Nos festivals été 2018
28/08
À Figeac mon coup de cœur ce cabaret oriental à 23h et à 19h30 dans cette même salle Balène un autre coup de cœur : Claude Gueux mis en espace bi-frontal pour le public et tous nous étions concernés par cette histoire épique de forcat : Claude Gueux et Albin...des mises en brèves de Hugo.
Mais avant le cabaret ? ! -Oui avant le cabaret, dans une mise en scène d’Anne Delbée : Andromaque. J’insiste les comédiens étaient remarquables dans cet Espace François Mitterrand surchauffé malgré une climatisation à moitié efficace. Cela a dû en augmenter pour moi placée assez loin et en hauteur la sublimation, qui est devenue avec la musique et la présence tout du long de la pièce de tous les acteurs à l’envers et à l’endroit des actions ; l’action par exemple de la mort d’Hermione et son récit... L’opacité augmentée, les rapports plus étroits, les acteurs figures fantomatiques de plusieurs personnages à moins de connaître déjà très bien la pièce empêchent de s’abandonner à la langue de Racine. Le huis clos est à juste titre tragique encore et toujours plus, mais devient ainsi confus étouffant.
Mais avant le cabaret ? ! -Oui avant le cabaret, dans une mise en scène d’Anne Delbée : Andromaque. J’insiste les comédiens étaient remarquables dans cet Espace François Mitterrand surchauffé malgré une climatisation à moitié efficace. Cela a dû en augmenter pour moi placée assez loin et en hauteur la sublimation, qui est devenue avec la musique et la présence tout du long de la pièce de tous les acteurs à l’envers et à l’endroit des actions ; l’action par exemple de la mort d’Hermione et son récit... L’opacité augmentée, les rapports plus étroits, les acteurs figures fantomatiques de plusieurs personnages à moins de connaître déjà très bien la pièce empêchent de s’abandonner à la langue de Racine. Le huis clos est à juste titre tragique encore et toujours plus, mais devient ainsi confus étouffant.
27/07
Hier à Figeac toujours ?! Oui, on savoure les dernières heures, demain ce sera fini ?! Il y a quelque chose d’indéfinissable qui fait que l’on a plus prise sur rien, alors autant lâcher, prise en restant « open » comme dit Emma le clown à la fin de son spectacle : la mort même pas peur. J’aime de plus en plus la naïveté des clowns comme elle !? Elle réunit tous nos élans nos doutes et les suspend au dessus de nos têtes : « nos cuisses nos pieds ... même notre nuque va mourir... » Et vous savez vous ce que deviennent les doudous après leur mort ? Non elle fait la lumière sur toutes ces questions....
Avant c’était à 18h au jardin des écritures photo une pièce en lecture La disgrâce de Jean-Sebastien Bach avec la nouvelle compagnie d’Anne Delbée : Anastasia, que nous avons beaucoup aimée en lecture avec une très belle mise en place et des comédiens tous attachants de talent dont Emmanuel Barrouyer.
-Après ? Entre le clown et la musique ! Anne Delbée dans l’Aiglon : le rêve fou par Rostand d’un jeune homme de 20 ans de rejoindre les victoires de son père par les mots les mises en scènes de petits soldats les costumes de Napoléon...par-delà leurs morts. Cela ne m’a pas bouleversé comme la quasi-totalité du public qui s’est mis debout pour saluer la performance de la vieille dame qui réinvente la jeunesse malade du cœur ou de la poitrine .... Les batailles les guerres les politiques passent, une histoire de décor extérieur ....
Avant c’était à 18h au jardin des écritures photo une pièce en lecture La disgrâce de Jean-Sebastien Bach avec la nouvelle compagnie d’Anne Delbée : Anastasia, que nous avons beaucoup aimée en lecture avec une très belle mise en place et des comédiens tous attachants de talent dont Emmanuel Barrouyer.
