mercredi 30 octobre 2013

le cabaret du quotidien...texte de Ludovic Lamaud avec FABIEN FLORIS, Comédien à La Loge décidément....

On .... m'en a dit le plus grand bien et du théâtre et du texte... et du jeu........
CREATION COLLECTIVE DE LA CIE DES TREIZIEMES

LE CABARET DU QUOTIDIEN

MISE EN SCENE THIBAULT AMORFINI

AVEC LUDOVIC LAMAUD

FABIEN FLORIS

ou ERWAN DAOUPHARS

Production compagnie des Treizièmes avec le soutien de la Maison ouverte de Montreuil

Contact cie des Treizièmes

17, rue Hoche 93100 Montreuil

T/06 63 76 12 50 - lestreiziemes@gmail.com


http://lestreiziemes.free.fr/


LE CABARET DU QUOTIDIEN

Au départ de cette aventure, une enquête édifiante : au Japon, il y aurait près d'un million de

hikikomori, un jeune sur dix, soit presque 1 % de la population. Ces jeunes, pour la plupart des fils

aînés, se sentent accablés par la société. Ils ont le sentiment de ne pas pouvoir accomplir leurs

objectifs de vie et réagissent en s’isolant.

Nous avons choisi la forme du cabaret pour raconter l'histoire d'un homme seul, miné par son

incapacité à regarder en face sa situation, aussi bien professionnelle que sociale. Taux de

chômage et problématiques l'accompagnant : le besoin de changer de voie, de métier, de cumuler

les emplois… Se retrouver confronté au mur de l'impossible. A travers une succession de

différents numéros en musique et en dialogue avec les spectateurs, nous allons suivre cet homme

dans son réapprentissage du rapport à l'autre.

Le cabaret, du genre performatif, en interaction avec le public, bouscule les codes du théâtre pour

mettre en éveil le sens critique de chacun.

Une pièce sombre, petite. Un lit, une table. Sur la table un ordinateur une imprimante. Sur le sol un vieux téléphone. Un

tourne disque qui joue en 45 tours un 33 tours ou l'inverse. Des câbles ça et là. Une ou plusieurs bouteilles de vodka à

moitié vide ou/et vide. Une vieille lampe rafistolée allumée. Au fond un grand rideau rouge. Sur le lit un homme en slip

pleure, une guitare aussi. (1ère didascalie de la pièce)

Le texte du cabaret est direct, brutal. Du quotidien, nous essayons de transmettre la poésie de ce

monde ainsi que son absurdité. D'où cette apparente violence dans ce texte brut. Un langage qui

cache sa peur, sa haine.

VIDEO : Lien pour entrer dans l'univers du spectacle
http://vimeo.com/58634299code13




Mis en espace à La Maison Ouverte de Montreuil, durée 15 min.


Contact cie des Treizièmes

17, rue Hoche 93100 Montreuil

T/06 63 76 12 50 - lestreiziemes@gmail.com



L’EQUIPE

Créée en mars 2007, la compagnie des Treizièmes réunit auteurs, acteurs, musiciennes, vidéastes,

photographes et metteurs en scène. Elle s’interroge sur la place de l’artiste aujourd’hui : comment mettre en

forme ses paroles pour faire entendre l’humain sur un plateau ?

LUDOVIC LAMAUD, Comédien et auteur

Formé à la classe libre de l'école Florent, promotion XXII, il approfondit son expérience en

participant à divers stage sous la direction de Philippe Adrien, Michel Fau, Jean-Michel

Rabeux, Walter Thompson. Il est mis en scène par Jean-Pierre Garnier, Gilles Bouillon,

Thomas Matalou, Avela Guilloux... Depuis 2005 il travaille régulièrement à Théâtre Ouvert

sous la direction d'Edouard Signolet sur des textes de l'auteur suédoise Sofia Freden et

l'auteur catalan Pau Miro. Il est également metteur en scène d'un spectacle de poésie

d'après Lord Byron et Percy Shelley puis Vladimir Maïakovski.

On peut le voir en tournée actuellement dans Bérénice de Racine par la cie KAEL. Depuis

septembre 2005 il est animateur permanent à La Maison Ouverte de Montreuil. En mars

2007 il est artiste associé pour la compagnie des Treizièmes. Il y met en scène Le

Treizième de Thibault Amorfini. Il est à l'origine du texte Le Cabaret du quotidien et

concepteur de la manifestation Les Impromptus #.

