mardi 12 février 2013

DJANGO UNCHAINED


Dans une grande salle copieuse mais pas pleine, nous avons enfin vu le Tarantino, DJANGO UNCHAINED, quelle libération, un poumon qui respire, un éclat de rire qui crépite en moi irrépressible, enfin la vengeance sublimée, où après avoir vu Lincoln, on se dit : comment c'est possible de ne pas se rendre compte qu'un être est humain que son corps est fait de chair d'os et d'un coeur qui hurle...et ceux qui ne le sont pas ne sont pas - humains - ne sont pas ceux qu'on croit... La bêtise la perversité la collaboration des plus âpres, non contenues, déversées sont du côté américain ; l'intelligence humaine, l'érudition sont du côté allemand, cette fois car tout se côtoie en chacun. Si c'était à refaire je referais ce chemin celui de l'histoire des hommes : la scène dans la bibliothèque : "DUMAS" la scène quand il raconte à DJANGO la légende de Siegfried...

Ah mon Fieu ! comme je fonds et me libère à nager dans cette mer là/Merci Monsieur Quentin vous êtes pour moi par vos musiques pour faire danser les serpents, l'enchanteur Quentin.... vous êtes non pas mon cinéma de compagnie mais mon cinéma de récompense... après toutes les humiliations endurées au quotidien de toute une vie. Car vous savez je n'ai pas mon pareil pour ressentir l'humiliation de tout et un chacun au quotidien, à commencer celle les équipes de ménage dans nos entreprises.

Ah oui parce que savez-vous l'esclavage a été aboli, mais non la domesticité et l'inégalité et devinez qui sert les riches même les plus grossiers les plus encadrés : des très pauvres qui n'ont rien pour se loger et nourrir leurs enfants : des immigrés des français des pauvres... Ah Monsieur Schultz vous faîtes repousser les crocs ré-exister la princesse au petit pois qui sommeille en chacun de nous. Car tout est normes ici bas, sauf le rêve du cinéma qui réinvente après l'avoir bien connu, l'histoire de la " Société des Hommes ". Oh mon enchanteur Quentin vous ne réveillerez pas tous les hommes mais enfin vous avez réveillé révélé retrouvé un acteur jusque là méconnu : Christopher Waltz. Quant aux accusateurs comme Spike Lee, qui considèrent que Tarantino insulte les ancêtres juifs et maintenant noirs, je reste sans voix, est-ce qu'Homère insultait les Grecs les Troyens les Cyclopes et celui dont le nom était personne ??? et Bertold Brecht dans son Opéra de 4 sous, Bertold insultait-il le maître de la distance, Bertold insultait-il les Pauvres quand il fait dire à la serveuse qui répond au chef des Pirates : Tuez-les tous !? ou Lars von Trier dans Dogsville: la violence sublimée est la seule mesure pour mesure aux monstruosités humaines.

http://leplus.nouvelobs.com/contribution/764523-django-unchained-ou-l-ambiguite-de-la-violence-dans-les-films-de-tarantino.html
Cet article fastidieux, ceci n'explique rien noie le poisson nommé intellectualisme, dans une liqueur sirupeuse : la jalousie... de ne pas avoir osé saborder les règles...

des héros ce que l'élégance du costume signifie en tous lieux en toute époque : la singularité de soi... la joie à la composer pour signifier sa personne, c'est une petite chose de la vie, qui ouvre la porte de chaque matin... ne pas truquer avec cela est rare de plus en plus....
Ah quels acteurs, et quelles musiques, mon Chéri n'arrêtait pas de chanter de sa voix enchanteresse  : Freedom, Freedom....

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