lundi 31 mars 2008

Avignon annoncé, Interviews , festivals sur Paris : CRAVE(manque) Chaudron/À court de forme Étoile du Nord/Art Brut la Villette

Nouvelles :
j'étais partie quelques jours et au retour les nouvelles affluent...
il y a 2 moments forts de la saison théâtrale, la rentrée et le printemps alors donc

Juste un mot de mes vacances j'étais en Dordogne, sous la pluie, mais c'était bon de s'arrêter un long temps, pour vivre autre chose... les bourgeons, les fleurs, les oiseaux et les longues nuits, le silence, dans une autre, deux autres maisons ; banal, non ! et pourtant c'est devenu un luxe.


Donc Avignon, Valérie DRÉVILLE et Roméo CASTELLUCCI qui signent et composent 2008, c'est la photo d'un visage de bébé plein comme l'espoir ou la lune. Il y aura le Partage de Midi de Claudel avec Valérie Dréville et Nicolas Bouchaud mis en scène par Jean-François Sivadier et trois spectacles de Castellucci : Inferno, Purgatorio, et Paradiso, librement inspirés de la Divine Comédie de Dante, je ne peux manquer cela sous aucun prétexte, c'est l'annonce du programme du Festival IN.

À COURT DE FORME À l'Étoile du Nord avec... là c'est sûr, j'ai envie de tout voir...
ce sont des formes courtes créations ou textes de Beckett, Sade, Duras mis en scène par Michèle Harfaut, Sylvie Reteuna, Stéphane Auvray-Nauroy, Cédric Orain, Julien Kosselek, Jean Macqueron, Éram Sobhani... avec entre autres Celine Milliat-Baumgarten, Michèle Harfaut, Éram Sobhani, Julien Kosselek, Stéphane Auvray-Nauroy...
Il y aura des lectures, des spectacles d'Ateliers, prises de paroles avec la participation de Claude DEGLIAME et Jean-Michel RABEUX et un spectacle de Danse créé par Sébastien Siroux....

Collectif TRANS au Théâtre du CHAUDRON et là cette année en épilogue ou à la suite de la saison 2007 du Festival TRANS tant apprécié...

du 8 AU 24 AVRIL
CRAVE (MANQUE)
8 - 24 avril
de Sarah KANE
Traduction: Evelyne Pieiller
L'Arche, éditeur et agent théâtral

Mise en scène: Sophie LAGIER
Avec: Vincent Bouyé, Corinne Cicolari, Nathalie Kousnetzoff, Magdalena Mathieu et Christophe Sauger
Cie ACETONE
Manque parle de la perte. Perte de soi, de l'identité, du sens.
Les "personnages" sont à vif. Ecorchés. Comme nous.
Leurs corps se cherchent, s'entrechoquent, se mêlent et se repoussent.
Leurs voix et leurs chairs résonnent.
Ils disent leurs espoirs, leurs amours, leurs impuissances et leurs blessures.
Ils disent le désir. Ils disent la mort.
Ils disent. Implacablement.
Et sont en vie. Cruellement, mais follement en vie.

Création du 27 au 29 mars 2008 – Labomatic – La Rose des Vents
Coproduction: La Rose des Vents - Scène nationale Lille Métropole, ARCADI (Action régionale pour la création et la diffusion en Ile-de-France).
Avec la participation du collectif TRANS
Avec la participation artistique du Jeune Théâtre National

ART BRUT EXPOSITION... ENTRES AUTRES : DANSE HIP HOP, THÉÂTRE, CONCERTS, PERFORMANCES, CHANTIERS... du 17 au 27 avril 2008
RENCONTRES DE LA VILLETTE
le spectacle autour de l'Art brut, je rappelle ce sont les œuvres de malades mentaux ayant subi l'enfermement psychiatrique :
L'Appartement (35') du 17 au 24/04 entre 19h et 22h-18,19,25 à 17h, 18h30 et 21h
ces déambulations sont présentées par Sylvie Reteuna en collaboration avec Bruno Decharme (galerie d'art abcd). Ces fragments sont lus par les comédiens de la Cie l'Oiseau-Mouche

les spectateurs sont invités à visiter l'appartement ou six collocataires en errance déambulent au rythme de leurs songes et des œuvres d'art brut qui peuplent leur univers....



Bon je vous parlais aussi d'interviews pour moi drôlement belles, un moment de vacances en plus... lui ai je répondu. C'est un micro trop tard...
pour se détendre, eh ! oui aussi...
Je vous livre le message de l'auteur acteur et encore élève de notre atelier : Grégory Guillotin qui accompagnait le lien pour télécharger faire passer la vidéo....
Le premier d’une série de micros trottoir faits trop tard, hommage à l’illustre et bien aimé Carlos !
‘Les micros trop tard de Ben-Guy, hommage à Carlos’
Vu que je débute en journalisme (mais je vais m’accrocher) je prépare souvent mes sujets un peu trop tard et ça donne… ça :
http://www.dailymotion.com/Ben-Guy/video/x4pejl_hommage-a-carlos-les-micros-troptar_fun

Faites tourner si vous voulez.
"Bon ok la vidéo est postée 2 mois après le décès de Carlos mais bon c’est un micro Trop Tard alors j’ai une excuse !"
je vais vous laisser et aller voir si dehors, il fait beau j'ai encore une journée de perm...
sans bureau
J'annonce prochainement des extraits (plus goûteux...) de la biographie de Maria Casarès. Je l'ai relue en dose infinitésimale pour quelqu'un que j'aime bien,
à moins que vous vous débrouillez pour en trouver d'autres bribes, notes, pages...le livre par ex...

Le théâtre selon Maria Casarès donne des mots à la souffrance la comprend, la contient, l'incarne toute entière,
dans la vie comme le dit Anouilh "on ne peut prendre toute la peine"

Et qui sait vous, lecteur, passager, intermittent de ce blog, vous, tu fais peut-être partie "des enfants qui n'ont jamais joui de l'innocente cruauté" à nouveau Maria Casarès.

Ce livre de Maria Casarès s'appelle : "Résidente privilégiée"....
Elle parle de sa vie avant 1980 entre autres : d'Antoine VITEZ et de son professeur Marcel Herrand qui jouait le Voleur dans "LES ENFANTS DU PARADIS".

En ce moment si je devais offrir 3 films à une personne cynique intelligente qui prône que toute cette injustice, ces inégalités, ce Monde, Il est ainsi fait etc...

Je lui offrirais s'il aime le cinéma : La Vie des Autres de Florian Henckel von Donnersmarck, Bamako de Abderrahmane Sissako et Trois enterrements de Tommy Lee Jones...

et puis s'il les a appréciés, seulement si, Thérèse d'Alain Cavalier
Un ami mort du sida nous avait demandé à nous ses amis, juste avant sa mort un 04 avril de cette année là, de lui mettre dans son cercueil un livre : les Mille et Une Nuits et un film : Dracula de Coppola, on ne sait jamais...

Pas de temps pour insérer des images cherchez les sur Internet.
Des images ou des mots lesquelles recouvrent les autres ?