THIBAULT AMORFINI, Metteur en scène

En apportant son texte Le Treizième (2007), Thibault Amorfini lance l'aventure de la

compagnie des Treizièmes. A la fois auteur, metteur en scène et comédien, on le retrouve à

la mise en scène de Cirques (2009) à la Maison des Métallos ainsi que du Cabaret du

quotidien (2011) au théâtre des Cinq Diamants. Depuis il travaille sur la transdisciplinarité

au sein de la compagnie avec Les Impromptus # dont il est le directeur artistique.

Il mène également sa carrière d'acteur au théâtre avec d'autres compagnies à travers la

France et endosse occasionnellement pour le cinéma différents rôles.

FABIEN FLORIS, Comédien

Issu de l'école Florent et du conservatoire du 5e arrondissement, il s'illustre dans des rôles

du répertoire classique : Le Misanthrope mise en scène par Laurent Orry, Ruy Blas mise en

scène par Manuel Ollinger, A qui ma femme ? De Georges Feydeau mise en scène par

Ludovic Lamaud – aussi bien que dans des écritures contemporaines : Roberto Zucco mise

en scène Tony le Guern, Deux frères de Fausto Paravidino mise en scène Jean-Romain

Vesperini, Nous les héros de Jean-Luc Lagarce mise en scène Sophie Saada.

On a pu l'apercevoir dans de nombreux courts-métrages et entendre sa voix dans des films

comme Zodiac de David Fincher et Mémoires de nos pères de Clint Eastwood.

ERWAN DAOUPHARS, Comédien

Formé à l'ENSSAT, élève d'Aurélien Recoing, Redjep Mitrovitsa, Niels Arestrup et Pascal

Elso, il joue depuis 1995 dans une trentaine de pièce et travaille avec Thierry Lavat, Xavier

Durringer, Hans Peter Cloos, Benoit Lavigne… En 2007, il met en scène Imagine Toi de et

avec Julien Cottereau (Molière de la révélation théâtrale). Il assiste Jacques Weber à la

mise en scène de Le vieux juif blonde. En 2008, il fonde sa compagnie avec Quentin Baillot

et met en scène Colloque sentimental création inspirée de l'oeuvre poétique de Paul

Verlaine et de la musique de Debussy (théâtre du Chêne Noir à Avignon), puis Van Gogh, le

suicidé de la société à la scène nationale de Cherbourg. En 2011, il devient artiste associé des Impromptus #. En 2012,

il crée le collectif Denisyak avec l'auteure Solenn Denis. Une collaboration débute avec la compagnie du Soleil Bleu de

Laurent Laffargue au sein de la pépinière du Soleil Bleu. La même année, il joue dans Femme de chambre de Markus

Orths mise en scène par Sarah Capony (Prix théâtre 13). Il aborde à présent le cinéma avec l'écriture et la réalisation de

son premier film en collaboration avec Solenn Denis.




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T/06 63 76 12 50 - lestreiziemes@gmail.com


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PRESSE

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Un cabaret du quotidien en or au Théâtre des Cinq Diamants

Le tout neuf Théâtre des Cinq Diamants, repensé comme un lieu de résidence pour les jeunes

compagnies accueille pour quatre jours bien trop courts « Le cabaret du quotidien », un spectacle

faussement joyeux sur les errements de l’âme.

L’histoire tient dans la scénographie. Une porte à ouvrir nous enjoint de « frapper avant d’entrer »,

un plateau qui déborde dans le public dont les sièges sont jonchés de romans Arlequins et une

tonne de fringues jetées en pagaille sur les dossiers. Sur un lit une place, un trentenaire se laisse

aller à bouquiner en peignoir. Il se présentera plus tard » Ludovic Lamaud », « 32 ans », « Cours

Florent ». En partant de l’histoire vraie des Hikikomori, ces jeunes japonais qui choisissent de vivre

isolés, plusieurs mois, dans leur chambre, n’en sortant que pour leurs besoins corporels, le

comédien raconte son histoire.

