samedi 21 septembre 2019

Une grande fille un jeune réalisateur russe Kantemir Balagov et portrait de la jeune fille en feu de Céline Sciamma/Animation : Manou à l'École des goélands

une grande fille : film de poète, Kantemir Balagov  quel film, une fresque un portrait ? que j'ai regardé bouche ouverte, j'en ai perdu mon plus beau foulard, le dernier qu'on m'a offert pour mon anniversaire, tant pis, un ange : par la vision de ce film m'a consolée....
j'étais en retard donc j'ai vu ce film après le portrait de la jeune fille en feu à notre ciné-club St Lambert donc sur un très moyen  écran et avec peu de spectateurs et je l'ai préféré nettement Pour moi tout y était la modernité la beauté l'histoire le jeu des acteurs la lumière extérieure te intérieure et aussi la force russe des auteurs des poètes russes des cinéastes sans références appuyées détectées par les cinéphiles en quête d'auto-satisfaction. C'est un film inoubliable totalement.

https://www.lemonde.fr/culture/article/2019/08/06/une-grande-fille-la-tragedie-du-retour-a-la-vie_5496948_3246.html?fbclid=IwAR288PtMwBoBPT1Ew4hPX-gAojdqMn7vid7nBHnrIXzdbbvQjZKluHlf0KA

La sortie du cinéma St Lambert un mercredi où je suis allée voir Manou à l'école des goélands 


Sur FB ce ne sont pas des martinets tout à fait incapables de marcher au sol et donc presqu'obligés de tout faire en plein vol mais bon, c'est joli, histoire toujours un peu semblable...
avec fin heureuse, les méchants... ce ne sont pas les chats mais les rats et aussi on peut y trouver une légère dénonciation du conformisme et du repli sur soi...
car nous sommes tous des oiseaux, non, pour les petits et un peu lassant pour les grands...
https://www.avoir-alire.com/manou-a-l-ecole-des-goelands-la-critique-du-film



Pascal voulait voir Ad Astra pour oublier le portrait de la jeune fille en feu qu’il a détesté ! Pourtant nous étions dans une grande salle. Il a bien dormi parce que c'était ce jour-là, parce qu’on s’y ennuie c’est vrai, non seulement par les "visions fantomatiques" entendu à on aura tout vu sur France-Inter et "la pensée en filigrane" qu'on sent entend tout le long du film entendu et vu au Cercle en clair sur Canal + Je suis à contrario restée plus nuancée trouvant des « tableaux » très réussis comme le début, même si c’est un hommage appuyé à la leçon de piano et ensuite quand elle sèche ses toiles vierges et qu’elle est nue devant la cheminée en train de fumer. Et aussi le passage avec la servante où toutes les trois elles essaient de vivre libres sans séparation sociale dont les scènes de l’avortement de la servante. Mais sinon j’ai trouvé les décors plus sibyllins qu’épurés... on n’y croit pas à cette maison cela tient du plaquage on rajoute un rideau des malles mais on n’est pas au théâtre, la lumière certes ne peut pas tout faire. Cette maison comme les bords de la mer comme la nuit de la St Jean sont tellement vides qu’on sent le plaquage des comédiens sans écrins. Par contre la réflexion sur le mystère de la présence qui passe dans un portrait un regard, regardé peint filmé est interessante mais didactique. Les actrices oui sont très bien ; la fin est une partition du jeu convaincant en gros plan de Adèle Haenel. 
https://www.avoir-alire.com/portrait-de-la-jeune-fille-en-feu-la-critique-du-film
http://www.lebleudumiroir.fr/critique-portrait-de-la-jeune-fille-en-feu/?fbclid=IwAR0TkgJlbyxxBtcconQ6u_RY8YM_pawcM71YSEfkODgmF7afgutnjwKgXwY

1 commentaire:

Kostorn a dit…

Je regarde des films gratuitement et j'utilise ce site https://voirfilms.zone/ Je l'aime, donc je le recommande à toute personne intéressée.