-Après ? Entre le clown et la musique ! Anne Delbée dans l’Aiglon : le rêve fou par Rostand d’un jeune homme de 20 ans de rejoindre les victoires de son père par les mots les mises en scènes de petits soldats les costumes de Napoléon...par-delà leurs morts. Cela ne m’a pas bouleversé comme la quasi-totalité du public qui s’est mis debout pour saluer la performance de la vieille dame qui réinvente la jeunesse malade du cœur ou de la poitrine .... Les batailles les guerres les politiques passent, une histoire de décor extérieur ....
24 juillet, 17:38 ·
La chaleur nous suit hier j’ai eu même un coup de chaud qui m’a empêchée de dormir d’avoir faim et de bien profiter des deux spectacles vus au Festival de Figeac : Brèves de Hugo : 93 et La vie est un Songe. La vie est un Songe : très beau et très bien joué pour la plupart par de jeunes comédiens, metteur en scène principal Clément Poirée, la régisseuse des effets spéciaux une jeune femme, est venue saluer avec les comédiens. L’acteur du rôle phare : un jeune homme noir (quand viendra le temps où nous n’aurons plus à le préciser). Les choses changent un peu c’est plus de la magie la technique maintenant, l’accessoiriste, le bruiteur sont oubliés... Puisque la vie est un songe ne me réveillez-pas !
23 juillet, 18:54 ·
Africajarc expo en photos
et dans une galerie de Cajarc
22 juillet au coeur du Lot pour le festival de Figeac
Aujourd’hui nous sommes à Prendeignes, le trou du cul du monde, la route serpente pendant plus de 12 km de Figeac. Nous avons un appartement très fonctionnel, on pourrait y dormir à 6 : pour des saisonniers, une équipe de soudeurs y ont séjourné. Mais il n’y a rien pas un morceau de sucre pas un petit peu de café ou un sac de thé. Les gîtes d’où l’on venait prévoyaient tout, le petit déjeuner comme à l’hôtel... Donc je me suis fait « le coup du yaourt » qu’on a rapporté qui restait d’Avignon avec une tasse d’eau chaude quelques croûtons : pain coupés en fines tranchettes et grillé. Pascal a trouvé un Leader-price d’ouvert sur Figeac où tout est périmé même les yaourts à la mûre ou en grande quantité. Sinon 430 € la semaine, la Dame est très gentille elle a mis quelques roses dans un verre, une bouteille de Cahors au cellier, quelques fruits. Elle habite l’ancienne épicerie qui sert de dépôt de pain le dimanche mais tout est précommandé....
Et ce même 20/07 dans le Off du festival d'Avignon
nous avons vu un dernier spectacle au Petit Louvre à 14h25 après avoir mangé au restaurant du théâtre toujours bon, que j’ai beaucoup aimé et que je n’ai commenté nulle part sur FB et pourtant Pascal aussi a bien aimé c’était la note juste pour quitter Avignon, j’ai même tracté un peu pour eux ainsi que pour la Mouette et Kohlhaas. C’est, c’était « À tour de rôle » de Pierre David-Cavaz, mise en scène Stéphane Müh avec des géants du jeu Patrick Zimmermann et Stéphane Müh(il ressemble un peu à Daroussin).
Vu le 20/07 à la Chartreuse de Villeneuve les Avignon dans le In à 18h
« L’homme est innocent toutes les religions se trompent le Paradis n’est ni une nostalgie ni une récompense c’est un droit »un spectacle sur les écrits des fous. L’art brut opposé à l’art cuit ceux qu’on dit fous qui le sont soit disant et qui écrivent des lettres des suppliques des poèmes Anouk Grinberg les chante, j’allais dire, non elle les Lit, elle les redonne ces mots bien particuliers "avec des fautes" comme dit mon ami, elle avec son phrasé qui remonte à l’enfance et accompagné par un musicien Nicolas Repac avec des petits instruments des plus grands aussi ce spectacle s’intitulait « Et pourquoi moi je dois parler comme toi ? » On a touché comme un peu la Peau du ciel de la chartreuse de Villeneuve les Avignon tous ensemble... et je dédie tous ces mots entendus à notre ami Paul*, parti hier pour ce paysage lointain : paradis et qui créait de l’affectif entre tous ces isolés...