Cette peur de passer le pallier, d’affronter les « mots », le jeune homme y est confronté. La réalité

fait irruption dans cette pièce aux détails orange seventie’s par le biais d’une facture d’électricité à

payer. Si si Ludovic Lamaud, cette lettre là, elle n’est pas pour les spectateurs, elle est bien pour

vous. Conscient de la gravité des dettes accumulées, il se met à chercher du travail, plus

précisément, des cachets, l’occasion de retrouvailles tendance SM avec un ancien pote. Merci

Facebook !

Dans ce « Cabaret du quotidien » les numéros s’enchaînent avec comme fil conducteur la solitude.

Ludovic Lamaud glisse vers le genre performatif dans un affrontement bluffant face à lui-même,

face au miroir. Le public est partie prenante de l’affaire dans une interaction bien menée. En

faisant des spectateurs des acteurs de la pièce, Ludovic Lamaud arrive à créer une cohésion entre

les individus. Le sujet de ce spectacle ne serait-il pas au fond l’apprentissage du vivre ensemble?

Le texte est livré au couperet avec vitesse et acidité dans une mise en scène surprenante où les

codes du théâtre sont bouleversés. Le Rideau ne tombe pas au moment où on le croit. Laissezvous

surprendre !

Le 20 mai 2011 Par Amelie Blaustein Niddam

http://toutelaculture.com/2011/05/un-cabaret-du-quotidien-en-or-au-theatre-des-cinq-diamants/



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dimanche 27 octobre 2013

Dexter : Télérama nous sabote la dernière saison , attention ! ils racontent la fin.... j'aime toujours autant

Télérama 

"Que dire de cette huitième et dernière saison ? Elle fut sans doute la pire. Interminable, sans enjeux forts, sans pression dramatique, sans suspense, sans même une progression vers son ultime épisode. Les scénaristes ont visiblement voulu calmer le jeu, se concentrer sur la psyché de Dexter, sur sa relation avec Deb, privilégier l’humain sur l’action. Louable tentative… totalement plantée.

L’apparition dans la vie de Dexter d’un symbole maternel, le docteur Vogel (Charlotte Rampling)  n'a duré qu'un temps rapidement évaporé à trois épisodes de la fin. L'existence d'un « double » de Dexter, le « neurochirurgien », assassin qui découpe le cerveau de ses victimes n’était pas davantage une première."

Les deux premiers épisodes étaient époustouflants, les 3 et 4 un peu moins, mais les 5 et 6 m'ont redonné la même addiction j'ai hâte de voir la suite. L'humanisation du héros principal c'est d'une simplification, ce n'est pas du tout l'axe qui me retient, ce sont les liens leur conjugaison leur complexité malgré une indifférence maladive. Le fils Harrison le regard de Dexter sur lui, comment quel modèle lui donner tout en sachant que le mensonge est permanent et malgré tout, ils ont une vraie relation de petit gars avec son papa.
Je vous donne mon avis car c'est un nouveau sport que de relever les invraisemblances des séries...
à quoi bon, mais c'est d'une idiotie comme relever les coquilles dans un livre, comme les perches son, dans les films, car quand le film est bon, on s'en fout ! Comme pour 24h Chrono le fait qu'ils n'allaient pas aux toilettes ni ne mangeaient pas !
Dans Dexter cette saison 8, il y a une excellente nouvelle, c'est le rôle du Dr Vogel, tenu par Charlotte Rampling, quelle actrice magistrale de singularité de grâce et de vérité. 
J'aime beaucoup cette série pour toute l'analyse des relations. Pour la voix off, pour sortir du cadre, pour expliquer à quel point les psychopathes sont un peu en chacun de nous. Et ce n'est pas dans la banalité... mais c'est au quotidien d'une observation minutieuse, et puis on y croit tellement.

Et cela restera  dans ma sélection des séries préférées avec Homeland et 24 h Chrono, dont on a aussi fort critiqué la fin... 

et Hannibal ? 
 sur pErDUSA
(un moyen d'être dans les premiers sur les sélections Google) plusieurs casses dans un mot, ou laisser un espace avant le pseudo) voilà un blog qui critique toutes les séries, ils assassinent Dexter (il y a plusieurs avis) aussi décidément, il y a bcp de psychopathes qui s'ignorent encore... et eux aussi relèvent toutes les invraisemblances, erreur de raccord, doublage cascadeur...

