jeudi 5 septembre 2019

Fourmi le film

À propos de Fourmi je crois que de temps en temps j’aime les films prévisibles et qu’on me rappelle qu’à part le foot pour une majorité de régions desindustrialisées y a plus rien !? Les acteurs sont tous très bien le petit garçon a un physique un peu trop beau.. mais c’est un détail. Dussollier comme d’habitude me fait beaucoup rire par accoups un peu comme Michel Aumont on ne les voit pas venir, ce sont tous les deux tout sauf des cabotins et j’adore ça. L’émotion au foot y est tellement bien mise en scène qu’on comprend aisément pourquoi elle ramasse autant d’aficionados 
Télérama
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Critique par
Frédéric Strauss
*Théo, 12 ans, fait croire à son père alcoolo qu’il est repéré par un grand club de foot. Une comédie à la mécanique précise, au service d’un récit généreux.
Dans son club de foot, il se fait remarquer par sa grande agilité et sa petite taille : encore haut comme trois pommes malgré ses 12 ans, Théo (campé par l’étonnant Maleaume Paquin) a été surnommé Fourmi. Tout un programme pour Julien Rappeneau, cinéaste qui, après Rosalie Blum (2015), réaffirme son talent pour les miniatures. Quand Théo dribble sur le terrain, le plan fourmille de détails. Ici, son père, Laurent (François Damiens), qui a trop souvent la gueule de bois. Là, Claude (André Dussollier), l’entraîneur sérieux comme un pape, flanqué d’un neveu qui l’appelle Tonton, se passionne pour la pâtisserie et, au lieu de suivre le jeu, distribue des gâteaux.
La comédie se niche dans les détails. Et le scénario, adapté d’un roman graphique (Dream Team , de Mario Torrecillas et Artur Laperla), compose avec patience une belle mosaïque : dans son petit club, Fourmi est repéré par le recruteur d’un grand club, et, pour aider son père, qui a tellement besoin de trouver l’espoir ailleurs qu’au fond d’un verre, le gamin dit qu’il a été engagé. Un mensonge qui fera beaucoup de ricochets, tous orchestrés avec une précision d’horloger et un amour infini pour les personnages secondaires, la minutie du trait. En semant ses plans comme des graines, Julien Rappeneau finit avec une belle moisson : un film qui parle de grandir, quand on est fils comme quand on est père. Et qui joue collectif. Comme les fourmis.
La communauté
Micro-critique de chloeeee
*Insupportable film prévisible. Un petit garçon va faire du foot. Passionnant. Si t'as pas d'autres idées, écris pour la télé ou la réalité.

https://www.cineserie.com/…/fourmi-lamour-dun-fils-pour-so…/
J’avais écrit un post mais il ne s’est pas
dissous voir ci dessous ou sur mon blog...alors donc je complète pour ne pas me répéter, j’ai beaucoup aimé ce film prévisible et .....François Damiens bien-sûr mais tous les autres..... dont les autres enfants m’ont fait pleurer dans le noir de la salle du Gaumont Convention pas trop pleine à 17h hier. Mais en sortant la dizaine de personnes étaient contentes et j’en ai entendu rire aussi au fond alors qu’il en faut pour entendre des rires dans une salle clairsemée. c’est aussi un film sur les mythos ou les mensonges d’enfants.... c’est pas si fréquent !

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