lundi 10 novembre 2025

La décalcomanie

“Une pièce manquante”

25/26



Cette pièce là, la  décalcomanie est une bouffée, une fenêtre ouverte sur l’avenir car comme disait David Hockney “on annule pas le printemps” même depuis l’automne.. Et j’étais là avec notre nièce et mon Cher compagnon au jour le jour nous étions là pour la première. 
C’est une création une pièce écrite et mise en place avec la collaboration “de commanditaires non professionnels” dans la direction de rendre au théâtre sa démesure d'engagement pour une réflexion révolution à venir “de velours” ou de fleurs et tournée vers un avenir avec plus de partage des libertés, de l’égalité, de la fraternité et avant tout “pour tous” : La paix. 
Et avec ces comédiens de tous âges plutôt jeunes et de toutes confessions tous territoires  c’est comme possible on le touche du doigt. Et on rit aussi quand sont représentés à L’est comme à L'ouest toutes nos réalités et notre probable avenir… si rien n’est tenté si la résistance s’émousse. 
Dépêchez-vous d’y aller pour être utile et mobilisés encouragés vers des lendemains respectueux et responsables en tant que VIVANTS.
Le conseil scénographie : Nathalie Savary
Les costumes: Annie Melza Tiburce
Les acteurs : Nathalie Beder, Maly Diallo, Bilal El Mehia, Alban Fèvre, Paola Valentin 
Musiques : Ayana Fuentes Uno 
Régie Guillaume Pons
Production Gaspard Vandromme, Manon Sarrailh
Mise en scène Julien Kosellek 
Texte de Magali Mougel 


Une pièce commandée par Aminata, Anne-Marie, Annick, Annie, Cécile, Christine, Claire, Clément, Etienne, Hermine, Jane, Jean-Christophe, Jeanne, Laure, Lise, Marie-Agnès, Marie-Claude, Marie-France, Marion, Solenn, Sophie-Clarisse, Véronique, Xavier et Yuna 

Coordination et médiation Lucie Cabiac et Gaspard Vandromme




lundi 3 novembre 2025

Harvey Keitel

Chercher l’intrus ? Depuis plus de vingt ans Harvey Keitel est en photo derrière la porte de mon appartement puis du nôtre 
Depuis que j’ai vu Bad Lieutenant d’Abel Ferrara et la leçon de piano et puis d’autres films je voue une admiration sans aucun frein à cet acteur immense.
Hier soir j’ai mieux compris pourquoi en regardant un documentaire sur lui sur Arte. Il est disponible sur Arte boutique pour ceux qui n’ont pas la télévision. 
C’est rare qu’un doc me laisse songeuse toute une partie de ma muit.
Son alter ego Martin Scorcese le voulait pour jouer le rôle principal de Taxi Driver mais lui, trouvait que ce rôle était plus légitime pour son ami Robert de Niro…   
https://boutique.arte.tv/detail/harvey-keitel-a-lombre-des-tenebres
Ou en direct sur YouTube 

mardi 21 octobre 2025

La Jalousie

Quelle est la vraie photo ? Bon ceci-dit voilà c’est parti pour la Jalousie tous les soirs à partir du mercredi
Bande annonce ;
 https://youtu.be/79WK5SW_lbo?feature=shared Du mercredi au vendredi à 21h 
Le samedi à 15h et 21h 
Le dimanche à 15h Durée 1h40 c’est une de ses plus belles pièces à Sacha Guitry et une de ses plus belles mises en scène à Michel Fau donc c’est un feu d’artifice…. Dans un décor à tomber de ses  aprioris sur les styles de jeu au théâtre, à en dormir rêver oui mais debout réveillés et dignes devant nos démons et à rire de nous-mêmes sans plus s’arrêter…. L’amour est enfant de bohème…. Et n’a jamais connu de loi…. Si tu ne m’aimes pas Je t’aime et si je t’aime prends garde à toi….