Wanda Mari Rémond Joshka Schidlow/Rebecca Manzoni Eclectik : Jeanne Moreau

http://allegrotheatre.blogspot.fr/2013/10/vers-wanda-un-projet-de-marie-remond.html

Vers Wanda un projet de Marie Rémond

Au début des années 70 sortit sur les écrans un film - comme La nuit de chasseur de Charles Laughton - à nul autre pareil. Il s'agissait de Wanda réalisé par Barbara Loden qui était à l'époque la femme d'Elia Kazan. Le personnage central est  inspiré par l'héroïne d'un fait divers  avec laquelle  la cinéaste se sentait, à l'évidence, de profondes affinités. Nulle mieux qu'elle n'aurait donc pu endosser ce rôle d'une femme qui vit de guingois. Dans le spectacle  Marie Rémond  prend la relève. Le prodige du théâtre est que ce petit bout de femme d'emblée ressemble comme deux gouttes d'eau au personnage central du film dont les traits et l'allure sont on ne peut plus éloignés des siens.
L'une des qualités les plus évidentes de cette création collective est qu'elle déjoue les classifications. Elle a, en effet, été conçue à partir d' improvisations réalisées par les trois acteurs : Clément Bresson, Sébastien Pouderoux et  cela va sans dire Marie Rémond  Et l'on passe émerveillé d'une scène du film à un épisode de la vie de cette femme pourvue de dons mais dont l'inadéquation au monde dans lequel elle échoua fut absolue.
Des scènes tragi- comiques  nous éclairent sur ce que furent les relations entre Barbara Loden et Elia Kazan Celui-ci promit à sa femme  de lui faire jouer le rôle de l'amante de Kirk Douglas dans son film "L'arrangement". Rôle qu'il confia, sans en avertir l'intéressée, à Faye Dunawaye Entortillé dans sa mauvaise foi, l'auteur de Sur les quais, A l'est d'Eden et autres splendeurs se montre tel qu'on imagine celui qui balança ses copain à la Commission des activités anti-américaines.
Si l'on ajoute que des friandises mélodiques ponctuent les récits enchevêtrés de ces trajectoires fracassées on mesurera le plaisir que procure cette représentation à la forme si ingénieusement aventureuse.  
Jusqu'au 26 octobre La Colline tel 01 44 62 52 52
http://www.journal-laterrasse.fr/vers-wanda-2/
c'est le sens pour la photo qu'a choisi La Terrasse !
"j'adore cette histoire comme celle des furoncles d'Ingmar Bergman qui l'empêchait de faire l'amour et qu'il avait à chaque fois qu'il venait en France suite à leurs nombreuses lettres échangées, rencontrer Jeanne Moreau." s/Eclectik Rebecca Manzoni.... interview magnifique (le plus beau c'est le pourquoi quand comment ils se sont écrits) elle est justement, récompensée avec un passage de confidence de Céline Sallette, sur le travail du comédien...

MARDI PROCHAIN, 29 OCTOBRE, sur France 5 documentaire HARCELEMENT A L'ECOLE

"Bonjour,

J'envoie ce courrier à un grand nombre de mes amis et connaissances, mais c'est bien à chacun de vous que je m'adresse parce que je pense que le sujet mérite vraiment 5 mn de lecture de ce mail, voire 52 mn d'attention MARDI PROCHAIN, 29 OCTOBRE, sur France 5.

Amandine Stelletta, une de mes amies, a réalisé le documentaire HARCELEMENT A L'ECOLE récemment.
Extrait Communiqué Presse : Ce documentaire propose de donner la parole à ces enfants qui subissent, quotidiennement, les moqueries, les insultes, l’isolement, les bousculades et les rumeurs des autres. Comment les aider à se sortir de cet engrenage ? Comment faire reconnaître la douleur du harcèlement ? Grâce aux différents témoignages d'enfants, de parents d'élèves harcelés, et d'ancien harceleur, ce film révèle les conséquences parfois dramatiques d'un phénomène.

Ce sujet est enfin de moins en moins caché, nié, mais il y a encore énormément à faire, et nous sommes tous des acteurs  potentiels de ce changement des mentalités, des attitudes des adultes et des enfants. Tant à l'école que dans la vie tout simplement, "tout quotidiennement".