20 juillet · vu le 19/07 à 22h
Cette nuit j’ai rêvé ma vie à l’intérieur d’un spectacle où pourtant j’ai sommeillé par la climatisation, après la chaleur, chaleur de l’après baignade et qui était surtitré et que je n’ai pas
applaudi trop noir pour faire ressortir l’absence de blanc, mais je savais que je l’avais comme déjà vu
Entre la mort de Tintagiles et Festen, une sorte de fin d’un monde en marche.... les choses passent cela s’appelait, il y avait une liste d’attente qui remontait toute la rue des Lices. Je n’ai pas applaudi trop esthétique, appareillé, consensuel, souterrain, inspiré du cinéma, comme du film : les
Autres... tous des morts vivants. Le titre exact de l’auteur néerlandais est Vieilles gens et choses qui passent de Louis Couperus et le titre retenu par Ivo van Hove : De dingen die voorbijgaan.
applaudi trop noir pour faire ressortir l’absence de blanc, mais je savais que je l’avais comme déjà vu
Entre la mort de Tintagiles et Festen, une sorte de fin d’un monde en marche.... les choses passent cela s’appelait, il y avait une liste d’attente qui remontait toute la rue des Lices. Je n’ai pas applaudi trop esthétique, appareillé, consensuel, souterrain, inspiré du cinéma, comme du film : les
Autres... tous des morts vivants. Le titre exact de l’auteur néerlandais est Vieilles gens et choses qui passent de Louis Couperus et le titre retenu par Ivo van Hove : De dingen die voorbijgaan.
17 juillet ·
Derniers spectacles du jour : la machine de Turing 12h05 de et avec Benoit Solès et Amaury de Crayencour Actuel Théâtre et Plaire : L’abécédaire de la séduction Jérôme Rougier, 12h40 au Onze Gilgamesh, mon préféré un vrai spectacle : -un one man show ? -Non, un homme qui dit la vérité parce qu’ il a tout essayé... par le jeu et l’imagination et donc en fait il préfère sauter dans le vide avec un cheval jouet ; il galopera longtemps celui-là sur la peau de nos cœurs. -C’est du théâtre ou pas ? -Bien sûr que cela en est c’est un spectacle où l’on danse où l’on rit où l’on se dit c’est pas croyable -et c’est intimiste ? -....
-Mais l’autre la machine de Turing ?
je vous le conseille fort si vous rechercher la perfection dans l’efficacité, moi pas, mais cela est sans aucune faille, les comédiens sont très bons les vidéos clarifiantes, les deux hommes... m’ont fait pleurer comme au cinéma.... comme malgré moi....-mais ce n’est pas du cinéma ?! -C’est une belle porte d’entrée un manoir magnifique style rustique et moderne, c’est un mélange voyez vous !? Mais ce n’est pas ce que je recherche !
-Pourtant c’est tiré d’une histoire vraie -Oui mais ça risque pas de déranger...
Je reviens au spectacle de Jérôme Rougier si vous n’avez jamais vu cet hurluberlu auteur clown à la Keaton comédien à la Caubère allez-y c’est un poète du geste et des non-dits un peu comme toi Grégory Guillotin dans Bengui, imagine, mais je sais que tu connais, il raconte sa première fois où « il a voulu rouler une pelle et il s’est pris un rateau.... » il avait répété une chorégraphie sur le générique des chiffres et des lettres et il la danse.... ce que j’ai ri mon Dieu des clowns, lui au moins on est sûr qu’il ne pose que des lapins, le dieu des clowns...
-Mais l’autre la machine de Turing ?
je vous le conseille fort si vous rechercher la perfection dans l’efficacité, moi pas, mais cela est sans aucune faille, les comédiens sont très bons les vidéos clarifiantes, les deux hommes... m’ont fait pleurer comme au cinéma.... comme malgré moi....-mais ce n’est pas du cinéma ?! -C’est une belle porte d’entrée un manoir magnifique style rustique et moderne, c’est un mélange voyez vous !? Mais ce n’est pas ce que je recherche !