Ah ! au fait pour des dons au SIDACTION il faut téléphoner au 110. C'EST TOUJOURS LÀ !

vendredi 21 mars 2008

MC93 Bobigny du 31/03 au 27/04 "ONANISME avec troubles nerveux chez deux petites filles..." mis en scène par JM Rabeux et joué par DEGLIAME



Je pars quelques jours à mon retour je vous parlerai du Festival TRANS du 8 au 24/04 au Théâtre du Chaudron et aussi du Festival A COURT DE FORME 2008 (DU 15/04 au 10/05) à L'ÉTOILE DU NORD
j'aurais de meilleurs liens photos mais vous savez mieux que moi chercher sur le NET

MC93 Bobigny du 31 mars au 27 avril 2008
ONANISME avec troubles nerveux chez deux petites filles

d'après le rapport du Dr Démétrius Zambacco

C'est un spectacle qui a été créé par Monsieur Jean-Michel RABEUX
et toujours joué incarné par la si belle grande dame et frappante Claude DEGLIAME
je l'ai entendu vu ressenti par le corps et par l'esprit
ce spectacle m'avait beaucoup ému comme un point limite...
j'espère que notre époque n'y retourne pas à cette affreuse implacable répression dès l'enfance.

Dans tous les cas ce spectacle est un objet d'art et de résistance
à toutes les formes de régression et d'intégrisme
contre l'éveil aux plaisirs de la chair
la délicatesse l'écoute la prise en compte de la singularité de la liberté sexuelle

Hier matin à la radio sur France-Inter j'ai entendu un énième débat
celui-là pas mal fait... sur la mort le suicide assisté.
ce n'est pas les soins palliatifs ou le droit à l'euthanasie, c'est liè,
sur tous les fronts : il faut avancer, élargir, ouvrir les bras et pratiquer "l'accueillir"
la mort et la chair sont sœurs...

la France comme pour le droit à l'avortement est toujours dans les dernières en Europe
pour le courage et la dignité des hommes et des femmes.

On va se cacher pour mourir en Belgique au Danemark aux Pays-Bas au Luxembourg...
Avec des disparités de lois, sur l'assistance et pour des minorités bien-sûr, des cas désespérés, les lois en Suisse et en Italie encadrent l'ultime recours à l'euthanasie.

mardi 18 mars 2008

Les Parenthèses orphelines de Danièle Sallenave Lucernaire jusqu’au 25 avril ET RAISONS D'ÉTAT en dvd


Les Parenthèses orphelines de Danièle Sallenave
La comédie de la vie littéraire

Paris-Lucernaire jusqu’au 25 avril

A et B sont à table. Ce sont deux écrivains, fines gueules et grandes gueules, profitant d’un dîner dans un restaurant pour parler littérature. Ils mangent et boivent goulûment. Ils affichent une petite culture qu’on devine faite de trous mais dont ils tirent une grande vanité. L’un, particulièrement ignorant, croit qu’il a écrit Andromaque (mais il reconnaîtra qu’il l’a rêvé ! ) ; l’autre corrige les titres des grands classiques, estimant, par exemple, que Crime ou Châtiment aurait été bien supérieur à ce titre idiot qu’est Crime et Châtiment. De verre en verre, nos deux tartarins de l’écriture refont le monde, déplorent leurs échecs, mettent en avant leur œuvre passée et à venir. A avait publié Henri Pottier juste avant que ne paraisse Harry Potter, B prépare un ouvrage important sur lequel il ne peut rien dire. Le serveur s’impatiente de voir ces deux clients qui ne décollent pas. A trois heures du matin passées, ils décident de réécrire Don Quichotte, d’une manière un peu illisible. Le vrai chef-d’œuvre est le livre où on ne lit pas tout, dit l’un d’eux…
Un esprit un peu oulipien
Si les parenthèses sont « orphelines », comme le dit le titre, c’est parce que l’un des écrivains ne disposent, dans sa police de caractères, que de parenthèses de droite et pas de parenthèses de gauche. Le rire de Danièle Sallenave est un peu oulipien. C’est une satire des auteurs vaniteux, mais c’est aussi un jeu sur la culture et l’exercice de l’écriture. L’auteur fait feu de tout bois pour se moquer des autres et, très certainement, d’elle-même. Jonathan Duverger a fait une mise en scène pointilliste et pointilleuse, tout en se réservant le rôle discret du serveur. Emmanuel Guillon interprète l’écrivain en VRP qui n’a rien du poète. Jean-Marie Villégier, au contraire, joue un palabreur colossal, une figure de la vie nocturne parisienne. Ils forment un duo de grands duettistes. La pièce est l’entracte d’un écrivain qui pouffe de rire quand le deuxième degré le visite alors qu’il est attelé à un travail tout emprunt de gravité. Et cet intermède, follement amusant une fois qu’il est organisé en comédie et si bien incarné, n’est plus réservé à son propre divertissement intérieur mais à tout un public qui aime la littérature en sachant se gausser de ses pompes et de ses faux pontifes.
Les Parenthèses orphelines de Danièle Sallenave, mise en scène de Jonhatan Duverger, avec Emmanuel Guillon, Jean-Marie Villégier et Jonathan Duverger. Lucernaire, tél. : 01 45 44 57 34, jusqu’au 25 avril. Durée : 1 h 15.
article de Gilles Costaz
Crédits photo : Stéphanie Poteau

Parution le dimanche 16 mars 2008


Et en DVD le dernier film de ROBERT DE NIRO avec Matt Damon RAISONS D'ÉTAT
c'est un objet d'art du cinéma et des acteurs
c'est un film sur le silence sur les erreurs de l'intuition...
c'est un film historique sur l'espionnage sous la guerre froide
- c'est compliqué ?
c'est un labyrinthe, un écrin, des questions sont laissées sans réponse, c'est un film qui demande une seconde vision...
Les acteurs sont fascinants et qui pourra dire encore que MATT DAMON ne joue pas !?

lundi 17 mars 2008

Juste avant d'aller dormir... La Vie devant soi et ces films que j'ai oublié de citer... et stage


LA VIE DEVANT SOI
d'après Émile Ajar Romain Gary dans la petite salle du Théâtre Marigny,
il est tard et j'ai perdu le texte je veux tellement bien faire mettre des liens que le texte a disparu.
Il faut aller voir cette comédienne l'émouvante Myriam Boyer, si poignante et grandiose. Elle est physique et une vieille âme, elle dépasse les critères d'actrices, enfin c'est... toutes les femmes blessées et aimantes et fortes et aussi arrimées à la terre de la tragédie au quotidien.




Et il est un peu tard mais j'ai aimé un film américain en DVD : À la recherche du bonheur de Gabriele Muccino avec Will Smith, pour tout... pour ce genre de film et d'Amérique aussi.

À la télé bien-sûr les Maupassant, le petit Fût avec Madame Tsilla Chelton...





Et un film avec Aurore Clément et Jean-Luc Bideau, il me touche et me fait tant rire ce grand escogriffe depuis si longtemps. Et Madame Aurore Clément une des seules avec Bulle Ogier a avoir cette grace indéfinissable à la Delphine Seyrig ; Mon frère se marie de Jean-Stéphane Bron, c'est un film franco-suisse. C'est drôle fin et c'est aussi délicat.
Délicatesse, il va bientôt falloir chercher le mot dans le dictionnaire.
C'est un mariage et ce n'est pas FESTEN, mais il y a des regards appuyés avec délicatesse, des conflits et des interrogations. Il y a des beautés. Allez-y voyez le bientôt.

Et puis le stage de théâtre avec Philippe Honoré cest sûr cette fois c'est pour avril, les 13 et 14...
il faut l'appeler
THEME : JOURS DE FETE

* Public concerné : Tous ceux, débutants ou confirmés, qui souhaitent partager un moment de théâtre.
* Travailler l’improvisation, l’intériorité, l’immédiateté
* Développer son imaginaire.
* Travailler la voix.
* Construire des personnages au travers de courts textes ( classiques et contemporains.)
* Elargir son champ d’interprétation.

ET…. S’AMUSER !