HARCÈLEMENT A L'ÉCOLE : le documentaire (52') est diffusé MARDI 29 OCTOBRE A 20h40 SUR France 5 dans l'émission Le Monde en Face

Ici le lien vers France 5 "

je reçois ce message donc d'une amie d'une amie et sans attendre je vous le transmets

mercredi 23 octobre 2013

et Ring ? au Théâtre de la Porte St Martin

http://allegrotheatre.blogspot.fr/     
http://www.petitstmartin.com/spectacle/piece/ring
oui vous avez raison cher Joshka, ce n'est pas seulement parce que... c'est surtout à cause de lui, que je pourrais y aller.
lundi 14 octobre 2013


Ring de Léonore Confino



Léonore Confino a l'art de la saynette. Des couples dont les relations sont faites tantôt d'élan tantôt de rejet se succèdent sur le plateau. La metteuse en scène, Catherine Schaub, a eu l'idée payante de faire appel à deux comédiens dont les styles s'entrechoquent. Alors qu'Audrey Dana fait montre d'une assurance et d'une vitalité saisissantes, Sami Bouajila la joue plutôt en délicatesse. Il semble du coup au départ avoir le dessous. Mais cet excellent interprète auquel le cinéma fit souvent les yeux doux ne tarde pas à montrer de quel bois précieux il se chauffe.



Difficile de ne pas prendre plaisir à voir cette suite de courtes scènes qui sont parfois des passes d'armes d'autre fois des aveux de tendresse et de désir. La verve acide des dialogues a pour résultat que cette exploration des abimes du coeur et de la libido qui pourrait être convenue n'apparaît pas telle. "Ring" a, à l'évidence, davantage été créée pour faire des entrées que pour des motifs artistiques. Les réactions chaleureuses du public prouvent que ses producteurs pourraient atteindre leur but.



THÉÂTRE DU petit ST-MARTIN tel 01 42 08 00 32

Non oui pourtant.... Texte/ Cinéma avec les enfants : sur le chemin de l'école/ Lecture : Yasmina Reza / L'origine du monde d'excellents échos et puis au Lucernaire..../à la loge : tête de lecture avec Yves Hecq/ Musique Tété -Maison Tellier

Vite ....
un texte écrit sur mon père je n'ai pas de pseudo pour ce qui me concerne.
en bref pour Mathieu Simonet, son blog d'écrivain écoute les écrivains amateurs en sommeil....
http://lapaternite.blogspot.fr/2013/10/nathalie-feyt-n23.html

je ris le matin de l'observation cruelle et à la fois tendre distante et si lucide(j'aime bien ce mot là lucide il me tient en vie) pas une once de gras dans ses portraits nouvelles... de Yasmina Reza : Heureux les heureux
 elle cite : p 76 de Rilke Élégies de Duino : "Qui, si je criais, m'entendrait donc, d'entre/ les ordres des anges ?"

j'ai entendu les meilleurs échos de

http://www.cahiers-pedagogiques.com/Emmenez-vos-eleves-sur-le-chemin-de-l-ecole
ce sont des parents que j'aime bien qui y sont allés avec leurs 3 enfants, je ne sais pas pour les enfants, mais le papa a pleuré.... sur le chemin de l'école, ça se joue dans les cinés club, ça se joue par ex au Gaumont Parnasse, à l'Escurial, à l'Arlequin, au cinéma Le Chaplin Denfert.
http://www.allocine.fr/seance/film-210112/pres-de/?cgeocode=115755


au Théâtre du Rond Point avec une excellente comédienne qui a plus de 80 ans....
l'origine du monde


je vais aller voir je soutiens
http://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/les-sept-jours-de-simon-labrosse--3

Les Sept Jours de Simon Labrosse
Donner à voir et à entendre la pièce de Carole Fréchette dans tous types de lieux possibles (théâtres, Centres Sociaux, Maison de quartiers)


et je vais faire parti d'un comité de lecture au Lucernaire en ma qualité d'amateur de non professionnelle et j'en suis très fière car dans le mot amateur.... il y a aimer....



et je vais aller voir dimanche...... je ne peux pas.........

http://www.lucernaire.fr/beta1/index.php?option=com_content&task=view&id=1477&Itemid=56
TERREUR-OLYMPE DE GOUGES
« La femme a le droit de monter sur l’échafaud ; elle doit avoir également celui de monter à la tribune » 


et je vous conseille de réécouter les éclectiques Rebecca Manzoni Pascal Clark qui interrogent Guillaume Galienne(la différence entre imiter et incarner), François Morel Sandrine Kiberlain... des journalistes qui me laissent lucide et me permettent d'aimer
une video qui polémique et qui moi me fait rire
http://videofun.com.es/ver/98
comme les sketches de Fernand Raynaud le fromage de Hollande ré-entendu hier s/France Inter
et aussi les fleuves la mer.... quand ?