La photo qui suit,
panoramique tronquée est de Pascal K. C’ est l’ancêtre de l’IA. 
Quelle soirée on avait mangé un peu avant à la maison. Le métro L8 était bondé. À l’arrivée les gens de l’accueil sécurité guichet étaient beaux et gentils puis les ouvreurs aussi. Comparaison avec le métro tout semble être prêt pour que chaque personne se sente bien.  Et puis comme nous l’annonce un des comédiens….c’est c’était…. allez-y direct sans rien savoir d’autre que le titre l’auteur l’adresse du théâtre… et le rideau enfin se lève sur la Jalousie même en temps de guerre ….


Journée exceptionnelle : La Jalousie, première à la Michodière, un théâtre qui vous émeut par tant de beauté et de légèreté, l’intelligence de jeu peut être limpide et légère et vous inciter comme après une mise en abîme de vos amours à réouvrir la porte de vos rêves. Michel Fau comme l’ensemble de la distribution jouent avec leur singularité chacun,  ils nous touchent et nous font rire malgré nous, malgré l’écriture ciselée de Guitry et cette élégance pudique qu’il porte jusqu’à un romantisme dans le non-dit. Michel Fau nous fait penser à Guitry pour ceux qui entendent encore sa voix son phrasé et à d’autres moments aux jeux  blancs de mimes amoureux tels Barrault ou Chaplin. Si on pouvait fusionner au lieu d’opposer avec insistance tous les styles et caractères cela ressemblerait à une sorte de kaléidoscope…. C’est tellement beau les costumes dans ce décor de Nicolas Delas qu’on aurait envie tous d’y être transportés même jaloux ? « Là est la question ! »?
https://www.leparisien.fr/etudiant/sortir/paris/eve-la-jalousie-theatre-de-la-michodiere/
Sous le soleil d’une critique exacte publiée dans la Terrasse   https://www.journal-laterrasse.fr/michel-fau-interprete-et-met-en-scene-la-jalousie-de-sacha-guitry-du-boulevard-dans-ce-quil-a-de-plus-exigeant-lart/
"les costumes sont flamboyants" certes ils sont de David Belugou et les maquillages les barbes les moustaches les perruques qui encadrent ce flamboyant sont de Pascale Fau. 


dimanche 21 septembre 2025

Superextatic

J’ai aimé bien des choses dans ce festival extatique. J’ai plus filmé les Troyennes que KOHLAAS, je l’avais déjà vu et plusieurs fois Kohlaas  à Paris Avigon il y a 10 ans mais là...











dans cette nature c’était différent avec ce public dont plein de jeunes c’était différent, vraiment. Bravo encore aux troyennes… qui ont plusieurs cordes à leurs arcs, et de belles cordes : la peinture, la danse, le cri des mouettes et le jeu si intérieur nuit…. en plein jour même les libellules écoutaient.

Il y a tellement d’indifférence à vaincre que j’ai retenu tant et tant de larmes pour essayer de les comprendre tous ces beaux indifférents.

Les Troyennes d’après  Sénèque : pleure baby pleure ! La scénographie qui s’efface plus qu’éphémère car les guerres recommencent et se rapprochent mais on les tient à distance et là on est saisies. Car les guerres et leurs viols ne sont ce pas les pires des féminicides qui s’auto-détruisent dans les mémoires et se perpétuent depuis la Grèce antique. C’est aussi là que je me suis dit et si cela recommence à Troyes en Champagne….




@_superextatic 

https://youtube.com/shorts/8najBufvoxU?feature=shared

https://youtube.com/shorts/yKbA0NyXOqo?si=PHoDnpAcx8pxMR2i

https://youtu.be/ZLuqdlTOfto?si=6J0QYmlQA7X2sMRR


samedi 20 septembre 2025

Rentrée au théâtre : Lune au 100 rue de Charenton

Et le Monde
De cette Minyana fête dans 4 salles différentes 

Joëlle Gayot 

« Double féminin

Une émotion ambivalente que l’on retrouve, mais avec plus de rugosité et de drôlerie effrontée, face à Lune, texte que l’auteur met lui-même en scène au 100, établissement culturel et solidaire, à Paris. Cette fois c’est une femme qui s’exprime. Jouée par la vive, brusque (au bon sens du terme) et facétieuse Catherine Pietri, l’héroïne rembobine le fil du passé sur la trace des évènements, anecdotiques et 