Tarif : 80€

Lieu : Studio Alambic.
Rue Raffet 75016. Métro Jasmin ( ligne 9)


Contact pour renseignements et inscriptions
Philippe Honoré
alphone@orange.fr
06 07 27 51 63

vendredi 14 mars 2008

Cinéma Bienvenue chez les ch'tis et "There Will Be Blood" Théâtre : L'ANTICHAMBRE ET BATAILLES



Qu'est-ce qu'il y a à voir ? au Théâtre ?
-au cinéma on le sait le film sur les gens du Nord : Bienvenue chez les Ch'tis de Dany Boon et celui avec Daniel Day Lewis..."There Will Be Blood" de Paul Thomas Anderson
Dans 2 genres très différents ?
et au théâtre dans le Privé L'Antichambre avec cette femme inestimable que j'aime tant depuis l'enfance Danièle Lebrun et dans le Subventionné : Batailles... AU ROND POINT et sans oublier le retour des Éphémères

Oui comme cela très vite je déteste les guerres intestines, le Privé contre le Subventionné
comme à l'époque on l'on dénigrait le CIRQUE jusqu'à sa quasi disparition

"L’Antichambre" de Jean-Claude Brisville au théâtre Hébertot


Dans l’antichambre du XVIIIe siècle, Mme du Deffand (Danièle Lebrun) tient salon en tentant de perpétuer l’ordre de la Régence tout en résistant aux illusions des Lumières... Elle s’entoure de philosophes brillants, mais déteste leurs pensées progressistes.

Par ailleurs, en accueillant sous son toit sa nièce Julie de Lespinasse (Sarah Biasini) en tant que lectrice, la marquise cherche à compenser sa vue déclinante, mais surtout escompte un regain de notoriété au bénéfice de ses réseaux d’influences mondaines.

Le président Hénault (Roger Dumas), son amant d’antan, continue à lui faire la cour tout en faisant preuve de diplomatie, d’adaptation et de souplesse quant à l’évolution des moeurs et des idées en cours.

En effet, le projet d’encyclopédie universelle cristallise alors un débat idéologique entre anciens et modernes où Diderot et d’Alembert vont rejoindre Voltaire, Turgot et autres Montaigne en des controverses avant-gardistes que Mme du Deffand s’emploiera à combattre avec ses convictions d’Ancien Régime.

Jean-Claude Brisville excelle à faire revivre la langue ciselée de cette époque charnière en installant dans le huis clos deux ou trois protagonistes qui s’affrontent par joutes dialectiques afin de valider les valeurs morales en pleine évolution sous l’inéluctable pression scientifique.

Il en fut ainsi par exemple du Souper, de L’entretien de M. Descartes avec M. Pascal Le jeune à l’instar de L’Antichambre pour laquelle la mise en scène de Christophe Lidon s’appuie sur un décor (Catherine Bluwal) qui va se rapetisser au fur et à mesure des scènes.

Ce judicieux concept scénographique renforcera psychologiquement l’enfermement progressif dans lequel va sombrer la vieille aristocrate qui, en résistant aux idées en effervescence, devient peu à peu à la fois paranoïaque et jalouse de sa protégée.

C’est devenu un lieu commun de comparer le sourire de Sarah Biasini à celui de sa mère Romy Schneider, mais indubitablement il fait mouche en réunissant, sous la tutelle complice de Roger Dumas, l’aura élégante de la jeune comédienne à la classe subtile de Danièle Lebrun.

Visuel affiche / Photo © Emmanuel Robert

L’ANTICHAMBRE - *** Theothea.com - de Jean-Claude Brisville - mise en scène : Christophe Lidon - avec Danièle Lebrun, Sarah Biasini & Roger Dumas - Théâtre Hébertot -

mercredi 12 mars 2008

Dédé au CARRÉ... SYLVIA MONTFORT



DÉDÉ AU THÉÂTRE SYLVIA MONTFORT
c'est à côté de chez nous avec MICHEL FAU (j'en ai déjà parlé mais à le voir jouer, j'ai cru au théâtre), ERIC PEREZ (à le voir chanter j'ai voulu prendre des cours c'est vous dire ! et on a commencé, car il est un de ceux à penser que tout le monde peut chanter...), vous pensez si je vais y aller
ah oui j'ai besoin de bouffées de joies de brassées et je suis sûre là qu'il y en a.
Je connais les mises en scène de Monsieur DESBORDES
Et écoutez ça rien que le nom de la Cie : l'OPÉRA ÉCLATE, c'est beau comme un espoir en politique...

DÉDÉ
Henri Christiné – Livret d’Albert Willemetz


Mise en scène Olivier Desbordes
Direction musicale et piano Roger Pouly
Décors et costumes Patrice Gouron

Avec Michel Fau, Eric Perez, Dalila Khatir, Sandrine Montcoudiol, Eric Vignau, Jean Pierre Chevalier, Flore Boixel, Agnès Bove, Anne Barbier, Gaëlle Pinheiro, Philippe Pascal, Frédéric Foggieri

Dédé achète une boutique de chaussures pour … recevoir incognito Odette, sa maîtresse. Mais, Denise, chef des vendeuses et amoureuse de Dédé, veille. Robert, l’ami de Dédé, reconnaît dans les vendeuses des danseuses du Casino de Paris ! Lui vient l’idée de monter une revue pour attirer les clients. Interviennent alors le mari d’Odette, un faux préfet de police, un client louche, un gréviste de la chaussure, pour que cette aventure discrète tourne pour Dédé en un cauchemar burlesque. L’honneur est sauf, enfin presque ! On s’aime mais pas dans l’ordre prévu !

Dédé créé le 10 novembre 192I, au Théâtre des Bouffes Parisiens, conserve l‘affiche pour 500 représentations. Avec une distribution éblouissante, dont Maurice Chevalier âgé de 33 ans, c’est un immense succès. Les airs comme Dans la vie faut pas s‘en faire, Je m’donne, Si j’avais su sont bissés, trissés. Henri Christiné, encore tout auréolé du triomphe de Phi-Phi, y adopte le rythme syncopé et met à la mode fox-trot, one-step. Sur un livret d’une indéniable originalité, Dédé confirme le talent de ses auteurs entraînant encore plus loin le public dans cette joie de vivre, cette insouciance qui était devenue l’objectif primordial de Willemetz, ce travailleur acharné de la bonne humeur, de la belle humeur.

Production Opéra Eclaté avec la collaboration du duo-dijon Opéra Eclaté reçoit le soutien de la DRAC Midi-Pyrénées, du Conseil régional Midi-Pyrénées, du Conseil général du Lot. Opéra Eclaté est gérée par le CIEM-Festival de Saint-Céré – association loi 1901 N° de licence 464194-95-96

Samedi 15 mars à 20h30,
dimanche 16 mars à 16h,
vendredi 21 et samedi 22 mars à 20h30,
dimanche 23 mars à 16h,
mercredi 26 mars à 19h,
vendredi 28 et samedi 29 mars à 20h30
mercredi 2 avril à 19h,
jeudi 3 avril et samedi 12 avril à 20h30,
dimanche 13 avril à 16h,
mardi 15 avril à 20h30



TARIF A ( 28 € / 23€ )

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dimanche 9 mars 2008

Festivals: de films Courts-métrages, animation et de l'Imaginaire : spectacles du Monde

A voir, à entendre au Lucernaire et au Cinéma des Cinéastes à la Maison des Cultures du Monde
Y a des lieux comme cela dans Paris où

il se passe toujours quelque chose

ICI ET DEMAIN 2008 : "Quidam dégomme" de Rémy Schaepman, sélection Courts-métrages



Rémy, étudiant à l’Ecole des Gobelins, présente lors du festival artistique étudiant "ICI ET DEMAIN" son court-métrage d’animation "Quidam dégomme". Un petit film fantaisiste où l’on voit un mouton atterrir en parachute sous les yeux d’un Parisien éberlué.
À découvrir le 13 mars à 19h30 au Cinéma des Cinéastes(17e), le 15 mars à 10h20 au Cinéma Le Lucernaire(6e), le 18 mars à 20h30 au Cube(Issy-les-Moulineaux) et le 20 mars à 19h30 à La Maison Rouge(12e).

