber d'ennui.
La fille joue figé. Elle ne tourne même pas le cou. C'est tellement fidèle à la BD que cela en est désincarné.

C'est quand même très long et la photo n'est pas très belle. C'est dénué d'humour et les bagarres sont limites clichés autant que la Citadelle Galactique.
Je n'ai aimé que la planète rouge... et le comédien au visage taché du personnage qui enquête : Rorschach joué par Walter Kowacs
Bon voilà...
2h45, il a fallu qu'on dorme un peu et qu'on en discute après à bâtons rompus autour d'une bière et d'un plat de frites...
Quelquefois, on se souvient mieux des films qu'on n' aimait pas...
C'était juste avant qu'on tombe malades tous les 2...
Qui sait, avons-nous pris un sacré coup de vieux ?
Heureusement on a payé que 3,50 € grâce à la banque BNP Parisbas.