-Pourtant c’est tiré d’une histoire vraie -Oui mais ça risque pas de déranger...
Je reviens au spectacle de Jérôme Rougier si vous n’avez jamais vu cet hurluberlu auteur clown à la Keaton comédien à la Caubère allez-y c’est un poète du geste et des non-dits un peu comme toi Grégory Guillotin dans Bengui, imagine, mais je sais que tu connais, il raconte sa première fois où « il a voulu rouler une pelle et il s’est pris un rateau.... » il avait répété une chorégraphie sur le générique des chiffres et des lettres et il la danse.... ce que j’ai ri mon Dieu des clowns, lui au moins on est sûr qu’il ne pose que des lapins, le dieu des clowns...
Anne Guyot Quand la SNCF me fait du bien! Mon TGV a été annulé avant hier soir, et tout cela pour mon plaisir (enfin c’est ce qu'on peut dire...) Grâce à cette merveilleuse annulation et à une confortable nuit dans un hôtel premier classe qui ne me sera pas remboursée par la SNCF( Vous savez, pendant le Festival...) J'ai pu voir le spectacle du très déroutant Jérôme Rouger. Et attention ce n'est pas de l'humour et Monsieur ne cherche pas à être complaisant avec son public qui n'est absolument pas averti. Mais, se déguiser en Mike Brant ou retrouver les images d'un Valéry Giscard d'Estaing jouant de l’accordéon pour séduire ses électeurs, obligatoirement c'est déjà nous conquérir. Finalement, qui est-il ce charmant Jérôme à part ce fabuleux séducteur qui l'air de rien glisse du jeu de mot au cynisme, de la connivence à l'irrévérence, du rire franc à la légère plaisanterie, du personnel au politique? Un homme tout simplement. Merci!!
16/07
Thyeste dans le In est aussi très impressionnant, la fin est incroyable le début la technique
Des éclairages jusqu'aux étoiles....Un Opéra a dit Pascal. les techniciens le chœur les enfants tout un village de théâtre les enfants sont habillés comme s’ils partaient en colonie de vacances. Très exceptionnelle interprétation de Plâtrée Tantale et Thyeste aussi... et ma préférée Annie Nini Mercier dans le rôle de la Furie.
Thyeste dans le In est aussi très impressionnant, la fin est incroyable le début la technique
Des éclairages jusqu'aux étoiles....Un Opéra a dit Pascal. les techniciens le chœur les enfants tout un village de théâtre les enfants sont habillés comme s’ils partaient en colonie de vacances. Très exceptionnelle interprétation de Plâtrée Tantale et Thyeste aussi... et ma préférée Annie Nini Mercier dans le rôle de la Furie.
Revenons au théâtre SVP à voir absolument deux finales exceptionnelles dans leur genre La Mouette à 12h 10 au Balcon et Kohlhaas (adapté de Kleist, film en 2013) au Théâtre du train bleu 14h20 après cela seule une coupe du monde pouvait aller aussi haut par ce match 4-2 pour cette jeune équipe, vive la jeunesse !
le match de la Coupe du Monde suivi sur les murs du cloitre St Louis avec le personnel, un de mes meilleurs souvenirs de l'été. |
Quand je tractais, un peu plus pour ces deux-là, La Mouette et Kohlhaas car ce sont deux des premiers spectacles que j’ai vus, -Kohlhaas critique déjà sur ce blog, l’actrice prodigieuse et le metteur en scène ciseleur de cristal- intriguait plus les festivaliers que la Mouette pour laquelle je devais déployer des arguments innovants, car c’est ce n’était, non pas une adaptation, mais une épure recentrée sur 5 personnages, dont Sorine, ainsi la pièce ressortait, non pas comme grise et dramatique mais comme vivante et vivace. Dieu sait si j’ai vu et revu, cette Mouette, mais jamais avant je me suis attachée autant aux personnages, par exemple je pensais pourvu que Treplev ne meure pas, et c’est comme pour Antigone, si on ne ressent pas cela ce suspense-là, on passe à côté de l’essentiel au théâtre, la vie…Les comédiens sont tous très bons, je ne parlerais que de ceux qui me sont le moins proches, ceux de Treplev Nina et Sorine, (« personnage hybride de Dorn et Sorine »voir article et lien ci-dessous) qui sont seront pour moi inoubliés, inoubliables, surtout Sorine, qui nous prouve que créer des liens humains amicaux, s’intéresser à l’art mais aussi à l’art de vivre des gens, c’est la Vraie vie sans préjugés.