Le film : "Quidam dégomme" (6 min 45)
Un petit bonhomme triste dans un appartement parisien. Soudain, un mouton fantasque atterrit en parachute sur le toit de l’immeuble d’en face. Cette apparition inattendue va perturber le train-train quotidien du petit homme…

Truffé d’humour et de fantaisie, ce court-métrage revigorant nous entraîne dans un univers farfelu où la routine métro-boulot-dodo est balayée par la fête. Des dessins magnifiques, un scénario original, ajoutés à une animation fluide et très réaliste, voilà un film qui mérite plus qu’un coup d’œil !

Film de fin d’études réalisé dans le cadre du DMA Cinéma d’animation à l’Institut Saint-Geneviève (Paris 6e) en 2007.
Sélectionné pour le Prix ICI ET DEMAIN 2008, catégorie Courts-métrages.

Images du film Quidam Degomme - © Rémy Schaepman

Le réalisateur : Rémy Schaepman, 21 ans

Papa agriculteur, maman psychologue. Rémy a embrassé une toute autre voie : le cinéma d’animation. À 18 ans, le bac en poche, il quitte sa Drôme natale pour la capitale, où il entre à l’Institut Sainte-Geneviève pour se former au dessin et à l’animation.
Il réalise son court-métrage "Quidam dégomme" entre janvier et juillet 2007. Dessinateur doué, il crée ses personnages et décors sur papier, puis les scanne pour les intégrer dans le logiciel Flash.

Pour réaliser "Quidam dégomme", il s’est inspiré de ses premières impressions de provincial débarqué à Paris, mais aussi de la série de bandes-dessinées "Le Génie des Alpages", qui met en scène un berger et son troupeau de brebis, aussi loufoques les uns que les autres. « Je voulais traiter du paradoxe entre l’envie de nouveauté et la peur de changer de vie, explique-t-il. J’ai choisi un personnage de mouton pour prendre le contre-pied du cliché du mouton qui suit. Et puis le mouton a un fort potentiel comique ».

Désormais inscrit dans la prestigieuse école des Gobelins (section Cinéma d’animation) , Rémy poursuit sa voie, espérant intégrer un jour l’école de La Poudrière, à Valence, au sein du studio Folimage (qui a notamment réalisé le long-métrage La Prophétie des Grenouilles).
On a hâte de voir ses prochains films (notamment le film de fin d’études des Gobelins, qui sera réalisé en 2009-2010)…




Festival artistique étudiant Ici et Demain

SOIRÉE COURTS-MÉTRAGES
Le 13 mars à 19h30
Au Cinéma des Cinéastes (7 av. de Clichy, Paris 17e, M° Place de Clichy)
Soirée gratuite sur invitation : réservez vos places au 0149 96 65 30 ou à mie@paris.fr.

Le 15 mars à 10h20
Au Cinéma Le Lucernaire (53 rue Notre-Dame des Champs, Paris 6e, M° Vavin ou Notre-Dame-des-Champs)
Entrée libre et gratuite.

Projection des 12 courts métrages sélectionnés dans le cadre de l’édition 2008 du festival :


- Le Voile de Romain Fianu
- Quidam dégomme de Rémy Schaepman
- Else de Thibault Emin
- Midnight Film de Alexis Langloisq et Charlotte Janon
- Very Short cut de Mohamed Ayad
- Tourbillons de Gilles Capelle
- Une histoire d’amour d’Etienne André
- La déchirure de Mikaël Buch
- Kadidja Osake de Minh Sourintha
- All about Yvonne de Karine Arlot
- Jérôme de Philippe Deschamps
- Les bruitards de Jean-Philippe Descoins et Antoine Thonon et Yann Lepeu

et en ouverture : On m’a fait la haine de Florentine Grelier, Prix Courts Métrages ICI ET DEMAIN 2007
Durée : 2h45


Le Voile de Romain Fianu, Quidam dégomme de Rémy Schaepman, Else de Thibault Emin, Very Short cut de Mohamed Ayad et Les bruitards de Jean-Philippe Descoins et Antoine Thonon et Yann Lepeu seront aussi projetés :

Le 18 mars à 20h30
Au Cube (20 cours Saint-Vincent, 92130 Issy-les-Moulineaux, RER C Issy ou Tram 2 Les Moulineaux)
Entrée libre et gratuite.

Le 20 mars à 19h30
A la Maison Rouge (10 bd de la Bastille, Paris 12e, M° Quai de la Rapée ou Bastille)
Entrée libre et gratuite.
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Il y a des moments de plus en plus fréquents où dans les voyages au long cours dans des cours aussi des activités artistiques dans le métro aussi hors les heures d'affluences,
à des moments où l'on sourie sa vie on se sent tout petit(avec notre jeune civilisation) et chaleureux solidaire et surtout heureux de découvrir d'entendre d'ouvrir nos horizons...

-Y a pas que du bon ailleurs... et sous prétexte que c'est ailleurs, "culture du monde" c'est bien...
-Et alors même avec ces restrictions rien ne nous empêche d'aller plus en profondeur...
la Chine, l'Inde... Le Japon, le Monde Arabe, le Brésil, L'Équateur, le Pérou...
l'Europe et Les États Unis sont plus débutants et L'Afrique Noire ?
L'Afrique Noire a été pillée mais c'est une vieille âme... Ô comme je schématise et je comprends pourquoi certaines personnes ont de l'appréhension à consulter les blogs...


Festival de l'Imaginaire
  • Japon
NÔ DE KUROKAWA - THÉÂTRE RITUEL
MOMIJIGARI (Feuilles d’Automne) par la troupe Shimo-Za, sous la direction de Yoshibu Ueno
12, 13 et 14 mars à 20h30 > Maison des Cultures du Monde


  • Maroc
LE MAWWÂL ANDALOU
avec Abdelfetteh Bennis et son ensemble
14 et 15 mars à 20h30 > Institut du Monde Arabe


  • Italie
LES MARIONNETTES DE SICILE
par la Compagnie Bradamante sous la direction de Nino Cuticchio
15, 16 et 17 mars > Maison des Cultures du Monde / Vitré

  • Syrie
ZIKR QADIRI KHALWATI - Chants soufis d’Alep
avec Mohammad Hakim, munshid (chantre) de la « Zawiya Hilaliya »
18 mars à 20h > Amphithéâtre de l'Opéra Bastille

  • Syrie / Turquie
JE T’AIME DE DEUX AMOURS
avec Kudsi Erguner et Waed Bouhassoun
21 et 22 mars à 20h > Amphithéâtre de l'Opéra Bastille


  • Mali
SORTIE DE MASQUES ET MARIONNETTES DES BOZO DE KIRANGO
Génies et animaux fantastiques des rives du Niger
24 mars à 17h, 25, 26 à 20h et 27 mars à 21h > MCM


  • Corée
YEONGSANJAE, cérémonie bouddhique
avec les moines et les nonnes du temple Bongwonsa sous la direction du vénérable Ku-Hae, Trésor National Vivant
28, 29 mars à 20h30, 30 mars à 17h > Auditorium St-Germain