Dans une scénographie réduite à l’essentiel (une table, une chaise), enveloppée dans une large robe blanche, ce double féminin du dramaturge transforme le plateau en terrain de labour. Les mots sont les coups de pelles qui déterrent les souvenirs. Ceux qui comptent pour rien et ceux qui pèsent lourd dans les méandres de son existence. Le probable suicide d’une mère surmédicamentée, la vie à la campagne, le vent dans les arbres, les siestes, les repas, l’envie d’écrire, les réunions de famille, ces dernières suscitant un moment d’anthologie théâtrale à se tordre de rire.

Philippe Minyana entraîne Catherine Pietri dans une approche organique de son texte. Elle ralentit, accélère, laisse traîner les voyelles ou taper les consonnes, elle ne s’attarde jamais dans un sentiment, brise l’émotion qu’elle vient de susciter pour la raviver au détour de la phrase suivante. Elle fait corps avec la langue, laquelle est une offrande à son jeu. Un enchantement que ce regain de Philippe Minyana dans l’automne parisien.


Et sur Telerama 

Catherine Pietri, dirigée par Philippe Minyana. Photo Fabienne Rappeneau

« C'est un texte poignant sur la vie et la mort de sa mère, comme Philippe Minyana en a déjà écrit de superbes.

Entre désinvolture et blessure, comédie et tragédie. Chez lui, le passé n'est jamais passé. Il possède le rare secret de faire cohabiter les vivants et les morts, et d'éterniser l'instant du théâtre, l'infini présent du théâtre.

Seule en scène, une femme en longue robe blanche se souvient (Catherine Pietri, ravageuse). Elle évoque les violences, jusqu'alors tues, de son histoire, les revisite avec un humour moqueur, chante, montre des photos, fait le clown. Riche de mille facettes de jeu. Minyana, qui la met aussi en scène, fait vibrer le quotidien d'un rythme infernal. Il a l'art du proche et du familier, dans leur beauté comme dans leur horreur. Grâce à son verbe, toute existence devient légende. - F.P.

De et par Philippe Minyana. Durée: 1h10. Jusqu'au 11 oct., 20h (ven.), 18h (sam.), 100 ECS,

100, rue de Charenton, 12°, 01 46 28 80 94. (10-20 €). »





LUNE AU 100 rue de Charenton, je n’étais encore jamais allée dans ce théâtre alors je me suis trompée d’adresse je, nous, sommes descendus rue de Charonne pas loin du numéro 100….à 19h50 pour une représentation à 20h 
Mais ce soir c’est à 18h courrez-y vite…

Ce spectacle m’a réinitialisée pour persévérer sur ce blog un peu abandonné comme une résidence secondaire qui ne répond plus… à certaines attentes…

Je me demande si je ne vais pas y retourner dès ce soir, 50mn ça dure, car je n’ai pas vu, je ne l’ai pas vue « la dame blanche » quand il automne si fort dans l’air… dehors, 
hier c’était l’été, 
avec mon amie, la meilleure amie et comédienne au long cours après toutes ces années comment peut-elle encore me surprendre me réveiller de mes fictions/souvenirs car tout est vrai au théâtre. Quel poussin de cette couvée a éclo un été grandi pris son vol comme les anges de Wim Wenders capables de tout jouer tout entendre…..et d’y réagir, ah oui j’ai ri, mais pas seulement, j’ai retenu mes larmes…
je me suis rappelée toutes les coiffures de ma vie…..pour finir en courts 