- je voudrais du fromage de Hollande
- Monsieur en France ce qui nous sauve ce n'est pas la diplomatie internationale mais qu'on a 287 sortes de fromage et en plein milieu du Cantal, vous venez me demander Monsieur du fromage d'où ?
-de Hollande

 et les éponges ah l'influence distante et révélatrice du meilleur patchwork chez l'homme France-inter et la femme aussi......

-papa, comment ça se fait que depuis des milliards d'années que les fleuves se déversent dans les océans ils débordent pas ?
- et qu'est-ce que tu fais des éponges !

à propos de textes déposés d'auteure inconnue....
voilà la news-letter à vous qui passez sans me voir sur mon blog, continuez... EN CONSTRUCTION

TÊTE DE LECTURE est d'abord une expérience à vivre, un moment d'échange, une peu aussi comme un laboratoire autour de l'acte de lire, pour et avec le public.




car dimanche je vais là, à une lecture.... un peu particulière en présence de Mathieu Simonet et sous la direction de l'acteur Yves Hecq(qui a participé au dernier clip de Tété : la ritournelle http://www.yves-heck.com/
http://www.lalogeparis.fr/programmation/theatre.php
et au Lucernaire je ne raterais pour rien au monde cette fois encore : Laurence Février/Duras
Yes, peut-être
Musique dernier album : La maison Tellier

jeudi 17 octobre 2013

9 mois ferme... que des joies,

9 mois ferme, l'envie de traverser l'écran et de les rejoindre. MERCI DE TOUTE MA JUBILATION TENDRESSE LÉGÈRETÉ; un cinéma populaire de haute voltige et beau
merci Sandrine Michel Jean Nicolas... ce que j'ai ri et au petit garçon dans le berceau....
Le Monde

Par Franck Nouchi
"Une des comédies les plus drôles qui nous ait été donné de voir depuis longtemps (...) Au nom du peuple, monsieur Dupontel, merci pour ce moment de cinéma jubilatoire !"

La critique complète est disponible sur le site Le Monde
 quand j'aime un film immédiatement et que je sens que cela va durer


quand je dis à l'ouvreuse Merci... et qu'elle me répond alors je vais y aller....

mercredi 16 octobre 2013

Lucrèce à l'Athénée, on m'a dit qu'elle était incroyable.... je veux y aller

http://www.athenee-theatre.com/saison/fiche_spectacle.cfm/153845_lucrece_borgia.html

regarder au moins écouter la video....
lucrèce borgia

texte Victor Hugo
mise en scène Lucie Berelowitsch, c'est jusqu'au 19 ?!

c'est ce que j'appelle jouer de tout son sourire de toute sa générosité un "monster"
avec Marina Hands, Julien Gosselin....
en construction.... comme si la 1ére image nous ramenait au travail du corps de Chéreau, non....

lundi 14 octobre 2013

Cie des dramaticules Halloween au Luxembourg, spectacle : les Monstres/Expo : La renaissance et le Rêve

LES MONSTRES
au Musée du Luxembourg

Accompagné par Simon Denis, créateur son de la compagnie, Jérémie Le Louët propose, sous la forme d'un récital, une anthologie de contes du 17e au 20e siècle, du conte moral à la nouvelle fantastique en passant par le poème en prose, de Perrault à Borges, en passant par Lautréamont. Cris de révolte d’alchimistes du verbe, ces textes révèlent une poésie étonnante, inquiétante et spectaculaire.

La Compagnie des Dramaticules initie cette saison un partenariat avec le Musée du Luxembourg. À l'occasion d'Halloween, vous pourrez découvrir l'exposition La Renaissance et le rêve, et assister à une représentation dans les salles du musée.

Le 31 octobre à 20h15 au Musée du Luxembourg à Paris