  • Algérie
BEIHDJA RAHAL
Musique arabo-andalouse d’Alger
1er et 2 avril à 20h30 > Maison des Cultures du Monde


  • Irak / Espagne
NASEER SHAMMA & CARLOS PIÑANA
Les virtuoses du luth et de la guitare
4 et 5 avril à 20h30 > Auditorium de l’Institut du Monde Arabe


  • Azerbaïdjan
ALIM ET FERGANA QASIMOV
Musique spirituelle d’Azerbaïdjan
5 avril à 20h30 > Auditorium du Louvre



  • Kirghizistan
TENGIR-TOO
Musique des montagnes
6 avril à 17h > Auditorium du Louvre
  • Japon
YOSHIO KURAHASHI
Récital de Shakuhachi
7 avril à 20h30 > Maison des Cultures du Monde
  • Finlande
JOÏK, JOUHIKKO, KANTELE...
Folk et musiques traditionnelles
8 et 9 avril à 20h30 > Maison des Cultures du Monde

  • Chine
NUO DU JIANGXI ET DU ANHUI
Théâtre d’exorcisme
10, 11, 12 avril à 20h30 et 13 avril à 17h > Zingaro

  • Tadjikistan
ACADÉMIE DU MAQÂM DE DOUCHANBÉ
sous la direction de Abduvali Abdurashidov
13 avril à 17h > Auditorium du Louvre

  • Colombie
VALLENATO, GAITAS, MARIMBAS, CANTOS LLANEROS
Fiesta de músicas colombianas
15, 16, 17 et 18 avril à 20h30 > Théâtre Équestre Zingaro

2008 / EXPOSITIONS

Exposition
  • BETEL NUT BEAUTIES
Art contemporain
du 7 mars au 2 avril > Point Éphémère

Exposition
  • CAO FEI
Art contemporain
du 13 mars au 25 mai > Le Plateau / Frac Ile-de-France

2008 / TABLES RONDES

L'Immatériel à la lumière de l'extrême-Orient
- 5ÈME JOURNÉE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL
Mercredi 26 mars > Maison des Cultures du Monde

Table ronde
-LE THÉÂTRE RITUEL MASQUÉ
Jeudi 27 mars à 17h > Maison des Cultures du Monde


Corée
-YEONGSANJAE, cérémonie bouddhique
Samedi 29 mars à 11h > Auditorium St-Germain


Colombie
-MUSIQUES ET TRADITIONS ORALES COLOMBIENNES
Lundi 14 avril > Maison des Cultures du Monde

jeudi 6 mars 2008

Ateliers de pratique théâtrale du 15 avril au 10 mai 2008 suite...

Ateliers de pratique théâtrale
A Court de Forme 2008

A Court de Forme vous propose cette année (Inscriptions avant le 30 mars)
deux ateliers de pratique théâtrale du 15 avril au 10 mai 2008.

Les groupes sont ouverts à tout le monde :
amateurs de théâtre, élèves-comédiens et comédiens professionnels.
Peu importe votre niveau de compétence ou d'expérience théâtrale.
Seule compte une réelle motivation
et votre investissement dans un projet commun.
Ces ateliers ne sont pas des cours de théâtre.
Ils offrent simplement un espace de travail et de recherche
avec des metteurs en scène et comédiens.

Ils nous permettent de nous interroger ensemble
sur la pratique théâtrale et sur les formes qu'elle peut prendre.
Nous préparerons durant un mois
une présentation publique commune aux deux groupes
qui aura lieu le samedi 10 mai à L'étoile du nord.

Cette présentation publique
fera partie intégrante du programme d'A Court de Forme.

« Le mythe d'Iphigénie »
Groupe dirigé par Cédric Orain
Ce qui m’intéresse dans ce mythe, c’est le sacrifice d’une fille par son père, «une fille sacrifiée
pour du vent » (comme le disait Hugo).
Le travail de cet atelier s’oriente particulièrement vers le récit du sacrifice :
Ce récit peut être pris en charge avec un texte (Iphigénie à Aulis d’Euripide et Iphigénie de
Racine).
Ce récit peut être pris en charge sans texte, et nous utiliserons alors les corps et les imaginaires
de chacun pour inventer une écriture à même le plateau.
Chaque participant devra se confronter à ces deux types de travail :
- Il choisira un extrait en rapport avec le thème du sacrifice dans Iphigénie à Aulis d'Euripide et Iphigénie de Racine.
- Il proposera un matériau (chant, danse, objet...) qui selon lui fait un lien avec le sacrifice
d’Iphigénie.


« Quand le silence devient audible »
Groupe dirigé par Eram Sobhani
Le silence prend une place grandissante dans l'écriture théâtrale, dans la mise en scène et dans
le jeu de l'acteur.
C'est pour interroger cette place - au sein de l'écriture et hors de l'écriture - que je propose cet
atelier :
Que faire du silence dans les écritures contemporaines, comme celles de Maeterlinck, de
Beckett ou de Jon Fosse ?
Quel pourrait être par ailleurs un théâtre sans texte ? Comment faire du théâtre sans texte ? En
tant qu'acteur, je suis interprète ou créateur ?
Chaque participant devra se confronter à ces deux types de travail :
- Il travaillera une scène de son choix dans les trois oeuvres contemporaines proposées.
- Il proposera un moment scénique sans texte, qu'il pourra développer ensuite avec d'autres
participants.

A COURT DE FORME – TROISIÈME ÉDITION

A COURT DE FORME est un regroupement ponctuel mais régulier d’artistes qui
pensent avoir une démarche artistique commune.
Ces artistes travaillent de manière libre et indépendante, à la création d’une forme courte. Aucune règle
ne leur est imposée par le collectif, en dehors du temps de plateau. Ils se
réunissent pour un moment de vie théâtrale. Leurs univers, leurs routes se
croisent le temps d’une création.

A COURT DE FORME propose donc chaque soir un seul et unique spectacle, composé
de plusieurs formes courtes ; spectacle se revendiquant protéiforme. Une
démarche artistique commune aux participants, l’entrelacement des
distributions, un même espace scénique, donnent à voir aux spectateurs une
représentation aux multiples facettes qui trouve sa cohésion dans la différence.

A COURT DE FORME possède donc un caractère « ludique » pour le spectateur, qui
passe d’un univers à l’autre, tissant les liens de son côté. Cette structure – mais
seulement la structure – pourrait s’apparenter à celle du cabaret, dans lequel
l’addition des numéros raconte bien autre chose qu’une histoire.

En avril mai 2006 A COURT DE FORME présentait 7 formes courtes au théâtre de
l’étoile du nord, des impromptus, des chansons, une exposition, des ateliers.
A COURT DE FORME a regroupé 6 metteurs en scène, 25 interprètes,
2 plasticiens, 3 chanteuses.

Cette année, A COURT DE FORME sera encore un état des lieux explosif de notre travail.