vendredi 4 juillet 2025

D’une rive l’autre Dima Abdallah




Ce livre est long à digérer, mais qui sait je l’ai lu quand il faut, en fortes chaleurs, à l’aube, à l’aurore avant la fabrique de rêves mais loin d’angoisses inextinguibles et dans une sorte de silence absolu qu’on n’ose pas briser avec qui que ce soit et surtout pas avec soi…. Un silence pour les autres - n’est jamais un silence de soi…
Ce livre nous remet face à la ville sans trottoirs aux immeubles troués d’impacts de balle et qui à nouveau a subi après l’explosion dans le port les bombardements soit disant anti Hezbollah israéliens 
Ce livre ne raconte rien il ne met que des dates et raconte comment c’est à l’intérieur d’un exilé enfant qui ne connaît pas son père, puis homme qui a besoin de sombrer mais qui ne le peut pas,  rattaché à la vie par quelques fils : sa mère un amour un ami….



Dans la cour de la librairie Au plaisir des yeux 120 rue Raymond Losserand 75014 Paris @auplaisirdesyeux @anneguyot

L’auteure rencontrée à une dédicace est une femme de silences chaleureuse et donc avec de grands sentiments derrières ses yeux noirs. À la difference de son personnage qui écrit aussi, lui des carnets de poèmes qu’il ne publiera pas, elle se relit…
En fermant le livre à regret je l’avais pressenti j’en ai acheté deux autres voir trois pour en offrir un exemplaire et en garder un autre j’ai deux trois amis à qui j’offre des lectures une ou plusieurs fois par an.
Elle n’a écrit que trois livres encore…
Cette maison d’édition semble l’avoir comprise, enfin un éditeur une éditrice peut elle être autre que complice ? En tous cas c’est une femme infiltrée dans les milieux culturels les femmes sont infiltrées depuis plus longtemps que dans les armées mais pas aux avant-postes… 
Cette auteure écrit en se glissant dans des personnages masculins et ça c’est une infiltration pas ou plus seulement ordinaire. Et comme disait une lectrice ou bien était ce la libraire elle parle de milieux « populaires »….en littérature c’est encore un « voyage extraordinaire » sauf exceptions Molière Hugo Zola Maupassant Céline !?!? 




En fermant le livre j’ai écrit au crayon-mine 
C’est un beau livre veiné irrigué par l’Ibié : fleuve non elle ne va pas jusqu’à la mer, qui ne passe pas par Beyrouth mais en Ardèche mais qui a des reflets verts comme la mer à Beyrouth 
Les sombres sont d’une couleur verte sous le soleil dans certains endroits à lucioles..,, dans nos têtes 
Le narrateur d’une rive l’autre écrit des poèmes pour étreindre « la grâce »mot qu’il a appris enfant et qui tout entier s’ancre à Layla avec qui ils jouaient avec Élias, les 3 inséparables à cet âge….

Extrait p 138 



« Je veux rester dans cet avion qui n'est ni ici ni là-bas.

Je veux survoler pour toujours la pleine mer, qui n'est d'aucun pays. Je suis cette pleine mer. Hybride de tous les rivages du monde sans en être. Je suis la pleine mer qui ignore tout. Je serre fort les poings pour y croire.

Pour croire à un sang qui n'ait jamais été maudit, un sang propre comme la mer que je survole est encore propre de toutes les côtes polluées. Je suis la pleine mer Je suis le noir profond et infini. Je suis vierge. Je suis la fraîcheur de l'eau qui ignore tout des canicules. Je suis le sel. Je suis les abysses. Je suis l'infini. Je suis les baleines qui jouent à plonger et replonger. Je suis le lever de soleil et son coucher argenté sur la mer. Je ne suis personne. Je ne suis d'aucune mémoire. Je suis ces quatre heures de vol sans décollage et sans atterrissage . Seulement le ciel étoilé et la mer noire. »


Jules Verne au grand hôtel des rêves

Jules Verne au grand hôtel des rêves voilà un beau livre d’images enfin vivant incarné et représenté par des décorateurs de cinéma qui ont le génie du détail comme de l’angle de vue 
C’est enthousiasmant pour un voyage entre vérité fiction passé futur 
https://www.legrandhoteldesreves.fr/jules-verne
pour reparler de cet excellent spectacle immersif avec Christian Jannot  au grand hôtel des rêves Métro Cardinal Lemoine 
depuis j’en rêve… j’ai même dit à une amie que j’avais rencontré George Sand….





