http://toutelaculture.com/spectacles/theatre/avignon-off-2018-philippe-person-monte-tres-attendu-mouette-danton-tchekhov-balcon-interview/Décès de notre ami Paul* Derôme, comédien de l'Autre-Scène
"J’ai la grande tristesse de vous faire part du décès du Docteur Paul DERÔME, mon père, le 20 juillet 2018.
Une cérémonie nous réunira le mercredi 25 juillet à 13 heures au crématorium du Père-Lachaise, salle Mauméjean.
Nous nous retrouverons ensuite autour d'un verre.
Ce mail tient lieu de faire-part, et je vous invite à l'adresser à ceux que j'aurais oubliés.
Pour ceux d'entre vous qui auraient une ou deux jolies photos, je les recevrai avec grand plaisir.
L'urne sera inhumée ensuite à Bracieux, à une date qui sera fixée prochainement.
Crématorium du PÈRE-LACHAISE
Salle Mauméjean
71, rue des Rondeaux - 75020 Paris
(places de parking dans le cimetière)
Salle Mauméjean
71, rue des Rondeaux - 75020 Paris
(places de parking dans le cimetière)
Anne Sophie Derôme"
Paul a toujours su relier les isolés et le sont pas forcément ceux q’on croit. « Il y a les célèbres et les isolés... »
il m’a écrit quand j’étais malade que nous étions tous deux des affectifs combien cela m’a rescapé de sa part à lui
oui Philippe enfin Paul ne souffre plus je lui dédicace ce début de texte qui était à la fin d’un spectacle sur les écrits des fous, ceux qu’on dit qui le sont et qui s’intitulait « Et pourquoi moi je dois parler comme toi ? » Moi aussi je suis loin bloquée jusqu’au 15 août. je suis triste et n’arrive pas bien à y croire et pourtant...
Nathalie
"Voilà, c'est fini.
L'ami de si longue date est parti. Il faut que je pense à son soulagement de ne plus souffrir.
Je suis bloqué à Avignon, incapable d'être près de sa famille et de ses proches ...
Jour d'immense tristesse. J'ai, ... nous avons partagé tant d'émotions avec lui ...
Totalement inconsolable.
Un homme exceptionnel nous quitte aujourd'hui. Terrible.
Je vous serre toutes et tous dans mes bras."
PP
Ces photos du dernier rôle qu' a interprété Paul dans la Cerisaie : First, vous savez celui qui après la vente de la propriété reste seul dans le domaine abandonné, et la photo aussi du moment privilégié qu'il aimait tant où nous allions dîner entre nous avec quelques spectateurs amis, après la dernière représentation. Quel courage mon cher Paul à la mesure de la douceur de ton sourire, tu étais un grand comédien, devenu si juste dans tes rôles avec ta patte ton style inimitable car entrelaçant le poignant et le léger, tu avais cette élégance un peu tranquille comme celle d'un de mes acteurs préférés :Philippe Noiret, si tu le vois dis-lui bonjour pour moi comme toi il nous manque, Paul, tu me manques déjà.... votre humour tendre aussi...
Le groupe de l'AUTRE SCÈNE est orphelin, s'il renait en changeant forcément de nom, ce ne sera qu'hirsute et tristement recommencé, ce ne sera plus jamais comme avant.
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