Renseignements pratiques
Ces ateliers sont entièrement gratuits
Les participants s'engagent à venir
à toutes les séances de travail ainsi qu'à la présentation finale
--------------------
Feuille d'inscription à retourner avant le 30 mars 2008
à l'adresse suivante
Eram Sobhani – 71 rue Pajol – 75018 Paris
Une réponse définitive vous sera donnée le 7 avril 2008
--------------------
Séances de travail
du 15 avril au 10 mai 2008
du mardi au samedi de 10 heures à 13 heures
à L'étoile du nord
16 rue Georgette Agutte – 75018 Paris
M° Guy Moquet ou Porte de Saint-Ouen
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Présentation finale
le samedi 10 mai 2008 à 15 heures
à L'étoile du Nord
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Renseignements : Eram Sobhani au 06 23 08 37 18
---------------------
Feuille d'inscription
Nom ________________________________________
Prénom ________________________________________
Adresse ________________________________________
________________________________________
Téléphone ________________________________________
Adresse email ________________________________________
Age ________________________________________
Profession ________________________________________
Formation ou expérience artistiques éventuelles :
Atelier choisi (rayer l'atelier non choisi)
Le mythe d'Iphygénie
Quand le silence devient audible
Joindre une feuille séparée pour expliquer vos différentes motivations

mercredi 5 mars 2008

Atelier Théâtre inscription jusqu'au 30 mars pendant Festival : A court de Forme

Il faut absolument se déplacer jusque là n'hésitez pas le théâtre est dérangement, est politique, est intelligent est modernité est humain aussi...
Un atelier gratuit avec des gens que je connais et dont l'engagement artistique est au dessus de tout soupçon...
A l'ÉTOILE DU NORD théâtre du 18ème arrdt
- Ils sont jeunes, la plupart ?
- Et alors ils sont exigeants, ils ont arraché perpétué leur expérience.
- Ils ne donnent pas dans toutes les formes du théâtre, à leur Courtes Formes ?
- Non c'est un choix un style c'est qui sait une vision une attitude qui embrasse le présent et le futur
- C'est une recherche de style une astreinte
- C'est une fête, un "festin nu" où tu peux venir t'asseoir ?

Je vous transmets le mail "tel quel"et si vous n'avez pas tous les détails pour l'inscription à l'atelier vous pouvez aussi prendre contact avec eux avec moi....


Une nouvelle édition d'A Court de Forme est en préparation.

A Court de Forme propose un atelier gratuit et ouvert à tous, pendant toute la période de la manifestation.

Vous trouverez ci joint un feuillet de renseignements. Les inscriptions doivent être déposées avant le 30 mars.

Pour plus d'information sur A Court de Forme, http://www.myspace.com/acourtdeforme

N'hésitez pas à transférer ce mail à toute personne intéressée.

à très bientôt



mardi 4 mars 2008

“Le théâtre construit de l’humanité. Faudrait-il laisser ce rôle aux imams ou aux curés ?”Ariane Mnouchkine




La colère d’Ariane Mnouchkine : “Le théâtre construit de l’humanité. Faudrait-il laisser ce rôle aux imams ou aux curés ?”

Publié le vendredi 29 février 2008 à 19h12 TÉLÉRAMA | LE FIL ARTS ET SCèNES | Tags : théâtre politiques culturelles




Très remontée contre la politique culturelle du gouvernement, la directrice du Théâtre du Soleil manifestait aujourd’hui rue de Valois pour soutenir le spectacle vivant en danger. Et pour qu’on reconnaisse enfin l’utilité de l’artiste dans la cité. Fabienne Pascaud a recueilli ses impressions.


La directrice du Théâtre du Soleil, Ariane Mnouchkine, était au grand rassemblement des metteurs en scène du théâtre public mercredi 27 février au Théâtre de l’Odéon ; et à la manifestation ce vendredi après-midi, rue de Valois. Elle nous livre son point de vue, à l’heure où nombre de gens de théâtre et de danse s’insurgent contre les restrictions budgétaires et le désengagement de l’Etat, qui menacent chaque jour davantage le spectacle vivant.

Télérama : Le théâtre public français est sans doute le plus richement subventionné du monde, et le mieux réparti sur un territoire national. Ne redoutez-vous pas que vos revendications passent pour celles d’enfants gâtés éternellement insatisfaits ?

Ariane Mnouchkine : Justement, c’est souvent ce qui se passe. Dès que nous ouvrons la bouche ou prenons position, nous sommes rejetés dans une espèce de nomenclature, de privilégiature. C’est injuste à 90 %, mais on s’appuie toujours sur les 10 % restant pour nous faire passer pour des nantis. Notre public, celui qui va au théâtre, sait pourtant bien, lui, que c’est faux. Que les subventions permettent surtout que le prix des places soit à peu près abordable au plus grand nombre. Même si c’est encore trop cher pour beaucoup, qui nous demandent de plus en plus souvent aujourd’hui des tarifs réduits …
Si la subvention du Théâtre du Soleil est restée stable en 2007, et semble devoir ne pas être diminuée en 2008, pour les plus petites compagnies, pour les petites structures, pour les vocations originales naissantes, la réduction actuelle de leurs subventions de 4 à 6 % est totalement destructrice. On préserve pour l’instant les installés, mais on rejette les talents neufs. C’est redoutable pour l’avenir.

-Mais notre politique culturelle reste une des mieux dotées ?
C’est vrai que depuis le grand rêve du Conseil national de la Résistance, la France a, depuis la fin de la guerre, toujours eu un réel souci de sa culture. Et alors ? La fameuse « rupture » de monsieur Sarkozy signifierait donc de ne plus avoir ce souci-là ? Ou de faire en sorte que ce souci paraisse désormais démodé, déplacé, illégitime ?

-Nous ne pouvons plus ignorer que nous n’avons pas affaire à un gouvernement « normal », mais à un gouvernement « anormal ». Rappelez-vous le premier geste de Nicolas Sarkozy à peine élu : il a préféré saluer les représentants du CAC 40 au Fouquet’s plutôt que se précipiter place de la Concorde, où l’attendaient depuis des heures ses propres électeurs. Comment ne pas tirer leçon d’un geste si vulgaire ?

-Mais on pourrait vous rétorquer que, avec la baisse des subventions, on pourrait construire des hôpitaux, des logements sociaux...

-Il est vrai qu’on peut dire au Théâtre du Soleil qu’avec notre subvention on pourrait construire trois logements sociaux, par exemple. Et nous, avec cet argent, que construisons-nous ? Nous construisons autre chose. Nous construisons, je crois, de l’humanité. L’art sert à cela, à faire de nous des femmes plus humaines et des hommes plus humains. La culture, c’est le processus d’éducation, d’humanisation, de construction des citoyens. Faudrait-il laisser ce rôle aux curés ou aux imams ? Dans chaque chef de troupe, il y a un instituteur qui ne sommeille pas. Si on le néglige, seul le religieux ou la prétendue loi du marché éduqueront nos enfants.

-Mais comment éviter le piège du corporatisme, qui semblait planer au début du rassemblement de l’Odéon, où le public n’était pas convié ?

-Nous devons nous inscrire dans un mouvement national large. Ce qui nous arrive ne touche-t-il pas aussi d’autres secteurs, comme celui de la justice, de la santé, des universités, de la recherche ?

-Comment ?

-Il faut réussir à clarifier pour tous le rôle des artistes dans la société. Nous devons réussir à faire dire aux citoyens ce qu’ils estiment être nos droits et nos devoirs. Ce qu’ils attendent de nous. Les écouter. Et en discuter avec eux. Puis établir, rédiger une sorte de charte, un pacte à mettre en œuvre entre le public… non… pas seulement le public, entre les citoyens et nous, artistes ou artisans d’art de toutes sortes et de toutes disciplines.

-Est-ce réalisable ?

-Je ne sais pas. Je le souhaite ardemment depuis longtemps. J’aimerais pour cela que se réunissent des groupes d’hommes et de femmes de théâtre, des écrivains, des musiciens, des danseurs, des circassiens, des économistes et de nombreux simples citoyens, public ou non public. Ces derniers nous diraient quelle est, selon eux, notre utilité. Ainsi, elle ne serait pas toujours auto-proclamée par nous-mêmes.