Un message d’un des acteurs @christianjannot
Merci ma Nathalie)) et l'aventure Jules Verne continue tout l'été jusqu'au 2 novembre

En réponse à Christian Jannot comédien ils sont tous très bons les comédiens de tous les rôles 
ah pour l’été sachez que c’est bien climatisé il y a même des légères capes en tissu volant pour les plus fragiles ! Et pour s’envoler direction : le passé qui rêvait l’avenir comme le dernier film d’animation Pixar un petit bijou : Elio qui enfonce le clou… l’avenir est infini si l’on regarde les étoiles…..

C’est un spectacle pour toute la famille aussi avec un peu d’astronomie de sciences en tous genres…..


samedi 28 juin 2025

Le Feydeau : Un fil à la patte

Je suis allée avec mon chéri voir ce Feydeau à la première. Ils s’en sont tirés comme des chefs (Distribution C) mais je n’étais pas prête, il faut dire que cette pièce jeu de mot avec le titre est un travail de funambule. Il faut comme tous les Feydeau selon moi et en toute humilité que ce soit burlesque et tragique. Cette juxtaposition déclenché la joie les rires inextinguibles et inextricables. Ce sont des textes de fin de civilisation sans aucune concession à la bourgeoisie. Mais si on se place au dessus ou en dessous de la portée, même en tant que spectateur on passe à côté… c’est ce que j’ai vécu  pour la première et surtout dans la première partie chez la fameuse Lucette. 
Mon chéri s’est un peu ennuyé « ils s’en sont bien tirés mais il y avait des inégalités ». Après avec les autres personnages l’intrigue clownesque de la porte de chez soi qui se referme sur un homme en caleçon. J’ai retrouvé leur peps, j’ai suivi le rythme et la démesure dès l’arrivée des rôles dits secondaires et qui chez Feydeau remettent toute l’intrigue sur les rails, la justesse de ton au diapason. Dans la distribution C avec Ignace de Fontanet interprété par Dushan Délic Illien et le général Irrigua interprété par Jean-Gerald Dupau et aussi dans les rôles de la sœur Marceline Gauthier et de la Miss : Marie Brocquehaye et comment ai-je pu ne pas la nommer la
Baronne Duverger jouée par Constance Rocher, son sourire que diable !
@canaperougecollectif @florencelecorre @ecole.lucernaire @lucernaire
Sinon je vais y retourner pour voir les trois distributions dont une deuxième fois la C car sûrement ce jour là, j’avais un peu mal aux pieds, au cœur, on ne sait jamais pourquoi un spectateur passe à côté d’une représentation peut être parce que tout le public était très content… comme les critiques. Et une première de Feydeau comme pour Racine c’est travailler sur un fil tout au sommet du chapiteau sans filet…..mais on n’y risque pas sa vie, mais sa réputation d’être ou pas remarqué.
La sincérité est toujours jaugée par rapport à la sienne propre et quelquefois on est comme en pause à une représentation d’un spectacle vivant parce qu’on a des préjugés et souvent même on est un peu jaloux de ne plus être sur scène ou si jeune et généreux si JOUEUR.
Bref je leur devrais car ils m’ont tellement émue cette promotion quand je suis allée voir leurs travaux de fin d’année antiques classiques voir même contemporains… leurs rêves leurs chorégraphies, je leur devais aussi de leur écrire ma plus sincère critique. 
Avec les spectacles de nos cours amateurs qui se sont tous très bien passés relativement au travail et à la manière de chacun de s’engager avec les difficultés d’une vie professionnelle à côté.  Je n’ai pu encore les voir et les revoir. Mais ça va venir. 




Ça y est nous sommes allés voir la distribution À
Le samedi 28 Juin à 20 h QUELLE JOIE !!!bravo à tous .