-Ne craignez-vous pas que la mobilisation d’aujourd’hui ne fragilise encore davantage la ministre de la Culture, Christine Albanel ?

-Il ne s’agit pas d’elle, ni évidemment de réclamer sa tête. Bien que je pense que, depuis longtemps, elle aurait dû démissionner de ce gouvernement « anormal » où elle ne peut rien faire.

-Vous pouvez avoir pire après les municipales.

-Bien sûr, le pire est toujours possible, sinon probable, mais je le répète, pour nous, aujourd’hui, le mal se situe bien au-delà d’un simple ministre.

Propos recueillis par Fabienne Pascaud

A VOIR :

Après une tournée internationale, ne pas manquer la reprise - jusqu’au 20 avril à la Cartoucherie de Vincennes - des splendides “Ephémères” : la dernière saga épico-intimiste d’Ariane Mnouchkine et du Théâtre du Soleil. Tél. : 01-43-74-24-08.

lundi 3 mars 2008

"la place dévolue à la culture"/quelques livres de théâtre : nouvelle traduction de Lorca, Tchekhov et Chéreau biographies, essais

Les manifestations au Théâtre de l'Odéon suite... des metteurs en scènes, acteurs... la politique culturelle des municipales dans un article de l'Humanité
Ce qui se joue à l’échelle des villes - et on sait quel rôle de défricheurs assument en la matière les municipalités communistes - et des départements, c’est aussi la place dévolue à la culture, et singulièrement

à la création. Cette dernière est trop souvent délaissée - et dans des municipalités de gauche aussi - au profit de la seule diffusion de spectacles et à la promotion de « ce qui plaît », comme si le grand public se destinait à une éternelle répétition du spectacle télévisé. C’est à l’imagination qu’il faut donner plus de pouvoir.

Tchekhov, biographie
essai deux livres

Lorca, je vous ai parlé de lui, sa pièce Yerma jouée pour la 1ère fois au Français(c'est à dire à la Comédie Française)
et là toujours dans un article du Monde il est question d'une nouvelle traduction...

Chéreau enfin une biographie de Colette Godard, avec une postface signée par son décorateur Richard Peduzzi (ART. de Libération)

dimanche 2 mars 2008

Autre spectacle de théâtre annoncé POUR ENFANTS


Oui nous jouons le 13 Avril à "la fenêtre" 77 rue de Charonne 75011 PARIS notre pièce :
"Les trois voeux du roi boulou".
C'est un dimanche horaire à préciser. Alors si vous voulez venir nous encourager ce serait gentil. Vous pouvez inviter des amis avec des enfants entre 3 et 7 ans. Nous demanderons certainement une participation d'environ 3 euros par personne ... alors à vot bon cœur messieurs dames.


Il y a un roi et une servante ou une secrétaire ? une sœur ou une nounou : Anne Guyot et c'est aussi l'écrivaine de ce beau conte mis en pièce. Je l'ai lu avec gourmandise retrouvée de mon enfance.
Le roi Boulou c'est un roi aux allures de princesse... Chut, les enfants, et il y a un pâtissier un méchant une fée bien-sûr et une fin...

Le 13 avril c'est pas demain mais pour se préparer pour aller au théâtre faut bien 2 mois,
1 mois, 15 jrs derniers délais, mais ramenez surtout les enfants....

Films tous azimuts/résolutions pour Art de vivre en soi/ Théâtre ? en rebellion




Bougez mangez des Fruits et des Légumes tout ce qu'il y a de plus cher sur le marché, je vous ai dit déjà sur ce blog que j'en avais déjà croqué du régime de l'avant de l'après régime du mécontentement de soi du pré-diabète du signe extérieur voyant et grosseur annoncée...

Bon il faut de la douceur car bien des dérives et des blessures des isolements des désamours se cachent sous la carapace.
Un moment la seule rébellion, c'est tendre à la compensation, aller vers l'immobilité, seul sur le canapé ingurgitant du télévisuel puis le sommeil vous anéantit. Il en faut de l'indolore après des douleurs dont on ne parle plus. Les chauds et froids affectifs, leur enfouissement qui aurait pu vous, nous précipiter jusqu'à l'anéantissement.

Je ne suis pas psychologue et comme tout le monde j'ai eu mon lot...

...J'ai fait du théâtre
- Et alors c'est une thérapie

Vous entendez cela dans bien des interviews, alors que le sujet soi moi on en sait peu sur soi-même et quand je raconte je cache j'oublie etc...

Le théâtre dérange mais ne conforte pas il vous fait fréquenter le corps les miroirs l'inconscient mais comme le psy le yoga, il vous donne des pistes, à nous de les reprendre seul et ce ne sera pas sans efforts.

L'effort c'est un menu à personnaliser... que ce soit pour la respiration le travail du corps l'apprentissage du texte.
Il y a beaucoup de gens qui ont été malmenés et qui adultes ont des refus, des blocages irrépressibles.

Le théâtre m'a appris à me battre, à me faire respecter à procéder par étapes et à attendre le tendre éveil réveil d'un jour, d'un nouveau jour, à chaque jour suffit sa peine.

Le théâtre la vie : EN FAIRE et faire avec
car c'est tout de même mieux d'apprendre encore, de se revigorer, de goûter les diverses saveurs et de jouer...
Passeur, passeuse mais quand même ?
-mais alors !
-On n'aide pas tout le monde, on peut blesser, casser, se heurter.
-Absolument, il faut ne pas être pas trop conciliant.

Et puis quelquefois ne plus supporter démissionner un temps
Et puis les envols les renouveaux sont reportés ajournés
Et puis qui sait avec une nouvelle inspiration un changement d'habitudes

Un seul conseil ne pas arrêter d'aimer, d'être amoureux même platonique et d'avoir des égards pour tous ceux qui voyagent avec vous quelqu'ils soient.

Ne pas se culpabiliser ne pas se décourager plus qu'il ne faudrait.

Se bouger mieux manger ne pas s'abrutir de médicaments c'est mieux quand on peut,
mais ce n'est pas tout il faut aller partout sans peurs ni rejets : au cinoche, au théâtre au concert à l'opéra chez le libraire chez les bourges chez les malchanceux chez les imbus les vieux les jeunes .
Je clame le mélange des genres des saveurs l'ouverture mais je n'ai pas beaucoup voyagé plus en rêves qu'en réalité...
Il faut il faut décider vouloir se relever jusqu'à la hauteur du cœur
...

-Mais dis-donc ma Douce...
-Qu'est ce que j'ai fait, j'ai vu comme films cette semaine pour en arriver à ces délires ? je vais tout vous dire...

Eh bien ! une vidéo, un petit film plein d'humour : SOCIÉTÉ GÉNÉRALE MERCI ! dont je vais vous délivrer ici LE LIEN avec un Mr Bean jeune et séduisant : Grégory Guillotin.




Un moyen métrage : SILENCE ! on voudrait s'aimer d'Alain Minot, un talisman un jeune homme avec un chien rencontre une fille au Bois... et ils se reconnaissent se fondent dans leurs fictions et nous nous y passons par leurs rêves en images inspirés par tous les âges genres du Cinéma. C'est beau élégant cultivé et drôle et bourré d'un plein de vie d'idées.

en DVD
Black Snake Moan
de Graig Brewer avec les étonnants Samuel L. Jackson et Christina Ricci
C'est une jeune blanche enchainée à un vieux noir, qui chante un blues sombre et puissant à ses heures. C'est dans le Sud des États Unis, tout a déjà été brûlé : les petites villes les terres les corps la chair et les âmes, c'est un blues qui appelle à la rédemption.
La jeune blonde elle est enchaînée au sens propre.
C'est le film de cette musique là, dit le réalisateur.



à la télé
alors là il y a du tout et du n'importe quoi Eragon de Stefen Fangmeier ?! j'adore à mes heures les films les sagas d'aventures et les dragons bleus



un film italien Libero de Kim Rossi Stuart sur des gens qui vont... malgré tout, dont un petit garçon une grande sœur un père, une mère, qui se séparent encore et comme toujours...


un film africain du Tchad : Daratt (saison sèche)
Le réalisateur s'appelle Mahamat-Saleh Haroun, quelle beauté aussi quelle absolue simplicité de couleurs ; les acteurs sont amateurs quelle tension de jeu.
l'Afrique comme dans Bamako est toute autre, elle n'est pas celle que montrent les occidentaux. Je le sais intimement. Un au delà du film, fondateur, comme dans les tragédies, les grandes tragédies antiques. Et cette saison là finit bien mieux...






Un film français : Cœurs d'Alain Resnais, ses derniers films sont des pièces de Théâtre où l'on se déplace dans un décor qui tourne, autour des acteurs personnages hors le temps de théâtre et dans le quotidien. C'est drôle et dans cette boule magique qui nous contient sous la neige on est comme des visiteurs d'appartement et contenus par chaque rapport entre les êtres drolatiques et complexés et humains.

au cinéma

PARIS de Klapisch du bonheur profond hors la consommation la superficialité pour tout et pour tous. Avec l'extraordinaire Karine Viard dans la boulangère. Dupontel dans le vendeur de fruits légumes su le marché et Romain Duris beau à tomber et danser danser toute la nuit et les enfants et les durs et les modes différents d'êtres avec les vais gens. Les évolutions les révolutions internes à pas de loups et la chance incroyable d'être en vie à Paris. Belleville Montparnasse... Je me demande que fait Monsieur Klapish il observe le monde entier à travers son quartier


ELLE S'APPELLE SABINE
un film sur l'autisme, vous me direz ce n'est guère tentant...
c'est indispensable à un moment de porter une affection touchante et de rester à distance des gens que l'on aime pour les aider quand ils s'auto mutilent se prostrent mordenr et crient
c'est comme ça ce film très fort et simple c'est un film constituant et revivifiant qui consulte avec enfin tous les moyens d'un film c'est à dire modeste et là dans le présent l'action de tourner de mélanger les photos les vidéos les tracés du passé du pire et du meilleur et cet essai à recomposer la vie fermement

il y a pour chacun une folie en réduction on est tous en puissance l'absolue défense révolte agressivité folie épilepsie repli végétatif enfermement on est tous celui qui voudrait crier quand on la fait se voir dans une glace avec 38kg de plus et se revoir dans un film de ses 20 ans où elle est si belle elle nage elle voyage elle joue du Schubert au piano
on voudrait mordre notre raison quand on mange un seul dessert au lieu de deux...
Qu'est ce qui produit quel choc pour aller vers cet anéantissement de soi cet "enfermé dehors"?

C'est un film que j'ai vu dans une des 2 seules salles où il est distribué

Chapeau bas Madame Sandrine Bonnaire pour ce film sur votre sœur Sabine sur votre dédicace à mes sœurs.
Enfin pour une fois j'ai compris l'évangile on pourrait tous être frères et sœurs et se donner à l'âge de ce progrès tout l'univers et les moyens et les douceurs pour se grandir et s'entraider et traiter haut et fort tous les autres, ceux qui font de la reculade qui remettent le crime d'état et l'enfermement et l'abrutissement et l'étriqué des conventions les traiter haut et fort : d'ENCULÉS
Mais tout est complexe tout est stratifié d'avancées de blocages et de reculades et de progrès qui n'en sont pas. La complexité est sans limites ; elle déconstruit annihile enferme autant qu'elle innove.
La frustration est à son comble. Les rejetés et les laissés pour compte sont à tous les coins de rues et du monde et on doit se battre pour les conditions de survie de quelques fous...
Oui quand vous aurez passé plus d'un heure avec Sabine, vous serez convaincus de tout entreprendre pour aider ceux qui le sont autistes adultes et qui sait pendant ce temps ce vieux monde(tout est relatif !) surnagera. Ils détiennent quelques uns de nos secrets.

Le théâtre, les metteurs en scène les plus connus manifestent en rangs serrés leur désaccord avec la politique culturelle, les subventions deviennent des peaux de chagrins.

Et quoi voir au Théâtre ? Là tout de suite pour les vacances ?

Batailles de Topor au Rond-Point Les Éphémères bientôt à la Cartoucherie et l'Opéra The Rake's Progress de Stravinsky mise en scène Olivier Py
et la pièce d'Eugène O'Neill au Lucernaire avec Laurent Terzief : HUGHIE
et Voltaire's Folies de Gérard Marot au Théâtre de L'Oeuvre


et la musique
Je n'ai pas la mémoire exercée aux mélodies, à la reconnaissance des airs, notes, refrains, accents, accès. J'y vais toujours un peu à blanc quoique les musiques entendues dans mes premières années je m'en souviens un peu mieux maintenant...
et surtout celles qu'on m'a données mais alors il faut que je les écoute après, oh ! bien une centaine de fois...
mais à l'écoute vagabonde, certaines musiques me plaisent et me font me concentrer : musiques qui m'allongent comme sur une plage de temps plus calme, beaucoup de classiques et des chansons...
Et un ami que j'appelle mon Tonton, un grand ami, qui vient de perdre son compagnon de vie vient de nous offrir 2 CD intitulés : "quelques musiques que Philippe aimait tant..."
donc je les ai écoutées une dizaine de fois et c'est un cadeau avec un supplément... d'âme,
je vous en offre le déroulé des titres que je préfère :
Le monsieur et le jeune homme Juliette Gréco /Wo die schonen Trompetten blasen et O Mensch gib Acht de Mahler/les Gymnopédies 1 et 3 de SATIE-DEBUSSY(une est dans le film PARIS) /Alexandre Nevski de Prokofiev /les pêcheurs de perles de Bizet /Orpheus with his lute de Vaughan-Williams /Aria des variations Golberg / la mort d'Ophélie de Berlioz /Adagio du concerto en sol de Ravel...

Il en faut du temps sans sortir, sans jogger, sans bouger... pour ce blog aussi
et devient-on gros de musique ou d'amours enfuies, à écouter de la Musique
ou alors faut-il être prêt à danser comme à l'intérieur de soi et commencer à bouger et à pianoter sur le clavier de l'ordinateur en rythme.

Vivement des fêtes avec des amis pour qu'on y danse sur la musique : gros grands courts et vilains... car "on ira tous au Paradis"

C'est quoi pour vous le Paradis demande un pasteur dans le film du Sud sur le blues et elle répond c'est Ronnie...

Expo
en passant devant le Vieux Colombier j'ai découvert qu'il y avait une expo de photos sur Christine Fersen, une très grande comédienne de la Comédie Française, vous la voyez en Médée d'Euripide et vous comprenez quelle mer il faut déchainer en soi pour aborder ces rôles.
Sur les programmes des prochains mois Cyrano de Bergerac d'Edmond Rostand va revenir et il y aura Yerma de Fernando Garcia de Lorca, pour la première fois du 20 mai ou 29 juin.
avec Christine Fersen(une voix) et Madeleine Marion, je puis vous assurer que c'est "une pièce qui parle aux femmes"... une pièce que j'aime fort et qui n'est jamais jouée. Lorca c'est comme mon film du Tchad Daratt (saison sèche) de la Tragédie contemporaine et avant tout, comme les pièces d'Olivier Py : de la Poésie.